La presse LGBT est en crise : Le groupe de presse magazine I/O Media, propriétaire de Têtu, Ideat ou The Good Life, a demandé la semaine dernière son placement en redressement judiciaire devant le tribunal de commerce de Paris.
Si tout le monde connaît Têtu, le magazine des homos bobos, Ideat et The Good Life sont, eux, moins connus du grand public. Ideat est un magazine de déco chicos et The Good Life est la pravda du boboïsme urbain, quinoacolo, fric et societal friendly, le tout écrit dans un patois franglish souvent incompréhensible. Ces deux magazines n’ont visiblement pas trouvé leur lectorat et affichent des ventes dignes de fanzines punks.
Fondé il y a 28 ans, Têtu est lui en parfaite santé et gagne de l’argent ! Mais un article récent nous apprend l’astuce de cette santé économique florissante : le B2B ou « Business to Business » dont Têtu tire 75% de ses recettes. Dans un monde où chaque entreprise doit afficher une image LGBT friendly sous peine d’être diabolisée par la police de la pensée et de l’arrière-pensée, Têtu propose ainsi, via Têtu Connect, tout un tas de petits services payants de « Conseil stratégique », « Modules de sensibilisation sur-mesure pour les collaborateurs·rices, managers » ou autres « création d’événements » à l’occasion des fêtes nationales de la nation LGBT (8 mars, Pride month, IDAHOT, coming out day…), le tout dans un charabia woke de la plus pure facture !
Ainsi le 24 mars 2022, Têtu Connect proposait un webinar sur la bonne utilisation des pronoms et autres casse-têtes woke alors que le 21 janvier 2021, la lucrative petite entreprise remettait la back-room au milieu du Marais en proposant une séance de rééducation du langage afin d’employer les bons mots auprès du public, car « les mots ont un sens ». Avec en guest-star Jean-Luc Romero, adjoint à la mairie de Paris, la directrice « Diversités et Inclusion de L’Oréal et autres égéries de la mouvance LGBT.
Le filon est astucieux et lucratif et n’a pas encore été exploré par Ideat ou The Good Life qui restent ancrés dans un modèle classique de lectorat+publicité.
Rappelons que ce sympathique business fondé sur l’activisme LGBT et l’injonction aux entreprises et collectivités d’avoir une « politique inclusive » est financé, en partie, par de l’argent public. En effet, le groupe I/O Media qui détient Têtu, Ideat et The Good Life a notamment comme actionnaire le groupe controversé « SOS Participation » financé, outre des grands groupes financiers, par des collectivités territoriales, la CPAM, et l’état français directement et ce pour un chiffre d’affaires de 1,4 milliards d’euros en 2022.
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3 réponses à “Les petites astuces de la presse LGBT pour gagner beaucoup d’argent”
On ne va pas pleurer si ces torchons décadents manquent de lecteurs !!!
on se demande où vont les impots ? ben voilà !!!!!!!!!!
la dénomination des mots: se souvenir du sketch de roland magdane: