Il s’en passe des choses à Brest ces derniers temps, et des pas glorieuses ! Bien que réputée pour sa grisaille et son crachin, délinquants et voyous se sont faits une place au soleil dans la ville finistérienne.
Vente de cocaïne place de la Liberté
À peine avons-nous eu le temps d’évoquer l’affaire d’un policier brestois blessé lors de l’interpellation d’un individu en possession de drogue la semaine dernière, qu’il est de nouveau question d’une histoire de trafic de stupéfiants à Brest. Dans la nuit du lundi 11 au mardi 12 septembre, trois individus ont été appréhendés par des policiers de la Brigade anticriminalité place de la Liberté, un lieu tristement célèbre pour la vente de drogue en plein centre-ville.
L’interpellation du trio a été justifiée par un flagrant délit : selon le journal Côté Brest, un individu âgé de 19 ans a été surpris en train de vendre de la cocaïne à deux acheteurs quant à eux âgés de 21 et 45 ans. Placés dans la foulée en garde à vue, les trois se révéleront être domiciliés à Brest. Par ailleurs, les policiers ont saisi sur les individus deux « cocottes » de cocaïne.
Avant d’être remis en liberté dans la journée du 12 septembre, les deux hommes présentés comme les acheteurs ont nié la chose durant leur passage au commissariat. Quant au Brestois de 19 ans, il a pour sa part reconnu avoir vendu les deux sachets de drogue aux deux autres.
Pour ce flagrant délit de cession-acquisition de cocaïne, les trois hommes désormais rendez-vous avec la justice le 23 janvier 2024 dans le cadre d’une ordonnance pénale.
Un Guadeloupéen interpellé en possession de drogue
Résidant lui aussi à Brest, un individu présenté comme étant « guadeloupéen » par le quotidien Ouest-France avait été arrêté à Gouesnou, dans la périphérie brestoise, le 19 janvier dernier, suite à un contrôle routier de routine. Dans son véhicule, qu’il avait indiqué avoir « emprunté », les gendarmes avaient alors découvert un sac à dos contenant 192 g de résine de cannabis, 92 g d’herbe et 11 g de cocaïne.
L’attention des forces de l’ordre avait notamment été attirée par le fait que l’individu, après avoir stoppé son véhicule, vaporisa rapidement l’intérieur de l’habitacle avec une bombe aérosol parfumée.
Une manœuvre tardive et insuffisante puisque son cas a été jugé à Brest lundi 11 septembre par le tribunal correctionnel. À l’issue de l’audience, l’homme a écopé d’une peine de prison avec sursis et d’une amende de 500 €.
Une peine plutôt clémente étant donné que l’homme, âgé de 28 ans, avait déjà été impliqué dans quatre affaires de trafic de stupéfiants auparavant…
À Brest, l’histoire d’un rottweiler et d’un Mahorais
Toujours à Brest dans un autre registre, un homme de 35 ans né à Mayotte a été placé sous contrôle judiciaire à la suite de sa comparution immédiate devant le tribunal correctionnel mardi 12 septembre.
Propriétaire d’un rottweiler tout en ne disposant pas du permis pour détenir un chien de 2e catégorie, son chien a violemment agressé une jeune femme en pleine rue à Brest le 10 septembre dernier en la mordant aux jambes et aux bras. Absent au moment des faits, le propriétaire a été retrouvé grâce à la puce du chien.Lequel ne portait ni laisse, ni muselière.
Suite à l’agression, une Incapacité totale de travail de 30 jours a été prescrite à la victime, quant à elle âgée de 18 ans. Elle était toujours hospitalisée deux jours plus tard tandis que les forces de l’ordre ont abattu le chien agresseur. Non sans que ce dernier n’ait mordu l’un des policiers !
Concernant le profil du Mahorais, l’homme est manifestement un connaisseur de la région puisqu’il a déjà été incarcéré à trois reprises à la prison de Brest et présente un casier judiciaire déjà bien fourni avec pas moins de 14 mentions, notamment pour des outrages, de la conduite sans permis, ou encore le port d’arme blanche.
