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Israël, Palestine, Gaza…et nous et nous et nous..les Européens ? [L’Agora]

On le sent depuis plusieurs années déjà, mais on en a la preuve très récente avec les évènements en Israël et à Gaza. Les Européens sont sortis de l’Histoire. Ils n’existent plus, aux yeux du monde, comme par rapport à eux-mêmes. Depuis plusieurs semaines, tout le focus médiatique, politique, en France notamment, a été mis d’abord sur l’attaque massacre du Hamas contre Israël, puis sur la riposte d’Israël contre Gaza. 

Tout ça pour ce qui s’apparente à une guerre sans fin entre deux mondes qui ne peuvent pas vivre ensemble, et donc il parait même difficile qu’ils parviennent à vivre côte à côte dans deux États séparés sans poursuivre la guerre qu’ils se mènent depuis le milieu du 20e siècle.

Des Européens réduits au silence…

Mais c’est leur histoire. Celle des Israéliens, celle des Palestiniens. Pas la nôtre. Et nous avons un peu tendance à l’oublier ces derniers temps, alors que chaque plateau télévision est transformé en champ de bataille médiatique.

Un champ de bataille à sens unique tout de même, toute objection faite à la riposte sanglante d’Israël vis-à-vis de Gaza et de ses habitants — qui ne sont pas tous des membres du Hamas — étant balayée d’un revers de la main, par des chroniqueurs et des journalistes qui semblent totalement sortis de leur rôle et de leurs gonds.

Une attitude que l’on ne voit jamais, ou pas à cette intensité, lorsque des évènements sanglants frappent la France, ou lorsque des Français subissent au quotidien les conséquences de décisions politiques criminelles, et cela depuis des lustres.

Ce champ de bataille médiatique — et la guerre politique parallèle, qui conduit à qualifier de «soutien au terrorisme» tous ceux qui émettent des objections, sur les termes employés, sur les mots choisis, ou tout simplement sur la conduite d’un gouvernement qui, comme ceux qui l’ont précédé, ne respecte même pas les recommandations de l’ONU, est révélateur de notre effacement.

Tout comme sont révélatrices de notre effacement ces manifestations spontanées, à Londres, Paris, Berlin, ou même à Istanbul (rappelons que certains veulent faire entrer la Turquie dans l’UE), en solidarité avec la Palestine, avec Gaza, et très souvent contre Israël et son peuple, manifestations qui témoignent de l’ampleur d’une immigration extra – européenne que les décideurs politiques coupables ont laissée s’installer depuis 50 ans maintenant sur  notre sol.

D’un côté, ceux qui donnent le la politique et médiatique ne tolèrent rien d’autre qu’un soutien inconditionnel à Israël, parfois sans la moindre mesure, parfois avec des dérapages verbaux sur les plateaux TV qui auraient envoyé n’importe quel Européen devant les tribunaux s’il les avait tenus pour dénoncer l’immigration et ses conséquences ici, chez nous.

De l’autre, des rues de grandes métropoles européennes qui, spontanément encore une fois, se transforment en «rue Arabe» si l’on peut s’exprimer ainsi, avec des manifestations de colère qui devraient d’ailleurs inciter les autorités à la plus grande prudence quant à la capacité de mobilisation, mais aussi de violences inhérentes à ce conflit qui ne devrait pourtant pas nous regarder, si nous étions encore en Europe, sur la terre des Européens.

Dressons un parallèle très simple : Les dirigeants occidentaux s’évertuent (et dans l’indifférence d’Israël et de son peuple pour le coup) à imposer depuis 50 ans une immigration extraeuropéenne de plus en plus importante. Une immigration extraeuropéenne qui n’est plus individuelle, mais collective, populaire, et qui provoque dans tous nos pays des changements culturels, ethniques, religieux, tribaux. Et qui a des conséquences lourdes sur le «vivre ensemble à l’Européenne».

