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Jared Taylor : « Pour que les Blancs puissent défendre leurs terres et leur culture, ils doivent se libérer de l’illusion suicidaire qu’ils ont été une présence malveillante sur la planète » [Interview]

Aboutissement de 25 années de défense de la cause blanche, “Si nous ne faisons rien” (“If We Do Nothing”) est un recueil des meilleurs essais et analyses de l’ethno-nationaliste Jared Taylor. Taylor expose ici les vérités fondamentales du réalisme racial et dissèque brillamment l’idéologie libérale (au sens américain du terme, c’est-à-dire “gauchiste”) qui règne aujourd’hui.

Le recueil comprend des articles devenus des classiques de la littérature politique de droite, tels que “Les manières de notre peuple” ou “L’Afrique, chez nous”, ainsi que des observations personnelles sur la littérature, le sport, les catastrophes écologiques et leurs conséquences dans un pays cosmopolite. La crème de la pensée de cet intellectuel engagé est contenue dans l’ouvrage que vous tenez dans vos mains, “Si nous ne faisons rien”…

C’est aussi une invitation au militantisme, au courage et à la résistance.

C’est un ouvrage indispensable pour que les Blancs conscients acquièrent quelques armes intellectuelles supplémentaires. Vous pouvez le commander ici

Et pour en parler, nous avons interrogé Jared Taylor.

Breizh-info.com : Peut-on dire que « si nous ne faisons rien » est votre testament politique (sans pour autant vous pousser dans la tombe :) ) ?

Jared Taylor : Non, pas vraiment. Je pense qu’il s’agit d’un recueil de mes meilleurs articles courts publiés au cours de mes 25 premières années en tant que défenseur des Blancs. Peut-être publierai-je un recueil après mes 25 prochaines années !

Breizh-info.com : Quelles ont été les principales évolutions en Amérique, durant ces 25 dernières années, les principaux changements ? Et en Europe ?

Jared Taylor : Tant aux États-Unis qu’en Europe, nous assistons à la poursuite des tendances fatales qui m’ont incité, en 1990, à commencer ma vie d’activiste. Le poète américain Robert Frost a dit un jour qu’un libéral (progressiste) est quelqu’un qui ne peut pas défendre son propre avis dans une discussion. C’est certainement vrai pour les Blancs dans toute discussion sur la race. Nous sommes incapables de résister aux accusations de culpabilité du passé, ce qui nous rend incapables de prendre les mesures les plus évidentes pour préserver nos nations et notre civilisation.

Un tournant très important a eu lieu le 25 mai 2020, lorsque le petit délinquant George Floyd est mort alors qu’il était retenu par un policier blanc. Cette mort a déclenché une orgie de violence et de récriminations qui s’est soldée par une capitulation – exactement le contraire de la réponse appropriée. Les plus grandes entreprises américaines ont récompensé les émeutiers en s’engageant à hauteur de près de 100 milliards de dollars auprès des organisations Black Lives Matter. Pendant les émeutes, des centaines de statues de héros blancs ont été détruites par la foule ou retirées par les autorités municipales qui craignaient que les émeutiers ne se blessent en essayant de les abattre.

Pas moins de 39 monuments à la gloire de Christophe Colomb ont été détruits. Lors des précédentes émeutes raciales aux États-Unis, personne n’aurait pensé que la bonne façon de satisfaire les revendications des Noirs était de détruire ou d’enlever les statues de Christophe Colomb. Cette évolution montre à quel point le mouvement pour les soi-disant « droits civiques » est passé de la justice pour les Noirs à la haine des Blancs. Christophe Colomb est désormais un criminel parce qu’il a amené les premiers Blancs dans le Nouveau Monde. Cela signifie que l’ensemble du projet européen dans les Amériques était une entreprise criminelle. De nombreux Américains blancs semblent le croire.

