Cinq adolescents blancs pour reprendre le fameux I have a dream de l’activiste noir américain, cela ressemble à une blague à l’ère du multiculturalisme. Entre déconnexion du réel et soumission à la loi des réseaux sociaux, l’Éducation nationale a encore marqué un coup.
Il s’agissait de rendre hommage à Martin Luther King qui a lutté pour la place des Afro-américains au sein de la société états-unienne, le jour du 60e anniversaire de la marche sur Washington pour les droits civiques de ces derniers. Les cinq élèves reprenaient la formule en y ajoutant ce qu’était leur propre rêve, d’un monde où nous sommes tous égaux à celui qui protège l’environnement.
Dans une France où les minorités ethniques sont surreprésentées sur les panneaux publicitaires et sur les chaînes de télévision, au sein de laquelle la diversité est partout dans les écoles, il faut bien admettre que le spot faisait tâche.
Or, au delà du fait que les petits Blancs aient toute la légitimité de s’exprimer, – « le droit » comme diraient certains -, qui plus est dans le pays de leurs ancêtres, ces étudiants avaient été sélectionnés parce que vainqueurs d’un concours d’anglais. La question qui se pose est donc de savoir s’il l’on doit censurer des lauréats pour complaire aux commentateurs de réseaux sociaux, bref, si le mérite doit s’effacer devant le politiquement correct. Et plus largement si les peuples autochtones doivent s’effacer devant les nouveaux arrivants (de longue ou de fraîche date, peu importe).
C’est pourtant ce que le ministère de l’Éducation nationale a fait, en retirant la séquence, expliquant « Face au trouble suscité par cette vidéo et à la violence de certains commentaires à l’égard des élèves qui s’étaient investis avec enthousiasme dans ce projet, le service communication du ministère a décidé de retirer cette vidéo de ses réseaux sociaux » sur X/Twitter.
La populace des réseaux sociaux est claire : la France n’est plus un pays de race blanche, il faut le rappeler – visiblement – dans toutes les initiatives et productions. Et respecter l’Histoire. Or, quand une personne d’origine africaine est choisie pour incarner Jeanne d’Arc, les mêmes restent étrangement silencieux.
Deux poids, deux mesures ?
Audrey D’Aguanno
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11 réponses à “Une vidéo célébrant Martin Luther King trop blanche : l’Éducation nationale la supprime”
Très drôle. Et en même temps triplement tragique. D’abord pour la raison que vous exposez très bien. Mais aussi parce que les enfants sélectionnés étaient de bons élèves, ceux qui apprennent leurs leçons mieux que les autres, et qu’aucun enfant de couleur ne figurait dans cette élite désignée objectivement. Et troisièmement, parce que la leçon qu’on fait apprendre à ces bons élèves n’est pas seulement que le héros majeur de notre époque est pacifiste, humaniste, etc. mais aussi qu’il est NOIR et que la couleur de sa peau fait partie des qualités qui le distinguent.
La France coule de tous les côtés, c’est malheureusement indiscutable. La question qui se pose est de savoir quel jour, prochain, la véritable, l’ardente contre-Révolution française verra enfin le jour ?
Quel miracle suscitera ce moment ?
Ne cessons pas nos efforts pour le provoquer ! Restons confiants et déterminés malgré l’adversité ! Vive la France et la Bretagne ! Vive Breizh Info !!!
Dans quelle société nous vivons !
Les gens sont devenus des assistés , des 2 de tension , des lâches, des pleureuses.
Par contre ceux qui ont du caractère et qui savent ce qu’ils veulent et surtout ceux qu’ils ne veulent pas sont catalogués comme des extrémistes.
Maintenant il est interdit de dire la vérité.
Je ne connais pas la diplomatie ni la pondération.
Un chat est un chat un con est un con.
Ceux avec qui je m’entends bien sont comme moi .
Pourquoi accepter ou tolérer des personnes indésirables ?
ras-le bol de ces ayatollahs de la pensée. nous sommes un pays blanc et non africain!
Quand on connait les dernières heures de ce génie que fut MLK, parti trop tot , c’est à dire les heures passées dans un hotel de passe …..On évite de surjouer !
Est ce que des enfants qui ont des critères d’extraneités ont participés à ce
concours ?
