Il ne se passe plus une journée sans que la Bretagne et les Bretons ne subissent les conséquences de l’effondrement de la République française. Des conséquences qu’une partie des Bretons a bien cherché certes, en votant depuis des décennies pour tous les partis les plus légitimistes vis à vis de la République française, parfois même en faisant élire les présidents de la Vème République. En se faisant plus droit de l’hommiste que les jacobins, plus universalistes que les gauchistes français, plus naïfs aussi, que ceux qui vivent déjà depuis plusieurs décennies, sur leurs propres terres, notamment dans le sud de l’hexagone, l’enfer.
Certes, il y a des reproches à faire. Mais les Bretons commencent à ouvrir les yeux. Et il est encore temps de réagir. Mais il y a urgence absolue.
Combien de services d’urgences fermés le week end en Bretagne ? Combien de dentistes indisponibles, de dermatologues inaccessibles, d’hôpitaux et de maternités sacrifiés sur l’autel de la rentabilité, et de la folie administrative ? Combien de villes et de communes rurales désormais gangrénées par le trafic de drogues qui empoisonne toute une partie de la jeunesse ? Combien de quartiers, désormais aux mains de dealers, de gangs, de communautés extra-européennes fraichement installées, qui désormais y font la pluie et le beau temps ?
Et puis, combien de logements disponibles pour les autochtones de Bretagne ? Combien de jeunes bretons obligés de s’expatrier pour trouver un travail convenablement payé, un logement ?
Où est passée la Bretagne de nos ancêtres ? Elle disparait, sous nos yeux. Jour après jour. Notre terre change, culturellement, linguistiquement, ethniquement, religieusement,progressivement et insidieusement. Parce que des élus ont, génération après génération, capitulé. Fait du clientélisme, de la politique low cost. Ils n’ont rien fait pour la Bretagne. Ils ont fait carrière. Ils font toujours carrière, se reproduisent dans leurs villes au sein de la même famille politique. Agrandissent l’emprise tentaculaire des métropoles qu’ils ont fabriqué, et dans lesquelles s’exercent un clientélisme absolument fou. Ils se comportent en barons.
Ils bétonnent nos terres, nos côtes. Ils font massacrer notre littoral, et nos campagnes, avec un éolien qui ne fait nullement baisser la facture d’électricité des Bretons. Ils laissent le trafic de drogue se développer, sans demander des réponses pénales fermes. Ils épousent toutes les lubies sociétales du moment, pour plaire à des lobbys, à de petites communautés organisées et activistes qui ne représentent pourtant personne. Ils imposent une immigration de moins en moins contrôlée, sous le joug de l’Etat et des Préfets qui veut reproduire partout l’Ile de France. Pire encore parfois, ils l’appellent de leurs voeux au nom d’une « Bretagne ouverte et solidaire », slogan qui masque mal la conséquence que l’on voit aujourd’hui, dans tout l’hexagone.
Ouvert et solidaire, mais vis à vis de qui ? De toutes ces racailles, décérébrées, qui dealent, brûlent, cassent, et se comportent comme des sauvages ? Solidaire vis à vis de ceux qui viennent s’approprier les logements des Bretons, grâce à un pouvoir d’achat plus élevé d’un côté, ou en profitant des logements sociaux qui sont parfois refusés aux autochtones de l’autre ? Ouverte sur toutes les cultures et les moeurs les plus incompatibles avec les nôtres ?
Pour être une terre d’harmonie, une terre de vivre ensemble, il faut balayer tout ça. Il faut en finir avec ce mariage forcé contracté avec la République française. Il faut divorcer. Et redonner le pouvoir au peuple. Localement. Terminé les élus par moins de 50% de la population. Les décisions doivent venir de la base. Les Bretons doivent pouvoir décider par eux mêmes, dans leurs communes, dans leurs pays, dans leur région, de tout ce qui concerne leur vie quotidienne. Des référendums, partout, tout le temps, la démocratie directe.
Et un grand ménage. Une lutte sans pitié, à mort, contre les trafiquants de drogue, ces tueurs en série. Une Bretagne autonome qui possède non pas sa propre police, mais une milice permanente et populaire. Comme ils devraient l’être dès le plus jeune âge aux premiers secours, chaque citoyen de Bretagne devrait être formé, dès sa majorité, au maniement d’une arme, et à son usage, en toute sécurité. Les Suisses d’ailleurs, en démocratie comme dans la matière, montrent l’exemple.
