Dans son discours « Conclusion : Que faire ? », Victor Aubert (Academia Christiana) tire un bilan du colloque sur l’écologie en mettant en lumière le retard des chrétiens face à ce sujet. Il critique l’approche punitive de la gauche et sa vision globale de la crise écologique, soulignant l’importance du local et du concret. L’orateur souligne l’aspect spirituel de la crise écologique, associant la pollution à une profanation du monde. Il évoque la nécessité de respecter la juste mesure, mentionnant que la démesure de la technique et de l’industrie ruine les capacités humaines. Victor Aubert appelle à renoncer à l’agitation inutile et à reconnaître nos limites, tout en critiquant la notion de responsabilité envers la planète.
Il met en garde contre l’illusion de pouvoir intervenir dans toutes les situations et encourage à agir au niveau individuel et local. Sur le plan politique, l’orateur propose des mesures concrètes axées sur le soutien à une agriculture durable, la protection des espaces agricoles, la lutte contre la brevetabilité du vivant, et la transparence sur l’origine des produits. En conclusion, Victor Aubert préconise une approche personnelle basée sur l’esprit de pauvreté et la redécouverte de la vie en lien avec la nature. Il encourage à vivre de manière plus sobre, à se rapprocher de la campagne, à limiter la consommation et à apprécier les plaisirs simples.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
2 réponses à “Vers une écologie intégrale : Réflexions chrétiennes et pratiques concrètes”
Les vessies seraient-elles devenues des lanternes ?
Les loups hybrides ne sont pas des loups. Les laisser proliférer produira l’effet inverse de celui clamé : ils prendront le dessus sur les vrais loups qui finiront par disparaître.
Un animal sauvage n’appartient à personne et ne possède pas de nom. Alors pourquoi tant de loups en ont-ils un ? (scientifique et ou familier).
Avec les pro-loups, la corde sensible et l’appel à l’argent ne sont jamais bien loin et même si « les loups » sont des hybrides ce n’est pas le plus important.
Si les hybrides étaient éradiqués, à qui à quoi cela porterait-il préjudice ? à l’évidence, pas au loup.
Souvenez-vous : truite grise et truite fardée au Parc de Yellowstone.
La catastrophe écologique prévisible, due à la protection légale d’un animal hybride, ne pourrait-elle pas être évitée ?