Breizh-info.com : On dit souvent que ce qui se passe aux USA arrive 15-20ans plus tard en Europe. Ne pensez-vous pas que l’intervalle se soit rétrécie du fait de la rapidité des échanges notamment ? Le wokisme notamment, a pénétré l’Europe de l’Ouest plus vite que prévu…

Jared Taylor : Vous avez tout à fait raison sur la rapidité avec laquelle les poisons américains se répandent désormais en Europe. Il y a même eu des manifestations « Black Lives Matter » en Europe – bien que la France, contrairement à la Grande-Bretagne, n’ait pas autorisé la destruction de monuments à la gloire des héros blancs. Les États-Unis exercent une influence culturelle et idéologique considérable, notamment sur les médias d’information, mais aussi sur les films hollywoodiens, la télévision et les romans populaires. Tous sont fermement entre les mains de la gauche, qui ne manque jamais de critiquer les Blancs et de glorifier les non-Blancs.

La France est traditionnellement fière de rejeter la culture américaine, la politique américaine, la nourriture américaine et les sensibilités américaines de toutes sortes. L’antiaméricanisme reste superficiel, mais sur l’essentiel – la survie de la race blanche et des patries pour les Blancs – les intellectuels et les médias français sont en phase avec leurs homologues américains.

Breizh-info.com : Votre livre sort, dans un contexte où l’Europe subit des vagues migratoires successives sans précédent. Qu’est-ce que cette actualité vous inspire ?

Jared Taylor : C’est un Français, Renaud Camus, qui a défini le « le grand remplacement« . C’est un Français qui a écrit le roman prophétique Le Camp des Saints. C’est un Français, Michel Houellebecq, qui a écrit Soumission. Il y a donc des Français qui voient ce que les migrations de masse font à la France. Et pourtant, pourquoi est-il presque impossible de dire publiquement que les non-Blancs, en particulier les Arabes musulmans, sont incompatibles avec la civilisation française et européenne ?

La France a connu sa première émeute raciale en 1979 près de Lyon. En 1979 ! Depuis, combien de voitures et d’immeubles ont brûlé, combien de Français tués, combien de femmes françaises violées, combien de Français battus et humiliés, combien de quartiers sensibles perdus pour la souveraineté française ? Les autorités françaises – comme celles de l’Italie, de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Suède et de l’Espagne – sont psychologiquement castrées et n’osent pas prendre les mesures les plus évidentes pour protéger leurs nations. Elles ne sont pas différentes des dirigeants américains.

Tous les sondages montrent que les Américains et les Européens veulent moins d’immigration, pas plus. Et pourtant, nos gouvernants, qui se targuent de « démocratie », écrasent la volonté du peuple.

Breizh-info.com : L’homme blanc n’est-il pas finalement responsable de ce qui lui arrive aujourd’hui ? Peut-il réellement prétendre contenir des masses venues du monde entier, alors qu’il semble être atteint d’une forme de cancer métastasé (wokisme, idéologie lgbt, ethnomasochisme.. couplé avec un effondrement économique, social et sécuritaire sans précédent) ?

Jared Taylor : Oui. Nous ne pouvons nous en prendre qu’à nous-mêmes. Nous avons facilement les moyens d’arrêter les immigrants illégaux et d’expulser ceux qui sont déjà ici. C’est une question de volonté. Je crois que les premiers éléments que vous décrivez, le wokisme, etc. sont cruciaux. L’Europe dispose encore de l’infrastructure militaire et de renseignement nécessaire pour faire ce qui doit être fait.

Breizh-info.com : L’avenir de l’homme blanc en Amérique est-il réellement lié, selon vous, à l’avenir de l’homme blanc en Europe ? Et si nos destins sont liés, alors quelles sont, selon vous, les solutions pour que se maintienne la civilisation dans un monde où l’homme blanc devient minoritaire, et où il suscite chez d’autres peuples un esprit de revanche sans précédent ? Sommes-nous voués à devenir des Afrikaneers encerclés dans l’Afrique du sud post Apartheid ?

Jared Taylor : Chaque homme blanc est confronté aux mêmes menaces. Nous sommes tous des Européens, que nous vivions en Amérique, en Australie, en Afrique du Sud ou en Nouvelle-Zélande. Nous sommes une fraternité mondiale d’Européens. Le premier Taylor est arrivé dans les colonies américaines en 1635, mais tous ses descendants étaient 100 % européens – spirituellement, moralement, culturellement, biologiquement. Un Estonien dont je ne comprends pas la langue est mon frère. Un Américain noir ou asiatique ne l’est pas.

