Les « cathos de gauche » sont en deuil : la revue suisse Aufbruch mettra la clef sous la porte en 2024. Passée de 11 000 abonnés à 2 000, Aufbruch, fer de lance du gauchisme catho a fini par lasser les fidèle sans pour autant attirer de nouvelles brebis égarées.
Né en 1988 dans le sillage de l’affaire Wolfgang Haas, du nom d’un évêque très conservateur nommé dans le diocèse de Coire qui avait déchaîné les passions, Aufbruch s’intéressait aux « marges » et répandait la « théologie de la libération » face aux « tendances réactionnaires » de l’Eglise. Car Aufbruch ne s’inscrivait même pas dans le sillage de Vatican 2 mais allait bien au-delà dans le progressisme et le gauchisme débridé.
Le magazine est désormais libéré de toute obligation envers ses lecteurs et finit dans les poubelles du clergé. Le premier numéro avait été tiré à 100 000 exemplaires selon nos confrères de riposte catholique, les derniers numéros atteignaient péniblement les 2000.
Confronté au vieillissement des boomers cathos de gauche « jouisseurs », l’Eglise voit désormais arriver une génération beaucoup plus conservatrice sur le plan des moeurs et beaucoup plus préoccupée par l’avancée de l’Islam que par le « dialogue des cultures ».
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4 réponses à “Suisse : une revue catholique progressiste disparaît faute de lecteurs”
Les Suisses pourrons trouver l’équivalent en France, ça ne manque pas.
Une des rares bonnes nouvelles de la semaine.
quoi ? la bienpensance est radine ?
à quand la disparition de LA VIE (ex. catholique) ?