« Mur de Trump » contre l’immigration. Biden reprend la construction d’une oeuvre décidément bien collective

Il devrait être rebaptisé « le mur de l’hypocrisie ». De toutes les histoires de manipulation médiatique, le « mur de Trump » tient le haut du pavé. Parce que la longue muraille qui sépare les États-Unis du Mexique a été construite en grande, très grande partie sous les administrations Clinton et Obama ! Oui, les démocrates, les progressistes du camp du bien, toujours le cœur sur la main pour accueillir à tout-va, ont amener leurs pierres à l’édifice anti-migrants. Joe Biden n’est pas en reste, lui qui déclarait en campagne électorale “Il n’y aura pas un centimètre de mur construit sous mon administration !” Face à la déferlante migratoire, la construction reprend en catimini : un simple avis publié le 4 octobre dernier par le registre fédéral aura suffi.

Pourquoi diable les Républicains ne dénoncent-ils pas la chose et continuent-ils de le nommer « mur de Trump » ? La raison est électorale : à l’exception de quelques utopistes qui pensent encore qu’il est possible d’accueillir indéfiniment sur un territoire fini, les citoyens veulent ce mur. Et par là-même, l’arrêt de l’immigration de masse. Notons d’ailleurs que plusieurs élus démocrates des États limitrophes du Mexique appellent de leurs vœux la barrière et prient le gouvernement d’aller plus vite.

Certes, c’est un mur. Un bien vilain mot. Un mur sépare, éloigne, isole… pas très reluisant. Les barrières freinent, renferment, restreignent.. c’est pas dans l’air du temps. Un temps où rien ne doit plus entraver « le progrès », ralentir le mouvement, empêcher la fluidité. Le solide, c’est has been. Alors les constructions en béton, n’en parlons pas !

Les plus fameux murs de l’histoire sont toujours des histoires assez moches, qu’il s’agisse de la grande muraille de Chine, du mur de Berlin, de celui qui sépare Israël de la Cisjordanie, ou de la soixantaine d’autres qui établissent une borne entre deux entités territoriales. On est bien d’accord, un mur, c’est laid. Tant pis si cela protège, supporte ou permet de définir un dedans et un dehors, de sanctifier un chez-soi permettant à chacun de s’épanouir. On l’a dit, c’est pas à la mode. Surtout quand on pense le monde comme on voudrait qu’il soit et non tel qu’il est vraiment, c’est-à-dire fait de peuples qui chercheront toujours à s’accaparer les ressources d’autres et conquérir leur terre. Le plus souvent, on appelle ça des invasions. Mais… pas à la mode non plus.

La rhétorique immigrationniste, employée pour nous faire passer la pilule, dit vrai : les invasions et autres mouvements de populations ont toujours existé, ils sont un moteur de l’humanité. Mais ce qu’elle omet, c’est qu’il est tout aussi vrai que les peuples subissant l’invasion ont le droit de se défendre, de barrer la route aux envahisseurs. Et pourquoi pas de garder pour eux ce qui leur appartient, ce qui a été bâti et léguer par leurs ancêtres. Car ça aussi, c’est un moteur de l’Histoire.

N’ayons pas peur des mots : nous vivons une période de grandes invasions. Partout sur la planète, des populations partent à la conquête des pays riches. Sans épée ni fusil, à pied ou en avion, aidées et même incitées par des transfuges au sein des pays receveurs. Mais cela reste une invasion. Qu’un mur seul ne saurait endiguer, certes.

Retournant aux latitudes qui nous occupent, aucune barrière ne parviendra à endiguer le phénomène si les yankees continuent d’irradier la soi-disant supériorité de leur way of life et s’ils persistent à déstabiliser les pays d’Amérique latine. Car la vague de Vénézuéliens qui les submerge actuellement est en grande partie la conséquence de la politique d’ingérence désastreuse qu’ils mènent dans leur pays depuis des décennies. Tout comme, dans les années 90, les accords de libre-échange nord-américain (ALENA) avaient tellement appauvri les populations latinos que ces dernières se pressaient à leur frontière, obligeant l’administration Clinton à construire des kilomètres de mur.

Quant à Donald Trump, il se demande sur son réseau,  Truth  :« Joe Biden va-t-il s’excuser auprès de moi et des États-Unis d’avoir mis tant de temps à s’activer et d’avoir permis que notre pays soit inondé de 15 millions d’immigrants illégaux, originaires de pays inconnus. J’attendrai ses excuses ! »

Pas sûr qu’elles arrivent.

Audrey D’Aguanno

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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Une réponse à “« Mur de Trump » contre l’immigration. Biden reprend la construction d’une oeuvre décidément bien collective”

  1. Rod Askelleg dit :

    C’est vrai que Biden a autorisé la construction d’une nouvelle section du mur sur la frontière du Texas avec le Mexique, mais personne ne comprend pourquoi. Ça obligera les immigrés à contourner le mur, mais ils pourront quand même rentrer. Le gouvernement n’a aucune intention d’arrêter sa politique de submersion par le tiers-monde.

    Je viens de lire que la nouvelle section de mur va être construite dans le comté de Starr (« Starr county »).
    Population: 65 000 habitants, dont seulement 2500 Blancs d’origine non-hispanique.
    En s’installant là, les Mexicains restent tout près de chez eux, mais ils reçoivent plein d’aides sociales en tout genre.

    On sait que le gouvernement Biden est anti-blanc, mais il y a aussi un problème avec les députés républicains membres de la chambre des représentants. La plupart d’entre eux sont des traîtres. Ils avaient refusé de donner à Trump le budget nécessaire pour construire le mur sur toute sa longueur. Trump avait dû ruser pour réussir à construire quelques bouts de mur ici et là.

    Le problème est que les politiciens dépendent du pouvoir anti-blanc pour se faire élire ! D’abord, ils ont besoin du soutien des médias, qui sont tous anti-blancs. Ensuite, ce sont les réseaux anti-blancs, avec l’aide de certains milliardaires, qui contribuent le plus d’argent aux campagnes électorales des différents candidats à la fois démocrates et républicains. Une fois élus, les politiciens continuent la politique du Grand Remplacement contre la volonté de leurs électeurs.

    Il faudrait que les gens normaux se mettent ensemble, qu’ils créent des médias pro-blancs, et qu’ils se mettent à financer les campagnes électorales de leurs propres candidats. Mais on se doute bien que le système est truqué et qu’il y a des obstacles invisibles. En France aussi, il est impossible de créer un journal ou une télé pour dénoncer notre génocide par remplacement. C’est une petite minorité qui réussit à nous imposer cette situtation contre la volonté générale.

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