La France est désormais un simple guichet de prestations sociales auxquelles le monde entier peut prétendre ! En Vendée, ce jeudi 11 janvier, c’était un homme de nationalité russe qui était jugé par le tribunal de la Roche-sur-Yon. L’homme, dont on ne sait s’il est Tchétchène, Ossète ou d’une autre tribu du Caucase ou tout simplement slave, est arrivé en France il y a plus de deux ans. Il ne parle pas le français et n’a aucun revenu déclaré depuis un mois.
En avril 2023, il se serait présenté chez son ex-femme pour « récupérer son alliance ». Ce jour-là, le Russe a bien bu et, constatant que son ex-conjointe n’est pas là, il commence à s’énerver tout seul. La demi-bouteille de whisky correctement descendue parle quand madame rentre. Tournée générale ! La femme est mise à terre, la tête cognée contre le sol et bourrée de coups de poing. Le tout devant les enfants du couple, dont la fille qui finit par se réfugier chez les voisins. Avant que les gendarmes arrivent le forcené a eu cependant le temps de prendre sa voiture qu’il conduit bon an mal an au regard du taux d’alcool dans le sang. Au passage, un autre véhicule est percuté. Il sera finalement arrêté un peu plus loin.
Déféré devant le tribunal ce jeudi, il tente de minimiser les faits. Mais ne réussit pas à convaincre la cour. Ce n’était pas la première fois qu’il frappait son ex-femme puisque son casier porte la mention de condamnations passées, il est donc en état de récidive.
Sans travail, vivant au RSA, il est condamné à neuf mois de prison avec sursis. Aussi incroyable que celui puisse paraître, il n’est pas expulsé dans son pays. Par contre, il devra suivre un stage de sensibilisation aux violences conjugales.
Piéton forcé et ne parlant pas le français il va continuer à zoner chez nous avant de se retrouver une nouvelle compagne-victime. Les associations féministes étaient absentes des débats, le « salaud » du jour ne répondant peut être pas à leurs critères ?
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Une réponse à “Vendée. Sans travail, touchant le RSA, ne parlant pas le français, ivre, il frappe sa femme”
Comme il ne parle pas le français, il faudra lui procurer un professeur particulier payé par le contribuable pour lui permettre une intégration sociale.