C’est au peuple de décider de son avenir, d’avec qui il veut vivre et d’avec qui il ne veut pas vivre. C’est aux Bretons de décider qui est Breton, qui ne l’est pas. C’est aux autochtones de Bretagne de décider qui peut bénéficier d’un logement social, qui n’a pas vocation à rester sur notre terre. C’est aux autochtones de Bretagne d’imposer un service sanitaire, pour tous les jeunes choisissant les métiers de la santé, du médecin à l’infirmier…Moyennant le paiement de leurs études, ils devraient s’engager à servir, deux ans, dans un hôpital ou un service qui en a le besoin urgent. C’est cela, faire nation. Mais la nation bretonne.
Car la République française n’a plus rien à nous proposer. Le contrat social qui liait entre eux les citoyens est rompu. On vous taxe, on vous ponctionne, on vous presse de tous les côtés. Tout en vous surveillant, tout en voulant éduquer vos enfants plutôt que de les instruire. Tout en n’assurant plus votre sécurité, alors qu’il faut rappeler que la seule chose qui fait que le citoyen accepte de ne pas être armé en France, c’est qu’il confie sa sécurité entre les mains de l’Etat. Celui ci ne rempli plus son rôle, le contrat est rompu. Frontières poreuses, prisons pleines, services publics défaillants, populations trop hétérogènes pour pouvoir vivre ensemble, Et partout, l’insécurité, la violence, les dégradations, les cambriolages…Est-ce vraiment de cette société dont vous voulez ?
Ne préférez-vous pas vivre dans une Bretagne libre et apaisée, avec des gens qui vous ressemblent, et qui partagent vos valeurs, votre langue, votre histoire, votre culture, vos coutumes ? Et surtout, une Bretagne dans laquelle pour chaque décision, de la construction d’un lotissement dans votre commune, au contenu de l’enseignement dans un collège, en passant par l’accueil de migrants, la construction d’un hôpital, la subvention attribuée à un festival…vous seriez consulté, toute l’année, en permanence, parce que le maître des lieux ici, c’est vous ?
Les émeutes qui ravagent l’Ile de France, mais aussi les principales métropoles, Bretagne comprise, devraient provoquer le déclic qui aurait dû arriver depuis bien longtemps déjà. Nous ne voulons plus de la République française et de ses maux. Nous voulons vivre libres en Bretagne, entre Bretons, comme le font les Hongrois, Polonais, Suisses, Slovaques, qui depuis bien longtemps ont exprimé le choix de ne pas s’effondrer en tant que peuple comme s’effondre une partie de l’Occident.
Nous, nationalistes bretons, devons bâtir dès à présent la Bretagne de demain. Celle qui fera Sécession, et qui renversera la table, en nettoyant la maison, de fond en comble, pour que tous ceux qui ont été responsables du marasme dans lequel nous sommes plongés aujourd’hui n’ai plus jamais le droit de prétendre au moindre pouvoir de décision. Nous devons constituer des listes pour les prochaines élections, des listes populaires, apolitiques, pour dire aux Bretons : si vous élisez ces listes, vous aurez le pouvoir de décider. Dans votre commune, et à tous les échelons de la vie locale, régionale. Vous allez reprendre le pouvoir, et nous nous libérerons collectivement du joug d’une République française et de ses agents qui met clairement, aujourd’hui, la vie de nos enfants, et notre futur, en danger.
Disrann, hag Ai’ta Bretoned ! Sécession, et courage Bretons !
Julien Dir
Ai ‘ta ! (Tri Bleiz Die)
Ai ‘ta ! Bretoned, poent eo sevel hiriv
Poent eo bale stank-ha-stank war hentoù don ar vro
Poent eo mediñ an edoù hon eus ankounac’haet
Poent eo degas dour da vat d’hor meilhoù dilezet
Ai’ta ! ma mignoned.
Ai ‘ta ! Bretoned, dav eo sevel bremañ
Dav eo pediñ Sant Kado da reiñ frankiz d’ar vro-mañ
Dav eo deomp eostiñ frouzhennoù hon dispac’h
Dav eo deomp mont war-raok davit deiz ar gloar
Ai ‘ta ! a-benn bout dizalc’h.
