Pendant qu’un grand nombre de Bretons fêtaient Noël en famille dimanche 24 décembre au soir, certains individus ont opté pour un autre programme.
À Brest, le quartier « sensible » de Pontanezen a ainsi vu cinq véhicules incendiés aux alentours de 22 h dimanche soir. Malgré l’intervention des soldats du feu, les véhicules ont été ravagés par les flammes.
Côté sémantique, on notera que le quotidien le Télégramme, relatant l’information, qualifie de « populaire » le quartier de Pontanezen. Un quartier du peuple donc. Curieusement, bien qu’une grande partie du Centre-Bretagne soit elle aussi « populaire », les véhicules incendiés, les trafics en tout genre ou encore les attaques de pompiers aux mortiers d’artifice s’y font rares. Aussi, peut-on déduire que l’explication de cette délinquance (voir criminalité) par le seul prisme de la condition sociale ne résiste pas à l’épreuve du réel.
Pontanezen, quartier plus « prioritaire » que populaire
Pire, le quartier brestois serait même bien davantage favorisé que ces zones rurales du Kreiz Breizh sur lesquelles l’État et les collectivités semblent avoir définitivement tiré un trait.
Ces nouveaux feux de véhicules à Pontanezen sont donc l’occasion de rappeler qu’en plus d’être un quartier notoirement réputé pour son insécurité et son islamisation, il est aussi un gouffre financier.
En mars 2022, le maire PS de Brest François Cuillandre s’était déplacé à Pontanezen pour inaugurer la crèche Marie-Becquet-de-Vienne. Les lieux, destinés à accueillir 100 enfants, venaient alors prendre le relais de l’ancienne crèche municipale de l’Europe, et se situent à proximité immédiate de l’arrêt de tramway de Pontanezen. Tramway qui, par ailleurs, a déjà connu des désagréments à plusieurs reprises avec les bandes de racailles locales…
100 millions d’euros pour rien à Pontanezen ?
Cependant, même si les multiples tentatives d’acheter la paix sociale n’ont jamais porté leurs fruits dans le quartier, pas question pour autant de réduire la voilure en matière de dépenses : le projet de nouvelle crèche aura coûté 4,2 millions d’euros (intégralement financés par des fonds publics), dont 3,8 millions ont été apportés par la Ville.
Et puisqu’il est question d’argent public, il ne faudrait pas oublier que Pontanezen, quartier composé à 90 % de logements sociaux, s’est vu attribuer une enveloppe dépassant les 100 millions d’euros pour un plan de rénovation étalé de 2006 à 2016.
Les objectifs de l’époque affichés par la mairie, déjà tenue par François Cuillandre, étaient alors les habituels poncifs revenant à chaque fois qu’il est question de « Politique de la ville » : désenclaver le quartier et favoriser la sacro-sainte mixité sociale. Les années suivantes auront largement permis de démontrer l’échec d’une telle ambition.
Incendies de voitures et vitres brisées à Rennes
Enfin, à Rennes, autre fief de la gauche bretonne, les pompiers ont également été appelés pour un feu de voiture, cette fois dans la nuit du vendredi 22 au samedi 23 décembre vers 2 h 30.
Le sinistre en question a eu lieu rue Jean Macé, non loin du parc du Thabor. Après un départ de feu dans un premier véhicule, les flammes se sont propagées à un second, les deux voitures ayant été détruites malgré l’intervention des pompiers. La police rennaise a également été dépêchée sur place.
D’autre part, si pour l’instant aucune information n’a été confirmée sur l’origine du sinistre, il est à noter que plusieurs véhicules stationnés dans la cette même rue Jean Macé ont pour leur part été victimes de bris de vitres.
Des faits qui, compte tenu de la gravité de l’actualité judiciaire rennaise des dernières semaines, en deviendraient presque anecdotiques. Malheureusement.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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5 réponses à “Ensauvagement. Un Joyeux Noël à Pontanezen (Brest) et à Rennes…”
»Le quartier de Pontanezen (de Brest) est réputé pour son insécurité et son islamisation, il est aussi un gouffre financier » et »le maire P.S. essaie d’acheter la paix sociale »…ce maire gauchiste ne réussira pas à »acheter la paix sociale » si les voyous ne sont pas punis quand ils brûlent les voitures des Français non-musulmans, quand ils caillassent les F.O., les pompiers, etc…mais ce maire gauchiste doit son poste de maire grâce aux votes de ces voyous d’origine étrangère…d’où son »indulgence » envers eux..et tant pis pour la sécurité des Français et pour les impôts exorbitants qu’ils doivent payer…. afin que ce maire gaucho déverse leur argent dans ces »quartiers sensibles »…
Vous pouvez continuer sur les voitures incendiées, trafic de drogue, agressions, vols en tous genres, vous risquez beaucoup moins que si vous collez des affiches pour la mémoire d’un jeune rugbyman tué sauvagement à l’arme blanche !
J’ai largement fréquenté Pontanezen…il y a une soixantaine d’années !
Le quartier de « Ponta » était alors connu pour ses Ecoles Techniques de la Marine -où j’ai fait mes études – et surtout par sa gendarmerie .
Mais c’était apparemment une autre époque aujourd’hui révolue et, si je comprends bien, le quartier et sa réputation se sont bien dégradés.
La bascule à été la création de la prison de l’Hermitage. Le gouvernement socialiste a délesté les prisons de la région parisienne et les familles des détenus sont venus s’installer par ce que la justice avait prononcé des mesures d’éloignements. Quand ils sont sortis ils n’ont pas arrêtés leurs conneries.
J’ai travaillé dans une société où ils ont eut l’idée saugrenue d’accepter des détenus en réinsertion et le pire ont n’étaient pas au courant du pédigré ont l’a su par ce qu’il y a eut un problème avec celui qui était avec moi il a prit une leçon de vie et un auxiliaire de justice est venu . En pure perte la seule chose qui les intéresse s’est la vente de drogue. Maintenant Il y a 9 autres quartiers comme celui là.
J’ai une solution pour régler le problème mais les gauchos vont sauter au plafond.
Ça arrivera un jour mais quand ?
fakeniouze: ces djeunes des quartchiers avaient tellement froid qu’ils ont allumé des feux de la saint jean pour se réchauffer et lutté contre les violences policières