Le titre peut surprendre. Mais la situation est lunaire. Alors que depuis une semaine bientôt, les jeunes identitaires d’Angers, et le Rassemblement des étudiants de droite (RED) subissent des assauts répétés et conjugués de l’ultra gauche qui, via la diffusion d’un faux tract, est allée chercher des tirailleurs dans les cités chaudes de la ville, ce sont pourtant…des patriotes qui ont été placés en garde à vue et d’autres qui sont en passe de l’être aujourd’hui.
Et cela après avoir été, depuis vendredi dernier, victimes d’attaques quotidiennes d’individus armés, de hachoirs, de couteaux, d’un glock (factice ou pas) selon un policier, et de mortier récemment. Clairement, l’Etat semble avoir sciemment laissé la situation se pourrir, prenant le risque qu’un jeune finisse sur le carreau. Et les autorités ont décidé de s’attaquer non pas aux fauteurs de troubles, bien connus sur Angers, ni au racailles, mais aux victimes selon la logique républicaine française du faible avec les forts, fort avec les faibles.
L'affaire #angers est sans doute la plus grave et la plus symbolique de ce qu'il se passe aujourd'hui dans ce pays (LISEZ CI DESSOUS) @RedAngers
– Des milices d'extrême gauche diffament, agressent provoquent, et attaquent depuis des années un local et une association avec…
— Breizh-Info (@Breizh_Info) July 5, 2023
Pire encore, après la perquisition judiciaire menée lundi dernier au local du RED, rue du cornet, sur ordre d’une Justice qui semble plus expéditive que lorsqu’il s’agit de retrouver les auteurs des incendies qui ont détruit plusieurs bâtiments ces derniers jours dans la même ville, cette fois-ci, c’est la mairie d’Angers, qui vient de prendre un arrêté pour « trouble à l’ordre public » concernant le local des militants identitaires qui doit donc être fermé sur décision administrative.
Le cas de l’Alvarium d’abord, dissout par M. Darmanin, puis du RED ensuite, doit être étudié, et diffusé, car il est le symbole même d’autorités qui, incapables de faire régner l’ordre dans le pays, s’en prennent sans aucune pitié et avec violence à ceux qui prétendent se défendre et ne pas baisser la tête.
Pourtant, du côté de la classe politique de droite, qui communique énormément sur les réseaux sociaux, c’est silence radio, de M. Bardella à M. Ciotti en passant par tout ce que la droite compte d’élus, qui semblent avoir décidé de laisser à l’abandon des jeunes dont le seul crime est d’aimer leur peuple et leur pays. C’est d’ailleurs ce qu’indique Jean-Eudes Gannat dans une vidéo diffusée ce matin, alors qu’il est convoqué en vue d’être placé en garde à vue.
A #Angers , Jean Eudes Gannat, convoqué par @PoliceNationale et sans doute placé en garde à vue dans la foulée, fait le point sur la situation et lance un appel aux élus de droite face à l’injustice et à l’infamie . @J_Bardella @ECiotti @ZemmourEric @MLP_officiel @JeanMessiha… pic.twitter.com/L8uzDyk8LQ
— Breizh-Info (@Breizh_Info) July 6, 2023
On assiste en France à l’émergence d’une génération de jeunes « Gaulois réfractaires » qui se retrouve avec face à elle une alliance objective entre les autorités, l’ultra gauche et sa main d’oeuvre immigrée, le tout épaulés par l’appareil judiciaire et la caste médiatique. Que faire dès lors lorsque l’on a tout un système contre soi ?
Illustrations : DR
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