Ai ‘ta ! Bretoned, ret eo sevel hor mouezh
Ret eo c’hwezhañ an tantad war-lein ar menez
Ret eo deomp derc’hel penn da vac’herien hor bro
Ret eo deomp chom disuj d’ar vourc’hizien atav
Courage ! Bretons, il est temps de se lever aujourd’hui
Il est temps de marcher en rangs serrés sur les chemins creux du pays
Il est temps de moissonner les blés que nous avons oubliés
Il est temps d’apporter de l’eau pour de bon à nos moulins abandonnés
Courage ! Mes amis.
Courage ! Bretons, il faut se lever maintenant
Il faut prier Saint-Kado de libérer ce pays
Il nous faut récolter les fruits de nos révoltes
Il nous faut avancer vers le jour de gloire
Courage ! Jusqu’à ce que nous soyons libres.
Courage ! Bretons, il faut élever nos voix
Il faut allumer le feux de joie au sommet de la montagne
Il nous faut tenir tête aux oppresseurs de notre pays
Il nous faut toujours rester insoumis aux bourgeois
Dépêchons ! Le temps passe…
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12 réponses à “Plus que jamais, la Bretagne doit se séparer de la République française ! [L’Agora]”
Bro breiz evit deomp !
Oui, bravo !
Vive la Bretagne libre. Vous avez raison, la République n’a plus rien à offrir, elle est mourante et en faillite. Elle voulait faire le bonheur des pauvres de ce monde. Résultat, c’est elle qui est venue pauvre. De plus, elle a importé le culture islamique qui va l’achever un peu plus vite. Que peut la République contre les cartels et le communautarisme ?. On voit bien que l’État n’est même plus capable de ramener l’ordre républicain. La police est dépassée, la justice est gangrenée par l’idéologie woke et l’inversion des valeurs, les hôpitaux sont mourants et l’école est en putréfaction
Je pense la même chose
Nul
« Nous devons constituer des listes pour les prochaines élections, des listes populaires »
Le duché est libre et souverain. C’est parce que vous participez à l’ arnaque du jeu éléctoral que vous vous la faites coller dans le fondement. La noblesse de cloche et la compagnie des Indes pillent allégrement pendant que le peuple meurt. Dir ha Tan vraz. C’hallaoued ne gompren nekke met ar forzh. Brein eo o penn. Mall bras eo stagañ ar croas hent meur. Amser zo evit gwalc’hiñ ar revriou lous.
Bravo Julien, tres bon article
Je suis désolé mais je ne connais pas la langue (ou les langues) Bretonnes, je suis Occitan mais je suis de tout cœur avec vous. Assez de ces « valeurs de la république » qui détruisent nos pays et nous font basculer dans le tiers-monde. Réveillons nous et armons nous car nos ennemis, que ce soit à la tête de l’état ou dans les bastions de l’islam, sont prêt pour nous détruire. Faisons passer la peur de leur coté !
La Ligue Savoisienne, parti indépendantiste de la Savoie (73 + 74 ), avait fait un constat similaire au vôtre sur l’effondrement de la France et sur l’urgence de s’en séparer. C’était à la fin des années 90 ! La LS a disparu en 2012, au vu du peu d’écho qu’elle suscitait, mais son constat, vingt-cinq ans après, reste tragiquement actuel.
bonsoir ,
très bon article par contre ce qui est lamentable c’et que je ne peux le partager sur Facebook , encore une censure de ce site sans doute .
Votre » bien vivre » à des airs de « entre soi » qui me font frémir. Des airs de vivre en autarcie, des airs de communautarisme….ça fait peur. Votre milice me fait peur aussi, donner des armes à un groupe de gens, à des citoyens, c’est payé en heures supplémentaires ? :) Votre démocratie par le bas est typiquement proudhonien. Ce cocktail d’arnarchisme et de nationalisme me fait malgré tout un peu sourire. Étant des Pays de Loire (de la Loire-Atlantique), je vous souhaite une indépendance trés très prochainement. Au plaisir de vous relire, car votre plume à vraiment un très bon…français. :)
Resienn evel a gari mignonned. Met mar dihuniñ ar tud vreitoneg ne dont ket garmiñ. Don eo ar saotred e-barzh ar vro Naoned. Dreitouren dec’h, dreitouren hiziv.