Les États-Unis sont certainement l’entité nationale qui compte le plus grand nombre d’Européens : près de 200 millions. Toutefois, ce nombre diminue chaque année, les décès de Blancs étant plus nombreux que les naissances de Blancs. Dans 20 ans, les Blancs devraient devenir une minorité aux États-Unis, et les enfants blancs de moins de 18 ans sont déjà une minorité.

Les Européens de notre ancienne patrie ne doivent pas compter sur les Américains pour les sauver. Je ne vois aucune possibilité pour les Blancs de reprendre le contrôle des États-Unis dans leur ensemble. Il est possible que des communautés résolues de Blancs fassent sécession, psychologiquement et peut-être même politiquement, mais l’influence américaine à l’étranger continuera d’être explicitement anti-blanche. Nous le voyons dans les tentatives américaines de nuire aux partis politiques nationalistes en Europe. Ces efforts s’aggraveront au fur et à mesure que la population euro-américaine diminuera. Les Blancs en difficulté d’Afrique du Sud et du Zimbabwe représentent l’avenir de tous les Blancs, à moins que nous n’ayons le courage et la détermination de lutter pour notre survie.

Au moins les nations d’Europe de l’Est ont-elles conscience de la menace qui pèse sur nous et des enjeux qui en découlent. Elles voient ce qui se passe en France et en Allemagne. Pourtant, de puissantes forces les poussent vers l’autodestruction : l’influence combinée de l’UE et des États-Unis, ainsi que les vagues de non-Blancs provenant de nations en faillite qui poussent vers l’Europe. L’Europe de l’Est pourrait être le dernier rempart de la civilisation blanche européenne.

Breizh-info.com : Pourquoi avez-vous choisi Daniel Conversano comme éditeur ?

Jared Taylor : Il m’a proposé l’idée et j’ai accepté.

Breizh-info.com : Un message à faire passer à nos lecteurs, au sujet de votre livre ou de l’actualité ?

Jared Taylor : Les Blancs doivent comprendre les enjeux autour de la question de la Race pour se comprendre eux-mêmes. Les échecs des non-Blancs ne sont pas de notre faute. Aux États-Unis, le dogme veut que les Noirs et les Hispaniques soient aussi intelligents et travailleurs que les Blancs et qu’ils ne réussissent pas aussi bien que ces derniers uniquement en raison de la discrimination systématique dont ils font l’objet. Cela culpabilise les Blancs et c’est pourquoi tant de Blancs ont contribué à faire tomber les monuments érigés à la gloire des héros blancs lors des émeutes « Black Lives Matter ». Cela conduit également de nombreux Blancs à accepter l’idée que le tiers-monde est pauvre uniquement parce que les Blancs l’ont colonisé et exploité.

Cette culpabilité est totalement déplacée. Les races ne sont pas les mêmes. Les Noirs américains ont un QI moyen de 85 contre un QI moyen de 100 pour les Blancs. Aux États-Unis et dans le monde entier, les non-Blancs construisent des sociétés qui ne réussissent pas (à l’exception des Asiatiques de l’Est qui, en moyenne, sont légèrement plus intelligents que les Blancs) parce qu’ils n’ont pas les mêmes capacités que les Blancs. Si les Blancs se croient être de méchants oppresseurs, ils n’ont aucune défense contre les demandes les plus extrêmes et les plus déraisonnables de compensation, de discrimination positive et d’immigration en provenance du tiers-monde. Pour que les Blancs puissent défendre leurs terres et leur culture, ils doivent se libérer de l’illusion suicidaire qu’ils ont été une présence malveillante sur la planète. Au contraire, les Blancs ont construit le monde moderne, dont bénéficient des milliards de personnes qui n’ont rien apporté. Enfin, le fait de dire constamment aux Noirs qu’ils sont victimes des Blancs les pousse à haïr ces derniers.

