L’Afrique du Sud multiraciale est tristement célèbre pour son industrie du trafic d’organes et du trafic d’êtres humains
Ainsi des enfants sont régulièrement enlevés et opérés pour se faire prélever un rein ou un organe vital dans le but d’alimenter des réseaux opérants à partir de l’Asie et des Pays Arabes où les organes sains et jeunes valent de l’or.
Mais l’affaire qui nous intéresse aujourd’hui est de toute autre nature. Dans la culture zoulou et peuples apparentés, des personnes, notamment des enfants, peuvent être enlevés, violés, assassinés et dépecés dans le cadre de la sorcellerie traditionnelle. Ces « meurtres muthis » (ou « umutis ») d’un mot zoulou qui signifie herbe, arbre ou buisson ou « meurtres médicamenteux » sont censés être liés à la fabrique de potions guérissantes. Les meurtres muthis font régulièrement la Une de la presse sud-africaine car certaines communautés noires sont réticentes à la médecine scientifique, blanche donc, pour ne faire appel qu’à des sorciers dont certains pratiquent des sacrifices humains, souvent des enfants ainsi que le cannibalisme.
C'est dans ce contexte culturel que Samuel Mangebeletane Tsela, un Noir sud-africain de la province du Mpumalanga avait été arrêté pour avoir tué, violé et dépecé une jeune fille noire de la communauté Nguni de Mathafeni à Mbombela (anciennement "Nelspruit" de son nom afrikaner avant que l'ANC ne débaptise toutes les villes et provinces pourtant fondées par les Afrikaners. Nelspruit était d'ailleurs originellement une ferme boer). La fillette de 6 ans avait ainsi subi les pires atrocités pour satisfaire une femme sorcière désirant s'approvisionner en chair humaine pour sa "médecine muthi" personnelle. Après de multiples rebondissements, les trois personnes liées à ce meurtre ont connu des fortunes diverses. L'un d'entre eux, Samuel Mangebeletane Tsela originaire de la ville de Game avait même été libérée sous caution en fin d'année dernière pour "manque de preuves". La communauté d'où était originaire la jeune victime Bontle Mashiyane aura cependant été moins clémente que les tribunaux sud-africains souvent incompétents car occupés par des "juges" nommés non en raison de leurs compétences mais en raison de leur origine ethnique, "politique des quotas" de l'ANC oblige... Samuel Mangebeletane Tsela a donc été retrouvé ce week-end, lynché et brûlé vif un pneu autour du cou. Loin de représenter une normalisation du fonctionnement de la justice, la fin de l'Afrique du Sud blanche a entraîné un chaos racial où les Blancs subissent un lent génocide et où les Noirs se tuent et se violent plus que sous l'Apartheid ! Rappelons que les promoteurs du "développement séparé" entre Noirs et Blancs en Afrique du Sud avaient, pour justifier cette politique, mis en avant l'impossibilité pour des peuples ayant de tels écarts culturels de pouvoir cohabiter sur la même terre.
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3 réponses à “Afrique du sud : malgré son acquittement un Noir brûlé vif dans une affaire de « meurtre muthi »”
Justice populaire expéditive mais néanmoins méritée ! Nous n’allons pas pleurer sur la fin de ce salopard !
Serait-ce un exemple à suivre par nous petits blancs? A méditer
la « justice » populaire ! quand la justice tout court ne fait pas son travail