Le changement progressif de population en Bretagne commence à se voir ! [L’Agora]

Depuis quelques années, vous remarquerez que les gauchistes sont passés de « Il n y a pas plus d’immigration qu’avant » à « L’immigration n’est pas un problème, il faut ouvrir les frontières ». Si en France, la population autochtone avait bel et bien remarqué, depuis plusieurs décennies déjà, que la population changeait ethniquement (sérieusement, qui pourrait dire le contraire en allant à Paris, à Marseille, à Lyon, en Provence, dans le Languedoc …?), en Bretagne, nos élus, ainsi qu’une partie de la population (non négligeable) font la politique de l’autruche, encore et encore.

Un déni de réalité total, qui n’empêche pas le réel d’être là. Et bien là. Prenez Rennes ou Nantes au début des années 2000. Prenez ces deux métropoles aujourd’hui. Le mail François Mitterrand a parfois aujourd’hui des allures de petit Mali. Qui dira le contraire ? On parle de la ZUP Sud, de Villejean, de Maurepas, et pour Nantes, de Bellevue, de Malakoff ? On parle de Pontanézen à Brest, de Kercado à Vannes ? Allons allons, un peu de sérieux deux secondes. Que les élus aient au moins l’honnêteté de dire que oui, il y a bien, depuis 20 ans en Bretagne, une accélération du processus d’immigration extra européenne. Et donc un changement progressif de population, en cours. Vous avez vu la composition ethnique de certaines écoles de Rennes en cette rentrée scolaire 2023-2024 ? Et de Nantes ? Vous ne voyez pas dans vos gazettes locales à quel point les élus jouent la carte du clientélisme et du communautarisme, via des subventions, via des utilisations de langues non bretonnes parfois, via une communication parfaitement réglée ?

« Et alors, c’est la couleur de peau qui vous gène » finirons par répondre ceux qui se sont évertués à nier la réalité durant des années. Ceux là même qui favorisent l’immigration en disant ensuite, deux décennies plus tard « Ils sont français comme vous et moi », oubliant de rappeler qu’à l’époque déjà, ils manifestaient contre ceux qui expliquaient les conséquences de l’immigration en matière de changement démographique. Immigration > Régularisation massive ou au compte goutte > Nationalité française pour tous > Ils sont français comme vous et moi > Immigration > régularisation massive…etc on connait la chanson.

Ce qui nous gène messieurs et mesdames, c’est bel et bien de se sentir de moins en moins chez soi, sur sa terre, en Bretagne. Oui, effectivement, c’est gênant, parce qu’à priori, la Bretagne est historiquement une terre peuplée en très large majorité de Bretons, Blancs, Européens, et pas par une majorité ni même de fortes minorités d’Asiatiques, d’Amérindiens, ou d’Africains. Oui, il y a sur nos monuments aux morts, sur les panneaux de nos villages, et dans tout notre écosystème breton, des symboles qui rappellent cela quotidiennement, n’en déplaise à ceux qui pensent réellement qu’une Bretagne majoritairement composée d’extra-européens s’appellerait encore Bretagne.

C’est gênant de constater que chaque commune bretonne quasiment possède maintenant son Kebab, quand ça n’est pas plusieurs (exemple à Carhaix, en plein centre Bretagne). C’est gênant de voir que de Guingamp à Quimper, de Rennes à Loudéac, des équipes de football communautaires, extra-européennes, prennent de plus en plus d’importance. C’est dérangeant de voir que toujours dans le sport, certaines équipes de jeunes, y compris en plein Centre-Bretagne, y compris à Loudéac ou à Callac d’ailleurs, ville qui a bien accueilli des migrants quoi qu’en disent les autorités, sont composées de nombreux éléments extra-européens, qui en plus tendent à vouloir imposer parfois codes culturels et langues à tout le monde. C’est du vécu. C’est rageant de voir la population de nos villages et de nos villes changer. Et l’ambiance également. Lisez les avis de décès, et ceux de naissance. Vous verrez.