Tant qu’il ne sera pas possible de parler franchement des différences raciales, l’homme européen continuera à dresser son propre bûcher funéraire.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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8 réponses à “Jared Taylor : « Pour que les Blancs puissent défendre leurs terres et leur culture, ils doivent se libérer de l’illusion suicidaire qu’ils ont été une présence malveillante sur la planète » [Interview]”

  1. louis dit :

    en france je pense que le mal est fait ! trop tard !le troupeau ne bouge toujours pas

  2. Taliesin dit :

    Bref, faisons des enfants EN NOMBRE et élevons-les dans l’amour des leurs.

  3. Decrop Xavier dit :

    Je crois surtout ce processus auto-entretenu exponentiellement par toute libéralité, interprêtée comme la preuve de notre culpabilité. Si nous donnons des fonds à l’Afrique, c’est pour expier le colonisation, donc que nous en reconnaissons le préjudice, et que donc il leur revient de l’évaluer eux même, pour extraire plus encore !

  4. Pschitt dit :

    N’y a-t-il pas quand même chez les Blancs une tendance innée à s’autoflageller ? Le péché originel est une invention européenne du IVe siècle, il n’existe ni dans la Bible ni dans le judaïsme. Le protestantisme, typique de l’Europe du Nord, a prétendu revenir à la Bible, mais a paradoxalement renforcé le statut du péché, devenu une affaire directe entre Dieu et l’homme. Une partie de l’histoire de la gauche politique est fondée sur un concept de repentance. Black Lives Matter ne m’en paraît pas si éloigné. Le problème est que si cette tendance innée a pu pousser les Européens, quelquefois, à s’entretuer, elle les met aujourd’hui à la merci de non-Européens. Du point de vue de l’évolution du vivant, s’abîmer dans la pénitence morale n’a pas du tout les mêmes conséquences que le grand remplacement.

  5. Rod Askelleg dit :

    « Taylor expose ici les vérités fondamentales du réalisme racial et dissèque brillamment l’idéologie libérale »

    Personnellement, j’ai toujours été contre l’installation de gens du tiers monde dans les pays blancs. J’ai toujours aimé les jolies blondes. J’ai toujours voulu que les Blancs continuent à exister. C’est mon point de vue instinctif. Je n’ai pas besoin d’arguments intellectuels pour ça. Défendre l’existence collective de sa propre race est un signe de santé mentale.

    Mais c’est utile d’avoir aussi quelques arguments intellectuels et d’être un peu informé des réalités raciales. Le site de Jared Taylor (American Renaissance) est utile dans ce sens. Être mieux informé renforce en fait notre sentiment instinctif. C’est intéressant en soi et ça nous rend moins naïfs. Ça aide à résister aux efforts d’intimidation et de manipulation qui viennent du camp anti-blanc.

    En particulier, c’est utile d’être au courant des différences de QI d’un pays à l’autre, avec les conséquences que ça entraîne. C’est une réalité génétique qui démolit l’idée que les gens sont tous interchangeables. Ça permet aussi de s’endurcir un peu psychologiquement. On est bien obligé d’admettre qu’en moyenne, les Blancs sont plus intelligents que les Noirs, et un peu moins que les Chinois.

    On a beau avoir à peu près le même QI, personne ne rêverait de remplacer les Bretons par des Hongrois ou des Espagnols. Et pourtant, il y a des gens qui veulent remplacer les Blancs par des Noirs et des Arabes, sous prétexte qu’on est tous pareils de toute façon. Comment leur répondre ? Pour économiser son énergie, il n’y a pas mieux que l’argument du QI ! Ça a l’air très réducteur, car notre identité ne se résume pas à un test de QI. Même si on nous proposait des migrants super-intelligents, on ne voudrait pas d’eux. Mais c’est un argument efficace au moins contre l’immigration africaine.

  6. patphil dit :

    les blancs sont des créatures venues de l’enfer, qu’il faut éradiquer ! qu’ils commencent par mélanchon, après on verra

  7. Bisalli dit :

    De grande civilisation ont disparu, c’est autour des blancs .
    On est mûr pour disparaître puis ce sera autour d’une autre civilisation pour enfin disparaître ?

  8. Erwan Berric dit :

    amren.com

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