Du fait de la propension particulièrement grégaire cette année des commerçants à prendre leurs congés entre fin juillet et le 20 août – sympa pour les nantais qui ne partent pas ou sont déjà revenus ! – la capitale bretonne prend des airs de confinement, avec des rues tout aussi désertes et des rideaux tirés. Néanmoins, la délinquance, elle, ne connaît pas de vacances.
Un demandeur d’asile qui voulait manger un nantais ?
Le 12 août dernier, un passant a été agressé à la pointe de l’île Feydeau par un homme d’origine extra-européenne avec un… couteau et une fourchette. Le prédateur a été interrompu dans son début de repas par un témoin qui a repoussé l’agresseur. Jugé en comparution immédiate le 14, ce demandeur d’asile de 36 ans prétend qu’il y a un « malentendu » et qu’il ne faisait que manger… du nantais ? Malgré la réquisition d’un an avec mandat de dépôt, il est ressorti libre du tribunal après avoir été condamné à six mois de prison. Le laxisme judiciaire nantais, proverbial, a encore frappé.
Un migrant manque d’être égorgé dans le centre de Nantes par un homme d’origine algérienne
Toujours le 12, un migrant qui se dit âgé de 16 ans, a été « poignardé au cou », égorgé en fait, par un homme de 28 ans, placé en détention provisoire en attendant son procès le 13 septembre prochain ; le mineur a pu être sauvé et est sorti de l’hôpital. Les faits ont eu lieu à 16h45 juste derrière la station Commerce de la ligne 1 – et dire qu’elle a été complètement reconstruite, avec la place, pour limiter la délinquance. C’est réussi.
L’agresseur a été poursuivi par plusieurs personnes – qui courent toujours – qui l’ont rattrapé dans un bistrot du quai de la Fosse et l’ont tabassé, puis a été interpellé square Daviais par la police.
Bien que inséré – il est cuisinier dans une structure de santé – c’est un algérien d’origine, arrivé en France à 11 ans, placé en famille d’accueil, connu pour 11 condamnations au casier (violences aggravées, vol aggravé, outrages, évasion en 2019), rangé des voitures depuis août 2021 et sa sortie de prison, il « a des liens avec des personnes qui vivent dans la rue » d’après le parquet, autrement dit des « blédards », ces délinquants de voie publique issus du Maghreb qui colonisent le centre-ville nantais depuis 2014-2015 et sont à l’origine d’une part notable de l’insécurité en ville – agressions, vols, violences, vente de stupéfiants et de cigarettes de contrebande, agressions sexuelles, vols roulotte etc.
Des voitures brûlées dans la prairie de Mauves
Le soir du dimanche 13 aout, un grand feu était visible à l’est de Nantes – il s’agissait d’un feu chemin de la Clarière, secteur habité par diverses populations itinérantes – où 11 voitures ont été brûlées au milieu d’un bois et 20 autres préservées des flammes par les pompiers. « Les incendies de voiture sont réccurrents dans ce coin, et il y a quelques années on a dégagé des quantités de carcasses dans un champ pas très loin », se souvient un policier nantais.
Des cambriolages à Haute-Goulaine
Par ailleurs au moins quatre cambriolages ont eu lieu dans un périmètre très restreint du 8 au 10 août à Haute-Goulaine, en banlieue est de Nantes : rue du Pâtis-Forestier, rue de la Basse-Rivière, rue de Gascogne, rue des Pinsons. Ils ont été relayés par un groupe local de voisins vigilants.
LM
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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6 réponses à “Nantes. Mineur poignardé, agression, voiture brûlée : la délinquance ne s’arrête pas pour le 15 août”
Au contraire, le 15 août, fêtes chrétienne, la délinquance redouble d’intensité, décourageant ainsi la population de la célébrer.
Il en sera ainsi des autres, comme Noël.
Nantes est devenu une ville merdique.
Ah si les bretons avaient un tout petit peu seulement du tempérament Corse peut-être n’accepteraient-ils pas cette évolution vers des zones de non-droit dans leur cité! Mais pour cela il faut sortir la tête du sac!
Les femmes corses, elles, ne flippent pas pour les africains du subsahara, et accessoirement du nord. Ne les attirant pas par dizaines de milliers, ça fait toute la différence.
Les Bretons n’ont qu’à bien tenir leurs femmes, filles et… mères !
Pas faux ça !!
la police est elle encore bridée par les bienséant politiquement correct gouvernementaux ? le vulgum pécus doit courber l’échine et la tête; drole de pays