Les exactions visant nos populations se sont multipliées de manière exponentielle. Les chiffres de la délinquance confirment ce que tout le monde pense, voit, mais n’ose pas dire. Combien d’Européens tués ces 20 dernières années par des individus qui n’avaient rien à faire sur notre sol, ou dont les familles ont bénéficié des largesses du droit du sol? Combien d’agressions, de viols, de cambriolages, d’exactions, en lien avec des individus qui n’auraient jamais dû venir ici, chez nous? Et enfin, combien d’enfants européens, blancs (n’ayons pas peur des mots), qui naissent ou à naître sur cette terre d’Europe, et combien d’extraeuropéens?

Et pourtant, malgré ces injustices, malgré ces crimes, malgré cette dépossession progressive de la souveraineté des peuples Européens, malgré leur disparition démographique programmée… combien de manifestations massives, réunissant des dizaines, des centaines de milliers de personnes, spontanément, dans les rues des grandes métropoles, pour dire stop à des dirigeants de plus en plus mal élus, de moins en moins légitimes, mais qui se reproduisent socialement et qui règnent en maîtres sur notre continent? Vous ne voyez toujours pas le problème? Vous ne voyez pas que pendant que des masses défilent dans nos pays, pour soutenir leurs frères — puisqu’ils s’identifient aux Palestiniens comme leurs frères, eux qui ont des consciences raciales, ethniques, culturelles et religieuses ne souffrant d’aucun sentiment de culpabilisation, sentiment dont nous sommes pétris — nous en sommes rendus au silence? Même les urnes ne servent plus de défouloir, puisque moins de 50 % de la population française en âge de voter a voté aux dernières élections.

Nous sommes à terre. Non pas par la faute des millions de défenseurs de la Palestine qui habitent aujourd’hui en Europe (et à qui il faudrait tout de même poser la question de savoir pourquoi ils ne vont pas en terre palestinienne aider leurs frères, puisque la question leur tient tellement à cœur). Mais par notre faute. Par notre aveuglement. Par notre recul permanent. Par notre culpabilisation permanente aussi, que nous devons y compris à des gens qui défendent aujourd’hui «le droit inconditionnel d’Israël à se défendre», et donc à quasiment éradiquer Gaza.

Nous disparaissons de l’histoire parce que nous ne pouvons même plus exprimer notre colère sous peine d’être dissous, arrêtés, jugés, condamnés, d’après des lois qui n’ont pas été votées en Palestine ou en Israël, mais bien ici, chez nous. Nos élites médiatiques, politiques, institutionnelles, ont obligé les Européens, depuis le nazisme, à ne plus se penser différents du reste de la planète. À croire que chacun est l’égal de l’autre, que tout se vaut, que nous serions tous des frères sur cette planète. Alors que la réalité, le quotidien, montre justement que partout où sur la terre, des hommes et des femmes aux religions, cultures, nationalités, ethnies, couleurs de peau différentes, se côtoient de manière trop massive, il y a la guerre.

…Ou à n’être que des supporteurs d’une équipe de football !

C’est ainsi qu’est l’Homme. On ne peut pas se reprogrammer. Certains voudraient bien en finir avec l’Homme, virer de cap vers le transhumanisme, ou le voir disparaitre dans une Apocalypse environnementale que certains anxiologues professionnels prédisent. Mais les faits sont têtus. L’Homme est toujours là. Et depuis des siècles, il conquiert des territoires, il fait la guerre, il fait la paix, il cherche le meilleur, d’abord pour lui, puis pour son foyer et sa famille, être social qu’il est, puis pour ses amis, puis pour ceux qui lui ressemblent et avec qui il a fondé une tribu, un clan, une ethnie. Puis éventuellement, s’il y a encore un peu de la place et de temps dans ses préoccupations, il s’intéresse à l’autre, le distant, le trop différent pour lui. Un trop différent qui raisonne de la même façon. C’est ainsi, c’est la vie, l’Histoire se répète.

L’Histoire se répète, mais sans nous. Nous en sommes rendus à être non pas les arbitres — les voix diplomatiques y compris françaises font rigoler toute la planète — mais les supporteurs d’une équipe ou d’une autre. Des supporteurs qui, et c’est le principe, n’ont ni objectivité, ni compassion, et, lâchés en meute, se révèlent être parfois de fieffés salopards, chacun sachant ici comment une meute peut rendre con et barbare y compris le plus gentil des personnages de cette planète.

