Les personnes urbaines et de gauche moins tolérantes politiquement ? C’est ce qu’indique une étude, et dans le fond, cela ne surprendra pas ceux qui se se passionnent pour le débat politique et qui se heurtent à des murs bien souvent venant du même côté de l’échiquier politique.
Une étude menée par le «Mercator Forum Migration une Demokratie» à Dresde , conclut que plus une personne est éduquée, riche, urbaine et de gauche, moins elle accepte les personnes qui ont une autre vision du monde. À l’inverse, les personnes qui ont une attitude conservatrice, qui vivent à la campagne et qui ont moins d’argent et d’éducation, sont plus ouvertes envers ceux qui pensent différemment.
L’étude indique que plus une personne est éduquée, aisée, urbaine et de gauche, moins elle serait susceptible d’accepter les individus ayant des perspectives différentes. À l’inverse, les personnes à tendance conservatrice, résidant en milieu rural, avec moins de moyens financiers et d’éducation, seraient plus tolérantes envers ceux qui ont des opinions divergentes.
Les auteurs de l’étude mettent en garde contre le danger de l’intolérance des gens de gauche envers les opinions différentes. Selon eux, cette attitude contribue à la division sociale constatée dans des pays aussi divers que les États-Unis, l’Allemagne, Israël ou la Suisse.
Cependant, les chercheurs ne considèrent pas la polarisation politique comme négative en soi. Ils argumentent que la diversité des opinions, même contradictoires, est essentielle pour la santé des démocraties. Ce qui importe, insistent-ils, c’est la tolérance envers ces points de vue divergents, un pilier d’une démocratie moderne, que la gauche semblerait perdre.
La conséquence de cette tendance, selon l’étude, est une difficulté croissante à trouver des compromis politiques. La raison serait que de plus en plus, les visions du monde sont perçues non seulement comme des positions politiques, mais comme des éléments de l’identité personnelle. Ceci transforme chaque débat politique en une question personnelle. Par conséquent, ceux qui ont des opinions différentes sont rapidement vus comme une menace, suscitant scepticisme, défense et exclusion. En d’autres termes, la gauche, qui pourtant revendique les mots de « tolérance » ou encore de « vivre ensemble », semble avoir du mal à tolérer ceux qui ont des opinions divergentes.
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5 réponses à “Les personnes urbaines et de gauche moins tolérantes politiquement ? Oui selon une étude récente”
Quelle surprise !?!
On vient juste de réaliser que les fachos sont à gauche ??
Il y a très longtemps que je me suis aperçu que les gens de gauche, en général, étaient intolérants!
Aucune possibilité de discussion, qui plus est, ils veulent imposer leur « vision » à tout le monde et s’énervent dès qu’ils sont contredits…
C’est tout simplement un manque d’intelligence, j’ose le dire, et c’est aussi une vision très fasciste de voir les choses, tout en accusant les « dissidents », justement de l’être…
Ils n’ont d’ailleurs pas d’autres arguments à faire valoir…
Tous les problèmes rencontrés actuellement émanent de la gauche : immigration, wokisme, inversion des valeurs, anti christianisme…
La gauche détruit consciencieusement notre civilisation et ouvre la porte à l’islam…
En sont-ils conscients? Je ne le pense pas, pour cela, il faut être capable d’analyser la situation, prendre de la hauteur, se renseigner alors qu’ils ne fonctionnent que par dogme.
Comme le disait un poète Sétois du XX° : » quand on est con… On est con!
C’est fort bien dit .
Ce sont ces mêmes urbains CSP+ des centre villes qui, à Paris, Nantes, Rennes, … , ont voté massivement Mélenchon au 1er tour et Macron au second, persuadés d’être dans le camp du Bien et de faire barrage à la haine et l’intolérance qui, d’après eux, sont évidemment à droite.
Sauf que eux éructent et puent la haine et l’intolérance, d’ailleurs les nazis et les soviétiques n’étaient-ils pas de gauche?