Pas de pause estivale pour les racailles en Bretagne ! À Brest, des individus ont été arrêtés en possession d’un harpon, d’un couteau et de stupéfiants ainsi que d’une machette. À Rennes, plusieurs véhicules et conteneurs poubelles ont été incendiés durant deux nuits successives.
À Brest, interpellé en possession d’un harpon
Curieuse idée qu’avait eue un Brestois âgé de 30 ans le 15 juin dernier. Ce jour-là, l’homme avait été aperçu à proximité d’une école primaire du quartier « sensible » de Bellevue en possession d’un harpon ! Il avait alors été interpellé par les forces de l’ordre, ces dernières trouvant également sur lui un couteau et des produits stupéfiants.
Après un placement en garde à vue lors de laquelle il avait tenu des propos incohérents, l’individu au harpon avait ensuite été transporté aux urgences psychiatriques. Toutefois, suite à un cafouillage entre les services hospitaliers et les fonctionnaires de police, l’homme avait été remis en liberté.
Ce n’est que le jeudi 6 juillet que les policiers brestois ont enfin retrouvé sa trace rue de Siam, en plein centre-ville de la cité du Ponant. L’individu a de nouveau été appréhendé et placé en garde à vue pour des faits de port d’arme. Déjà défavorablement connu de la justice, il s’avère que le trentenaire devait également accomplir une peine de deux mois de prison pour des faits antérieurs. Un détail qui interroge encore un peu plus sur sa remise en liberté par erreur à la mi-juin. Dorénavant, il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Brest dans l’attente de sa convocation devant le tribunal pour port d’arme et détention de stupéfiants le 15 septembre prochain.
Toujours à Bellevue, un autre homme déambulait avec une machette
Si la tradition maritime de Brest a été « respectée » avec la saisie de ce harpon par les policiers, ces derniers ont mis la main le 5 juillet sur un objet beaucoup plus exotique, à savoir une machette. En effet, un autre individu, quant à lui âgé de 43 ans, déambulait place Napoléon-III (toujours dans le quartier Bellevue) avec cette arme blanche en milieu d’après-midi lorsqu’il a été interpellé (non sans mal et avec des insultes à la clé) par les forces de l’ordre, après avoir tenté de dissimuler cette lame de 40 cm sous ses vêtements.
Ayant manifestement consommé beaucoup d’alcool, l’homme à la machette a terminé sa journée au commissariat central de Brest où il a été placé en cellule de dégrisement. Quelques heures plus tard, toujours en garde à vue, l’individu a déclaré qu’il ne se souvenait de rien. La justice, quant à elle, ne devrait pas l’oublier puisqu’il a été enjoint de se présenter au tribunal de Brest le 23 mars 2024 dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. En cas de non aboutissement de cette procédure, il fera l’objet d’une convocation devant le tribunal correctionnel le 1er juillet 2024 pour répondre des faits de port d’arme illégal et outrage à agent dépositaire de l’autorité publique.
Véhicules incendiés en série à Rennes
De leur côté, les délinquants rennais ont fait parler d’eux dans un autre registre ces derniers jours. Dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 juillet, plusieurs véhicules et des conteneurs poubelles ont été incendiés à Rennes et dans la commune voisine de Saint-Jacques-de-la-Lande.
Deux premières voitures ont tout d’abord été entièrement brûlées peu après minuit sur un parking boulevard Jean-marin, à Saint-Jacques-de-la-Lande. Deux autres véhicules situés à proximité ont été endommagés par les flammes. En milieu de nuit, la commune enregistrait cette fois un feu de poubelle.
Puis, aux alentours de quatre heures, des incendiaires mettaient le feu à deux autres voitures square Pierre Merlat, situé au nord-est du centre-ville de Rennes, près du quartier Maurepas, lui aussi « sensible »… Avant l’intervention des pompiers, un troisième véhicule était également touché en partie par les flammes qui s’étaient propagées.