Sont-ils trop mauvais ?
Doit-on faire une campagne contre la publicité qui montre une fille d’origine asiatique qui prend un extincteur dans un musée.
Pour coller à la réalité ils auraient dû mettre un enfant Maghrébin .
Attention pas de stigmatisation !
Mince il ne faut pas dire la vérité.
La Cancel Culture et ses inepties? Et ben, nous v’la beaux.
Pas de vague, surtout pas de vague, ne fâchons personne. Vous vous rendez compte rien que des petits blancs, rien que des enfants de fachos-racistes qui reprennent le « I have a dream » pour parler d’un monde meilleur. Hé ! hé où est le multiculturalisme ? Ya que des petits blancs là dedans ! Quel scandale !
Allons, allons, baissons la culotte jusqu’au chevilles et faisons notre mea culpa.
Mais pourquoi faire son mea culpa, à propos de quoi ?
moralité: ils auraient du choisir les derniers lauréats (un noir, un transgenre, un homosexuel, peut être un asiatique )! et pas les trois meilleurs !
Pourquoi nous Français qui ne sommes absolument pas concernés par le discours d’il y a 60 ans (en anglais) devons nous rendre hommage à ce type ? Je serais curieux de savoir combien a couté ce clip aux contribuables.
On a un problème de gouvernement anti-blanc qui remplace les gens, mais c’est délicat d’en parler, car on risque le tribunal. Du coup, on y va prudemment en se contentant de demander s’il n’y a pas un système de doubles standards au détriment des Blancs.
La loi « Pleven » de juillet 1881 sur la liberté de la presse interdit de discriminer sur internet « à raison de la non-appartenance à une nation » (https://www.google.com/search?q=legifrance+loi+juillet+1881+article+24). C’est une loi génocidaire qui menace de 45 000 euros d’amende (et un an de prison !) tous ceux qui se plaignent tout haut du Grand Remplacement.
Du coup, on marche sur des oeufs. Au lieu de se plaindre que le gouvernement est en train de nous génocider, on se plaint que le système a mis en place un système de deux poids / deux mesures en faveur des migrants. Par exemple, une Noire a le droit de représenter Jeanne d’Arc, mais par contre, un groupe d’enfants blancs n’a pas le droit de réciter les discours de Martin Luther King.
De façon générale, les migrants ont le droit de venir remplacer les Blancs, car de toute façon, on est tous interchangeables. Mais les Blancs n’ont pas le droit de remplacer, ni même de représenter les migrants, car les migrants ont leur dignité, leur propre identité, et ils sont absolument irremplaçables. C’est une interchangeabilité à sens unique. En outre, les migrants ont le droit de s’exprimer au nom de leur groupe, mais le système actuel interdit aux Blancs de parler en défense de leur existence collective.
On pourrait ajouter que la simple existence d’un groupe d’enfants blancs est considéré comme une sorte d’agression raciale. Non seulement nos dirigeants ont décidé qu’il ne pouvait plus exister de pays entièrement blancs, mais ils tolèrent difficilement l’existence de groupes d’enfants entièrement blancs. Cinq enfants blancs filmés ensemble, c’est insupportable, même quand le gouvernement leur fait réciter du Martin Luther King.
On sait que Martin Luther King est censé représenter la persécution des Noir-Américains par les salauds de Blancs. De façon plus générale, la propagande « antiraciste » du gouvernement consiste à présenter les Blancs en général comme une race de salauds, afin d’intimider les opposants au Grand Remplacement actuel. S’opposer à notre remplacement, c’est comme d’employer des esclaves à ramasser du coton !
C’est donc bien pire qu’un problème de deux poids / deux mesures. Le gouvernement est en train de nous génocider délibérément. Il veut que les migrants prospèrent et que les Blancs crèvent.
Quand on se plaint du « deux-poids-deux-mesures », on a l’air de prêcher l’égalité entre remplaçants et remplacés, comme si on acceptait l’idée que la société blanche est un gros gâteau à partager équitablement entre Blancs et migrants. C’est un type de discours conçu pour éviter le tribunal, mais ça revient à faire de la fausse opposition, car la dénonciation du grand génocide passe alors à la trappe.
La place des migrants est dans leur propre pays.