En septembre dernier, 12 militants du mouvement Identitaire Argos avaient été placés en garde à vue suite à une action devant le domicile d’Oumar, suspecté d’avoir sauvagement agressé et violé Mégane. Des gardes à vue qui avaient scandalisé une partie de l’opinion publique lorsque mise au courant (car très peu de relais dans la presse mainstream) du fait du caractère étrange de s’acharner à poursuivre des individus dénonçant un viol barbare.
Aujourd’hui, le tribunal a rendu son verdict pour les chefs d’accusation d’organisation d’une manifestation non déclarée et d’incitation à la haine et provocation à la commission d’un crime ou d’un délit en raison d’un slogan inscrit sur une banderole. Pour ces chefs, les 12 militants ont été intégralement relaxés.
Néanmoins, un militant se voit condamner à 200€ d’amende pour avoir transporter une matraque…dans sa voiture (à plusieurs kilomètres des lieux de l’action).
« C’est une victoire pour notre collectif. Pour autant, cet épisode confirme de façon presque caricaturale notre mobilisation : alors que notre action soulignait la défaillance de l’État dans la protection des Français, la justice préfère abattre sa furie sur 12 militants pacifiques que sur les criminels qui remplissent les rues de notre pays. Plus que jamais, nous souhaitons nos meilleurs vœux de rétablissement à Mégane et à sa famille et nous appelons les Français à prendre conscience de leur situation : puisque l’État ne te protège pas, prépare-toi ! » indique Argos sur son compte twitter.
⚠️ Les 12 de Cherbourg sont relaxés !
En septembre dernier, 12 militants d’Argos avaient été placés en garde à vue suite à notre action-choc devant le domicile d’Oumar, qui avait sauvagement agressé et violé Mégane.
Aujourd’hui, le tribunal a rendu son verdict pour les chefs… pic.twitter.com/PioRVHpUUu
— Argos (@Argos_france) October 16, 2023
Le parquet peut néanmoins toujours faire appel de la décision, ce qui n’aurait rien de surprenant au regard de l’acharnement dont certains magistrats font preuve, du côté d’Angers notamment.
A #angers la répression républicaine s’abat de nouveau sur les jeunes identitaires coupables de protester contre l’immigration… le même jour où un Ingouche qui aurait dû être expulsé depuis 2014 tue un enseignant à #arras. Écoutez ce message lunaire de Jean-Eudes Gannat au sujet… pic.twitter.com/4zvf9XGwHR
— Breizh-Info (@Breizh_Info) October 13, 2023
Revoir le témoignage du père de la victime; Mégane :
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3 réponses à “Ils avaient été arrêtés après une manifestation dénonçant le viol barbare de Cherbourg : les jeunes militants d’Argos sont relaxés”
Le temps où l’on pouvait faire confiance en la justice de notre pays et définitivement révolu. Nous sommes maintenant dans un système judiciaire politisé à 90% et bien sur avec le fléau de la balance incliné fortement à gauche. Ajoutez à cella un Darmanin dont la seule préoccupation et de traquer l’extrême droite, un Dupond-Moretti qu (dixit lui même) dirige le ministère de l’anti-racisme et vous avez un parfait système de muselière de l’opinion que n’aurait pas désapprouvé Staline.
Vous n’avez pas compris il est interdit de dire la vérité quand ça concerne les racisés et les Maghrébins.
Vous êtes un raciste , un populiste, un nazi tout les adjectifs que les gauchos ont dans leur vocabulaire.
Ils reprochent la détention d’une matraque.
Moi j’ai la solution vous avez dans le commerce tout ce qu’il faut pour vous défendre il suffit de détourner l’usage habituel.
Vous savez pourquoi j’ai cet attirail, depuis que je me suis défendu contre un dealer qui a voulu me frapper et j’ai répliqué par une baffe qui lui a cassé la mâchoire dans ces poches les policiers ont trouvés un couteau et un pistolet à grenailles modifié.
Les choses ne changeront pas sans la réaction des citoyens.
L’Etat est incapable de protéger les citoyens et en plus il veut les faire taire quand ils dénoncent cette horrible agression. Drôle de pays où la répression judiciaire s’abat sur les victimes et les honnêtes gens et défend les coupable en muselant la parole. Darmanin et Staline ont à l’évidence les mêmes gênes.
Alors comment assurer sa sécurité dans un pays où les malfrats courent impunément les rues et où les portes de l’immigration clandestine sont ouvertes aux quatre vents?
Faudra-t-il devenir un « justicier dans la ville »?