Le manoir hanté, la main, Sabotage, Blanquita, Les Damnés ne pleurent pas, The First Slam Dunk : voici la sélection cinéma hebdo.
Le manoir hanté
Inspiré de l’attraction mythique des parcs Disneyland, LE MANOIR HANTÉ raconte l’histoire d’une mère et son fils qui engagent une équipe de pseudo-experts pour les aider à chasser les différents spectres et fantômes qui hantent leur maison.
La main
Lorsqu’un groupe d’amis découvre comment conjurer les esprits à l’aide d’une mystérieuse main hantée, ils deviennent accros à ce nouveau frisson, et l’expérience fait le tour des réseaux sociaux. Une seule règle à respecter : ils ne doivent pas tenir la main plus de 90 secondes. Lorsque l’un d’entre eux l’enfreint, ils vont être rattrapés par les esprits, les obligeant à choisir : à qui se fier, aux morts ou aux vivants ?
Sabotage
Face à l’urgence écologique, un groupe de jeunes activistes se fixe une mission périlleuse : saboter un pipeline qui achemine du pétrole dans tous les Etats-Unis. Car parfois, le seul moyen d’être entendu est de passer à l’action.
Blanquita
Blanca (18 ans) vit à Santiago dans un foyer pour mineurs dirigé par le prêtre Manuel Cura (50 ans). Témoin clé d’une affaire de scandale sexuel impliquant des politiciens chiliens, Blanca se retrouve poussée par Manuel au centre de l’attention médiatique. Elle devient une héroïne féministe pour certains, mais plus l’enquête avance, moins le rôle de Blanca semble clair…
Les damnés ne pleurent pas
Fatima-Zahra traîne son fils de 17 ans, Selim, de ville en ville, fuyant les scandales qui éclatent sur sa route. Quand Selim découvre la vérité sur leur passé, Fatima-Zahra lui promet un nouveau départ. Ils arrivent alors à Tanger, où de nouvelles rencontres leur donnent l’espoir d’atteindre la légitimité qu’ils recherchent tant. Mais ces aspirations menacent la relation fusionnelle qui les lie depuis toujours.
The First Slam Dunk
Le meneur de jeu de Shohoku, Ryota Miyagi, joue toujours intelligemment et à la vitesse de l’éclair, contournant ses adversaires tout en gardant son sang-froid. Né et élevé à Okinawa, Ryota avait un frère aîné de trois ans de plus. Sur les traces de ce dernier, joueur local célèbre dès son plus jeune âge, Ryota est également devenu accro au basket.
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