Le 10 septembre 2021, un corps sans vie avait été retrouvé dans les étangs d’Apigné, à côté de Rennes. Habituellement lieu de baignade prisé des Rennais, les plages avaient été désertées un moment suite à la découverte de cet homme lesté d’un parpaing et les mains attachées. Entraves à la baignade auxquelles s’ajoutaient quelque 110 coups de couteaux ! Pas pratique pour le crawl.
L’identification du corps n’a pas tardé : 4 jours auparavant, un membre de la communauté kurde d’Angers avait été signalé comme disparu par ses proches. La dernière fois que la victime avait été aperçue, elle était accompagné de trois de ses cousins. Puis, plus rien.
Hasard : l’un de ces cousins, dont la femme aurait eu une relation extra-conjugale avec la victime, était reparti précipitamment en Turquie trois jours après la disparition. Selon lui, il devait se faire « soigner d’un cancer » soudain dont personne n’avait jamais entendu parler jusqu’alors et avait même annulé ses vacances au camping en raison d’un mystérieux « incendie ».
Les enquêteurs, suspicieux, avaient aussitôt fait le lien entre cette soudaine disparition et le meurtre du cousin. Et puisque le hasard est décidément facétieux, les policiers avaient découvert que l’un des frères du suspect présentait une plaie à la main causée, semble-t-il, par un objet tranchant. Comme un couteau responsable de 110 coups malheureux par exemple ? Que nenni ! Par la manipulation d’un outil dans le cadre de son travail dans un kebab de Pouancé (49) selon lui ! Problème : son téléphone a borné près des étangs d’Apigné au moment même où l’on perd la trace de la victime. Décidément, ces étangs ont du succès ! Mais c’est le séjour en Allemagne du frère qui intéresse également les enquêteurs car celui-ci a dû, un moment durant, se réfugier outre-rhin en raison de « pressions » qu’il subissait ici. De la part de clients du kebab mécontents de la sauce samouraï ?
Le procès approchant, le juge a préféré garder tout ce petit monde sous les verrous et a donc refusé la demande de mise en liberté de l’employé du kebab. Il faut dire que la fuite vers un pays tiers est un risque réel.
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2 réponses à “Petit meurtre en famille dans la communauté kurde à Rennes : le principal suspect reste en prison”
vous pouvez me dire quand ces migrants arretent de s’entretuer ou d’agresser les français ? pas possible c’est le climat de l’ouest qui les rend dingos ?
Non ils ont d’autres mœurs, des méthodes tribales.