En Italie, on les nomme baby gang. Ces bandes de jeunes et très jeunes délinquants issus de l’immigration font de plus en plus la Une des journaux et occupent désormais une place non-négligeable dans le panorama de la micro criminalité. Et pas que.
La Stampa, un des quotidiens italiens les plus lus, titrait le 9 juillet dernier « Baby gang, le centre-ville assiégé : les gendarmes ont identifié plus de 200 jeunes » et listait leurs plus récentes attaques, du moins celles déclarées, dans la seule agglomération de Turin. Il ne s’agit pas de faits divers isolés mais d’un phénomène qui est en train de devenir une véritable plaie sociale en Italie, et qui ne concerne pas que le chef-lieu piémontais, mais aussi Milan, Brescia, Vérone, Rome… Bref toutes les grandes et moyennes villes de la péninsule. Des bandes composées de jeunes migrants fraîchement arrivés ou d’immigrés de seconde génération principalement d’origine nord-africaine agressent et parfois lynchent des adolescents italiens, pour leur dérober téléphone portable, bijoux, argent liquide etc. « Et ils le font aussi en plein après-midi, dans le centre-ville, sous les yeux de passants qui, le plus souvent, restent effrayés et pétrifiés par tant de violence. »
Les témoignages ou les arrestations repris par la presse locale sont légion. Hier 11 juillet, un « jeune » qui avait forcé un adolescent à se dénuder pour ensuite le battre avec une barre en fer tout en filmant et publiant la scène a été arrêté. Il serait membre de la baby gang QBR qui sévit à Vérone et excelle dans les agressions, le trafic de drogue, les vols les violences gratuites.
Couples homosexuels persécutés, prostitués dévalisées, touristes et passants rackettés, on pourrait multiplier les paragraphes à loisir tant les gangs pullulent – on en compte environ 150 – et leurs actes criminels prolifèrent.
L’horreur des violences des bandes ethniques avait explosé au grand jour au réveillon 2022 quand, à Milan, de jeunes immigrés groupés avaient agressé sexuellement des jeunes Italiennes sur la place du Dôme. Nombre d’entre elles sont encore traumatisées par ce qu’elles ont vécu. Si une trentaine d’agresseurs composait la meute, dix-huit d’entre eux avaient été reconnus par les programmes de reconnaissance faciale. Ils sont tous d’origine étrangère, alors que les filles agressées sont toutes européennes. Difficile de ne pas voir le caractère sinon raciste au moins culturel de la chose : comme le dira plus tard un Égyptien présent lors des agressions, « les filles ne doivent pas sortir le soir« . Un triste événement qui n’est pas sans rappeler les viols de Cologne quelques années auparavant. Ce modus operandi porte un nom : Taharrush gamea, qui, en langue arabe signifie le harcèlement sexuel ou le viol de femmes par un groupe d’hommes dans l’espace public.
Six mois plus tard, une centaine de ces mêmes mineurs se donnaient rendez-vous via TikTok à Peschiera del Garda, petite ville lacustre proche de Vérone. Bagarres, vols, vandalisme et autres coups de couteau, cela tourne à l’émeute, des filles sont insultées et empêchées de monter dans le train au son de « les blanches ne montent pas ici », et subiront des attouchements sexuels. Mais cette année, alors que le deuxième volet avait été lancé sur les réseaux, les ultras de l’Hellas Verona, ont répondu qu’ils seraient aussi présents à l’appel avec « 400-500 Italiens, mais des vrais. On défendra notre terre« . Le maire de Peschiera ayant averti que la ville serait blindée par la présence d’une unité spéciale « anti-baby gang », la sauterie n’a finalement pas eu lieu.
De l’Italie à la Suède, de la France à l’Allemagne, il semblerait que la société multiculturelle ait de plus en plus de mal à vanter les joies du vivre-ensemble.
Audrey D’Aguanno
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6 réponses à “Italie : des gangs de jeunes immigrés sévissent dans les centres-villes”
Il faudrait prêter Darmanin aux Italiens pour voir si il constate la présence de supporters Anglais dans ces bandes. À moins qu’il ne considère que ce sont des italiens à 90% comme les émeutiers qu’il a vu Français chez nous. Il serait temps que la gauche et la droite molle se rende compte que l’immigration africaine est un fléau pour les peuples européens. Ces bandes de sauvages s’attaquent à tout ce qui leur semble vulnérable, jeunes gens isolés,filles ou personnes âgées c’est dans leurs gènes. Il faut renvoyer cette racaille d’où elle vient.
Meloni doit bloquer les ports , empêcher tout débarquement !
En France aussi!!
Qu’est-ce qu’on attend pour résister aux ordres de Bruxelles, comme le fait Orban ??
je ne sait pas si ces racailles la se comporteraient comme ça avec les jolies Siciliennes ….ou pas lomptemps dans tout les cas !
ben la france donne l’exemple en europe occidentale
Fora Verona !!
FORZA VERONA !