Ce n’est pas ce destin que je souhaite pour mes enfants, ni pour tous ceux de mon peuple. J’aimerais d’abord que mon peuple puisse abolir les lois et les constitutions qui empêchent nos peuples d’Europe de faire le travail nécessaire pour ne pas disparaitre ethniquement et civilisationnellement. J’aimerais en finir avec l’immigration, et mettre en place la remigration massive d’une partie des populations qui ne sont pas Européennes (par exemple tous ceux qui aujourd’hui, se sentent supporteurs d’une des deux équipes qui se mènent une sale guerre sur un territoire martyr). Et qu’importe les chouineries de l’ONU, du FMI, de l’OTAN, ou de quelconque organisation non élue par mon peuple qui prétendrait vouloir lui dire ce qui est bon ou pas pour lui.

J’aimerais que les Européens puissent s’exprimer librement, sur tous les sujets. Et s’affranchir des diktats d’organisations, de lobbys, de castes politiques, médiatiques, économiques, qui ne représentent que leurs intérêts propres. J’aimerais que les Européens réapprennent qui ils furent, qui ils sont, et qui ils doivent devenir. J’aimerais voir un sourire sur le visage de mes enfants et ne pas lire en eux la peur de l’avenir, y compris de disparaitre englouti par les eaux parce que des faux prophètes leur lavent le cerveau.

Et quand tous ces problèmes seront réglés, quand notre civilisation aura enfin redressé la tête, quand elle aura compris qu’on peut vivre, de façon quasi autarcique, comme l’Inde, sans emmerder ni se laisser emmerder par le monde entier, alors effectivement oui, je pourrai me poser et accepter que les grands débats du moment puissent être, le cas échéant, la question israélo-palestinienne, ou le conflit religieux à l’ouest de la Chine, ou encore le devenir des Aborigènes d’Australie.

En attendant, nous avons des peuples et une civilisation à défendre, qui n’est pas la civilisation occidentale comme voudraient nous faire croire ceux qui nous poussent sans jamais prendre de risque à la guerre des civilisations, mais bel et bien l’Europe.

« Ni kippa, ni Keffieh » qu’ils disaient dans les années 80. Et Européen d ’abord!

Julien Dir.

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Crédit photo : Pixabay (cc)

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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21 réponses à “Israël, Palestine, Gaza…et nous et nous et nous..les Européens ? [L’Agora]”

  1. Le dantec dit :

    Qui donc écrit analyse si bien ? Julien dir. J’aurais du savoir. Que peut on faire? Dans mon quartier ceux qui me disaient extrémiste de pensée commencent à comprendre (accepter de dire) est ce un premier pas? Qui aidera les policiers ?

  2. a.p dit :

    Les Européens lambdas n’ont pas de plan B, pas de binationalité, pas de foyer national à eux au cas où cela tournerait mal…et pas d’amis sincères à travers le monde.
    Entre kippa et keffieh, il faut pourtant choisir, choisir le camp dont la victoire est la moins dangereuse pour notre liberté.

  3. Gaï de ROPRAZ dit :

    Très bon texte, très bonne analyse d’une situation un rien confuse. Oui, on oublie souvent qui nous sommes, et qu’avant toute considération nous sommes européens.

  4. Prétet Yvette dit :

    Depuis plusieurs années, les musulmans achètent notre pays!…moi, j’appelle cela de  »la colonisation » et je rappelle les paroles d’Emmanuel Macron:  »La colonisation est un crime contre l’humanité »…donc les musulmans ont, EUX, le droit de faire des  »crimes contre l’humanité » comme celui d’enlever 3.000 non-musulmans  »innocents » qui se promenaient dans les rues de leur ville(en 1962),d’égorger 5.000  »civils innocents »(à Oran le 5 juillet 1962),de massacrer 150.000 harkis  »désarmés » er leur famille, après avoir signé  »Les Accords d’Evian »????….

