Les races humaines existent-elles ? Entretien avec le généticien Michel Tibayrenc signé le Média pour tous.
Le Dr. Michel Tibayrenc est docteur en médecine, docteur d’État ès sciences et directeur de recherche émérite à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
Sur la question des races, mais aussi du QI, lire les articles ci-dessous
Photo d’illustration : DR
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2 réponses à “Les races humaines existent-elles ? Entretien avec le généticien Michel Tibayrenc”
évidemment ! d’ailleurs les éthiopiens sont plus efficients dans les marathons, alors que les blancs dans le badminton etc.
J’ai lu que le mot race avait été aboli dans la Constitution donc interdit. Hélas il est de plus en plus utilisé parce que l’islamo-gauchisme et wokisme en font une de leurs obsessions à des fins néfastes pour l’Europe et l’Occident
L’ étude ici présentée démontre de façon remarquablement jouissive toute l’ignorance des négationistes de la biologie. En outre elle sape leurs clichés idéologiques qui ne servent en aucun cas à aider ceux qu’ils prétendent défendre, mais fait apparaître au grand jour qu’ils se de ces derniers dans l’espoir de prendre le pouvoir.
Les totalitaires avec lesquels ils ont une
profonde affinité ont et continuent à faire avec le prolétariat qui n’a jamais amélioré sa condition.
Je n’ai pas la capacité de juger cette étude n’ayant pas de formation scientifique. Je suis architecte et artiste.
Ainsi je ne sens pas accorder une validité unique et objective absolue au QI pour déterminer le niveau d’intelligence d’un individu. Sûrement pour le fonctionnement de sa « mécanique » mais j’ai connu tellement de formes d’intelligences.
J’ai travaillé avec des ingénieurs structure très doués dans leur domaine de calcul, mais incapables de comprendre que pour essayer de gagner un concours il faut attirer l’œil du jury et donc dessiner des planches qui communiquent au premier regard et soit en harmonie avec celles des architectes.
J’ai eu aussi beaucoup de collègues japonais, car un de nos patrons provenait du pays. Ils étaient certe trés intelligents, mais je me souviens que souvent ils présentaient comme de bons écoliers leur calcul de hauteur de marche avec nombre de décimales après la virgule pour démontrer leur attachement à la précision, alors qu’ils s’étaient trompés sur le nombre de marches. Notre intelligence est peut-être moindre, mais notre instinct nous garantit l’ordre de grandeur et le « compat dans l’œil ».
J’ adorais aller sur les chantiers. J’ y ai admiré la fière gestuelle des charpentiers et l’ amour pour la belle œuvre. Par contre je n’ appréciais pas les discours commerciaux de beaucoup de fournisseurs à l’ intelligence roublarde peut scrupuleuse de l’intérêt du maître de l’outrage et peut respectueuse de la rigueur du maître d’œuvre.
Avec ces simples exemples je veux humblement faire apparaître que seule la science biologique peut quantifier le quotient d’intelligence.
Je ne pense pas comme Stendhal qui a écrit que l’amour est une cristallisation chimique.