Après cette nuit agitée, les policiers rennais ont ouvert des enquêtes et aucune information n’a été communiquée pour l’instant sur un potentiel lien entre ces faits et les émeutes des jours précédents à la suite de l’affaire Nahel M. à Nanterre (Hauts-de-Seine). Toujours dans l’agglomération rennaise, cinq véhicules avaient déjà été brûlés la veille, dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 juillet sur le campus de Ker Lann, donnant lieu à l’ouverture d’une enquête de gendarmerie et confiée à la brigade de Bruz.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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4 réponses à “Ensauvagement en Bretagne. Harpon et machette à Brest, voitures incendiées à Rennes”
Un internaute, lecteur de Breizh-Info, faisait remarquer que beaucoup de »Français » ont des origines »étrangères »: je suis d’accord avec lui, sur ce point…cependant, à mon tour, j’ajoute que les immigrés venus en France, au siècle dernier, qui étaient d’origine européenne, donc non-musulmans, ont des enfants qui ne brûlent pas des voitures, ne caillassent pas les Forces de l’Ordre, etc…bien qu’ils n’avaient pas toutes les »aides » que l’on donne aux immigrés musulmans, aujourd’hui! En Algérie, de nombreux non-musulmans, d’origine »étrangère », étaient plus pauvres que les musulmans: ils avaient quitté leur pays natal à cause de la misère et ils cherchaient à »parler le français » le plus rapidement possible!…Les immigrés d’origine espagnole habitaient à Bab-El-Oued, où il y avait des usines (de sardines, d’espadrilles, de cigarettes) et les immigrés d’origine italienne habitaient dans le »Quartier de La Marine » car ils travaillaient au port d’Alger…J’ai visité l’appartement d’un pêcheur d’origine italienne: il vivait dans une espèce de pièce, sous la route du bord de mer, avec qu’une ouverture pour faire entrer l’air, celle de la porte d’entrée!…
je me demande si mélanchon a eu sa voiture brulée?
Fusils, pistolets, machettes, kalachnikovs…. SVP, rendez les armes !
Suite aux violentes émeutes de la racaille dans toute la France, les préfectures ont pris des mesures.
Parmi ces mesures, des arrêtés préfectoraux interdisent le transport des armes de chasse et de tir sportif.
Ces armes doivent être déclarées au SIA (service Identification des Armes) ou pour les armes héritées ou non utilisées, elles doivent être déposées en gendarmeries ou commissariats pour y être détruites.
Or, ce ce ne sont pas les Tireurs Sportifs licenciés et les Chasseurs de France qui foutent le feu, saccagent les mairies, les écoles, pillent les commerces et les armureries. Mais ce sont ces Tireurs Sportifs, ces Chasseurs et tous les Citoyens honnêtes qui sont punis.
Comme toujours, avec ce gouvernement d’abrutis, la racaille fait la Loi. Elle n’a déposé en gendarmerie ni recensé au SIA aucun fusil, aucune machette, aucune kalachnikov. Darmanin, Moretti, Borne, Macron refusent d’enlever leurs oeillères pour identifier les vraies causes du mal et les combattre à la racine.
Par lâcheté, faiblesse et malhonnêteté intellectuelle, ils préfèrent jouer l’apaisement en se pliant à la Loi de la Rue.
En attendant les honnêtes gens qui n’auront pas déclaré leurs armes de chasse, de tir sportif ou encore le vieux calibre de chasse de Papy, seront verbalisés et l’arme confisquée.
Voilà les mesures prises par ces incapables qui, pour ramener l’ordre, tablent sur des mesures liberticides et absurdes, comme sur l’augmentation des effectifs de police et la multiplication des contrôles.
Absolument Inefficace car on ne peut pas mettre un policier derrière chaque habitant, comme il est stupide de vérifier, pour guérir le mal, que chaque Chasseur ou Tireur Sportif dispose d’un permis pour son arme.
Il suffirait tout simplement de « mettre de l’ordre » au lieu de faire chier les honnêtes gens.
Comment ? En appliquant, comme le permet la Constitution, des peines immédiates, lourdes et dissuasives pour refroidir la racaille enflammée devant laquelle ces abrutis s’excusent et baisent la culotte.
Pauvre France
Attendez vous verrez les représailles qui se prépare.