  5. louis dit :

    excellente analyse mais dans l’indiférence quasi génétale que peut on faire ? regardez les sites dit de réinformation vont disparaitre ( breizhinfo aussi sans doute ) est ce que l’on entend la dit opposition sur ce sujet ? bien sur que non cette opposition se contente de gérer leur petit fond de commerce j’ai bien peur que dans les autres pays d’europe regne la meme indifférence

  6. ALREN dit :

    Merci pour cet excellent article. On aimerait lire des chroniques de cette trempe dans « nos » journaux patentés de la PQR. Ne rêvons pas, les directeurs de salles de rédaction tiennent bien les rênes.

  7. Philippe Payen dit :

    Tout est dit de la « lâcheté voulue » de nos prétendus dirigeants

  8. Eric Abgraal dit :

    Le devoir de tout citoyen européen est d’abord de dénoncer avec fermeté la barbarie islamiste telle qu’elle existe depuis l’origine et se perpétue partout dans le monde. Soutien total à Israël dans sa volonté d’éradiquer les barbares. Soutien aussi au peuple palestinien pour sa demande légitime d’un état comme tout peuple dont le peuple breton à droit. Mais refus absolu de la barbarie.
    Et vive l’Europe aux cent drapeaux.

  9. Travis dit :

    Un chapelet de contre vérités et d’ambiguïtés évasives, ce texte.
    Il suffit de prêter l’oreille au discours de l’agresseur musulman, le Hamas, pour comprendre que son intention n’est pas du tout de reconquérir la phalestine, dont il n’a rien à cirer, vu comment il traite sa population à Gaza, mais d’envahir le monde entier comme sa secte le préconise. Évidemment, cette agression nous concerne au plus haut point puisqu’ une partie des troupes est sur notre sol. Suite aux divers accords passés avec les arabes, notre sol est envahi d’ennemis. Il faut les chasser et Israël reste un modèle pour tout patriote soucieux de l’homogénéité de son peuple. Prenons exemple sur lui .

  10. Franck dit :

    Ça commence à bien faire, les conflits dans les autres pays du monde cela ne regarde que les pays concernés. Rien à faire de la Palestine et d’Israel, de l’Ukraine et de la Russie, de la Chine et Taiwan, etc… D’autant plus que nous simples mortels ne sommes pas au courant de tous les dessous de la politique, des intérêts commerciaux ou idéologiques qui se trament en arrière plan, des trahisons à la parole donnée et de la corruption universellement établie. On nous bombarde sur les chaines d’information, qu’elles soient publiques ou privées, d’un tas d’informations, d’avis, qui peuvent être contraires d’une chaîne à l’autre, étant pérorés par des soit-disant specialistes de tout, et tout ça pour justifier des dépenses faramineuses que l’on devrait plutôt consacrer à notre population. Qui sommes nous pour vouloir prétendre sauver le monde et intervenir partout, protégeons nos frontières, notre culture, notre civilisation, qu’ils se débrouillent entre eux et comme disait Arnaud Amaury en 1209 au siège de Béziers: – …et Dieu reconnaîtra les siens. –

  11. Jakez GWILLOU dit :

    Le conflit israélo-palestinien tout comme le conflit russo-ukrainien ne nous concerne en rien. Quel intérêt les Européens ont-ils à prendre part pour ce qui relève d’une querelle de famille ? Aucun. Et, si les autochtones de l’Hexagone sont en dormition, c’est parce qu’ils ont été dument formatés par l’école de République. Laquelle a éradiqué tout sentiment identitaire, d’appartenance religieuse et ethnique. Peut-être que d’un mal sortira un bien : un réveil européen !

  12. Clovis dit :

    Très bon article. Merci.

  13. Sinclair dit :

    Impossible de se « planquer », l’occident a créé l’état d’Israël en oubliant les palestiniens. Aujourd’hui Israël est le premier allié des Etats-unis, le conflit rejoint le combat pour un monde multipolaire et le droit des peuples. Non contre Israël mais pour la Palestine.