C’est profondément exaspérant que nos élus ne se rendent pas compte de la réalité ou plutôt, ferment les yeux, parce que trop idéologues, et plus du tout conscients de qui ils sont, de leur identité, de leur histoire, de leur civilisation. C’est profondément exaspérant, car la Bretagne fût longtemps préservée des maux qui rongent le reste de l’hexagone, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Voir des élus s’indigner, s’offusquer que le trafic de drogue, que la violence, explosent dans leurs métropoles, eux qui n’ont jamais voulu mettre certains mots sur les maux, a quelque chose de profondément révoltant.

Les mêmes qui sont responsables de la situation d’aujourd’hui, de l’écroulement sociétal que nous vivons, entendent encore proposer des solutions et qualifier ceux qui alertent, depuis 10, 20, 30 ou 40 ans, de « fascistes » « nazis » « extrême droite », ou tout ce que vous voulez. Mais voyez les ces élus et associatifs qui s’indignent grâce à leurs puissants relais médiatiques pour trois pauvres tags ici ou là dans les communes bretonnes, venant sans doute de gens exaspérés par le climat ambiant, tandis qu’ils ferment totalement les yeux sur la montée de la violence, et sur les conséquences mortifères de l’idéologie qu’ils propagent depuis bien trop longtemps.

Et même si tout se passait bien, encore une fois, du fait du changement de population. Même si tout le monde s’intégrait parfaitement. Cela ne changerait rien au problème de fond. Un peuple qui devient minoritaire sur sa propre terre est voué à une mort certaine. Parlez en aux Indiens d’Amérique.

Faudra-t-il attendre que certaines villes bretonnes deviennent majoritairement composées d’extra-européens pour qu’enfin certains ouvrent les yeux ? Quoi que les idéologues sont tellement fanatiques qu’ils seraient prêts à nier jusqu’au bout le réel pour ne pas admettre qu’ils nous ont mené jusqu’ici. Souvenez-vous de tous ces communistes qui niaient les millions de morts, la famine, les massacres, le totalitarisme, pendant des années après les révélations sur le régime stalinien, ou sur les Khmers rouges, simplement parce que fidèles à l’idéologie communiste.

Même dans une Bretagne totalement transformée et effondrée (car elle s’effondrera au rythme ou cela va, soyez en certains) , ils continueront à marteler que leur « progressisme » est fondamental et qu’il faut continuer à accueillir, encore, encore, encore et encore.

Mais quand est-ce que ça s’arrête au final ? Quand est-ce que la population commence à demander des comptes à ceux qui dirigent ?

Ce qui faisait jusqu’ici l’attractivité de la Bretagne, mais aussi son « bien vivre ensemble » pour reprendre le verbiage à la mode, c’était son assemblage de pays bretons, de villes moyennes, avec une ruralité dynamique, et importante pour le reste de la population. C’était la synthèse entre le pays de la mer et celui de la terre, à une époque où les autochtones pouvaient encore se loger partout chez eux. Mais c’était aussi son homogénéité, culturelle, mais aussi ethnique. En quelques décennies tout cela a été balayé. Les côtes bretonnes n’hébergent quasiment plus de Bretons. Les métropoles vampiriques ont pris la place de villes à taille humaine. Les communautés de communes  et d’agglo dévorent les communes. Et l’homogénéité d’un peuple est tout simplement en train de disparaitre, sacrifiée sur l’autel de l’immigration, de la mondialisation.

On a encore le droit de ne pas être d’accord avec ce que certains voient comme « l’évolution nécessaire de notre monde » . On a encore le droit de s’y opposer. On a encore le droit, et le devoir même, de refuser de mourir et de disparaitre, et de se battre pour offrir à nos enfants un monde qui ne ressemblera pas à la place du commerce de Nantes, n’importe quel soir de la semaine.

Pour que la Bretagne vive demain, il est urgent d’ouvrir les yeux, et de les faire ouvrir à tous ceux qui vous entourent. Sinon…plus dure sera la chute.

Julien Dir

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