Malgré le placement en détention provisoire réclamé par le procureur, le prévenu est reparti libre. La date de l’audience a été fixée au 13 octobre prochain.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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10 réponses à “Brest. Trafic de drogue, Guadeloupéen, Mahorais et rottweiler…”
rassurez vous ! au boiut de la 154 eme mention les dealers peuvent etre incarcérés ; si si !
Non non non . Au bout de la 154° mention , ils écopent d’un cinglant « rappel à la loi » , l’incarcération ne concerne que les français de souche qui volent de l’alimentaire pour survire .
Ha, « Brest même » n’est plus ce qu’il était !!!! Mdr……
La phrase clef qui explique l’article : « »Malgré le placement en détention provisoire réclamé par le procureur, le prévenu est reparti libre » ».
Que dire d’autre sinon de constater avec amertume la déliquescence de la Justice francaise ….
Ce n’est pas une surprise, avec une municipalité de gauche , des juges laxiste et la complicité des éducateurs qui suivent les soit disant mineurs isolés.
Les dealers avaient même monté un barnum pour faire du drive de drogue.
Il y a quelques temps un représentant de l’état avait été affecté à Brest et il faisait trop bien sont travail qu’il a été convoqué par ce que la municipalité, la sous préfecture et sa hiérarchie étaient inquiète par ce que Brest allait arrivée dans le haut du tableau des villes difficiles.
Il est parti exercé son talent ailleurs.
Quartier merdiques de Brest :
– Pontanezen
– Kerourien
– Keredern
– Bellevue
– Kerangoff
– Kerinou
– Le Val Hir
– La place de la Liberté la cour des miracles
– Square Sagnier refuge des migrants
Normal avec un maire qui va passer au tribunal pour ces magouilles, dommage ces complices sont morts.
Il faudrait une peine d’inéligibilité comme cela il ira faire un stage de voile
( désintoxication alcoolique).
A Brest il n’est pas conseillé aux jeunes femmes seules de passer à proximité de la Place de Liberté à cause des migrants et du trafic de drogue.
Au port un Maghrébin a finit noyé dans le port .
Quel est le résultat de l’enquête de police ?
Brest est devenue comme la région parisienne.
La mairie cherche des logements dans le parc locatif privé pour loger des immigrés,
les propriétaires refusent ils veulent éviter les emmerdes.
Etant en région parisienne, j’observe avec attention les techniques employées par les mairies pour accueullir les migrants. Bien sûr, il y a le parc social mais comme c’est saturé il faut attendre. A cette fin, il y a les résidences hotelières et l’approche directe des propriétaires de locations qui sont reticents. Pour contoruner les réticiences, Il y a aussi les appartements mis en gestion dans des agences immobilières. Même si le propriétaire est sensé valider le dossier, il délègue souvent la gestion de son bien à l’agence. A partir de là, des revenus garantis par la mairie avec une garantie de remise en état font l’affaire et personne ne sait comment les occupants sont arrivés là.
Le propriétaire n’est pas forcément au courant, la mairie a préempté un appartement sans dire pour qui, l’agence immobilière a rempli son objectif de rentabilité, et les services sociaux n’ont qu’à envoyer qui ils veulent y vivre. Au final, c’est le contribuable qui paye et même dans le parc privé on peut avoir les fameuses nuisances de voisinage.
les dileurs étant remis dans les rues , le trafic est considéré comme arrêté? les juges , les zotorités nous prennent pour des benêts!
@ Le Celte :
Salut.
Il y a aussi le quartier de Quéliverzan. La Police est venue contrôler les dealers tout à l’heure. Elle est restée là environ une demi-heure puis elle est repartie et les dealers sont revenus tout de suite…
Ne pas oublier deux bandes de petites racailles qui squattent le hall d’entrée (je ne sais pas pour les autres halls). Ceux-là, contrairement aux dealers, cassent tout ! Il y a même un fils de victimes procédurières qui s’amuse à carboniser les panneaux d’affichage du hall. Les fameuses « victimes procédurières » qui avaient été victimes d’un incendie il y a quelques années…
Le quartier, pour le « bien » des locataires, est en pleine rénovation mais il va être détruit rapidement par les petites racailles…
Le gardien, de ce côté du quartier, qui dit (dans la presse régionale) qu’il faut combattre les idées du parti politique de la Bretonne mais qui ne fait pas grand chose pour chasser les intrus du hall…
Bonne nuit.