    • kaélig dit :

      « …Aujourd’hui Israël est le premier allié des Etats-unis,… »
      Et heureusement pour Israël, qui sans celà aurat été balayé par la coalition de tous ses voisins arabes .
      Lors de la création de l’Etat d’Israel en 1948, AUCUN Etat ne s’est soucié de lui garantir sa sécurité, encore moins l’ONU nouvellement créé. Au contraire, les Britanniques chargés du protectorat de cette zone issue de la défaite de l’Empire Ottoman ont quasiment tout fait pour empécher l’arrivée des survivants de la Shoah en bateau (Exodus), pour arraisonner les navires arrivant aux ports de Tel-Aviv et de Haïfa qu’ils soupçonnaient (à juste raison d’ailleurs) de transporter des armes et vivres payés par la solidarité financière de la diaspora juive américaine (et elle seule), ils ont laissé massacrer à 1 km de leurs bases militaires 75 médecins et infirmières qui se rendaient en convoi à un hopital/université ultra moderne pour l’époque, en cars et ambulances (forcément blindés) avant d’intervenir 6 h après avoir été alertés, pour ramasser les cadavres en majorité brûlés par les coktails Molotov…Dans le même temps, plus préoccupés par le Canal de Suez et la manne pétrolière, ces chers english vendaient des armes aux Arabes…
      Alors oui, les 700 000 juifs de la Palestine, à 1 contre cent et TOUS SEULS ont réussi a assurer la pérennité de leur pays et survivent grâce à la protection américaine car l’europe (sans majuscule) cette entiité émasculée ne lèverait pas le petit doigt pour les défendre.

      • bruxe dit :

        certain sont plus égaux que les autreshttps://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/ATAG/2018/614659/EPRS_ATA(2018)614659_FR.pdf

  14. Torr dit :

     »Qui » a organisé ou concouru à cette invasion migratoire avec, entre autres, les organismes stipendiés ? « Qui », en ce moment, pleurniche d’avoir le retour du bâton et veut recueillir un unanimisme sur la guerre génocidaire menée en Palestine ? Toute cette Assemblée croupion se joint à ces lamentations relayées par tous les plumitifs de plateau et de médias pour une guerre qui, effectivement, ne nous concerne pas.

  15. Benalla dit :

    J’adhère à 100 p. cent à cette analyse.
    Hélas, nos « elites » (or so called) ne sont plus ce qu’ils font croire au peuple de France, peuple qu’ils manipulent depuis de Gaulle.
    Mais où sont les patriotes d’antan ?
    Nos chroniqueurs, paraissent en l’occurence au service du pouvoir, lequel penche selon les circonstances, tantôt pour Tel Aviv, tantôt pour le nadir, mais plus jamais pour notre belle France. De

  16. marie p. dit :

    Avec un « Je suis votre chef » qui n en à rien à foutre et qui s octroie la liberté d aller se pavaner _a nos frais_ et de porter la bonne parole à ses potes muzz kazhak au lieu de remplir son devoir de prezidant….J ai bcp aimé vous lire!

  17. patphil dit :

    ils ouvrent les frontières, permettent de déboulonner nos statues, de réécrire notre langue, de changer nos traditions (hallowween, aïd etc.) bref ils nous suicident

  18. trugaretz dit :

    Il y a quand même une grande leçon pour nous dans l’histoire d’Israël et de la Palestine : entre 1850 et 1947, des centaines de milliers de Juifs venus surtout d’Europe orientale ont rejoint les dizaines de milliers de Juifs qui se trouvaient déjà sur place depuis des siècles. Ils ont fait le travail que les Arabes ne voulaient pas faire, achetant massivement des terres semi-désertiques pour y installer leurs kibboutz. Et quand les Arabes ont cherché à les rejeter à la mer en 1947, avant même la création de l’Etat d’Israël, il était trop tard, ils étaient remplacés.

    • kaélig dit :

      Enrico Macias, aussi talentueux et célèbre que Aznavour, dans une de ses chansons évoque l’enthousiasme des « colons » pieds noirs qui a force de travail, tout comme Israel, transformèrent l’Algérie en un paradis agricole…C’était avant l’indépendance de l’Algérie !
      De mémoire, je retiens: « …Que c’était bon d’araser les montagnes…Nos mains faisaient reculer la forêt…on a creusé la terre humide et tendre pour y planter nos pommiers….On a compris qu’on était arrivé… »

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