Les chirurgiens d’Auckland sont désormais tenus de prendre en compte l’origine ethnique d’un patient, ainsi que d’autres facteurs, lorsqu’ils décident qui doit être opéré en premier.
Plusieurs chirurgiens se disent choqués par cette politique, qui a été introduite à Auckland en février et qui donne la priorité aux patients Māori et des îles du Pacifique, au motif qu’historiquement ils auraient eu un accès insuffisant aux soins de santé.
Les autorités sanitaires soulignent que l’appartenance ethnique n’est qu’un des cinq facteurs pris en compte pour décider quand une personne doit subir une intervention chirurgicale, et qu’il s’agit d’une étape importante pour remédier aux mauvais résultats sanitaires des populations Māori et du Pacifique.
Te Whatu Ora – Health New Zealand a introduit un Score d’Ajustement Équitable, qui vise à réduire les inégalités dans le système en utilisant un algorithme pour classer les patients en fonction de la priorité clinique, du temps passé sur la liste d’attente, de la situation géographique (zones isolées), de l’appartenance ethnique et du niveau de pauvreté.
Nouvelle-Zélande / Wokisme : à Auckland, la race du patient doit être prise en compte pour prioriser les opérations depuis février ; "médicalement indéfendable" témoignent anonymement des chirurgiens – https://t.co/b3fGoJWsq3 pic.twitter.com/JBiOIO2Yoj
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Dans la catégorie ethnique, les Māori et les Pasifika sont en tête de liste, tandis que les Néo-Zélandais d’origine européenne et d’autres ethnies, comme les Indiens et les Chinois, sont moins bien classés.
Certains chirurgiens, qui ont parlé sous le couvert de l’anonymat, ont déclaré que le nouvel outil de notation était médicalement indéfendable. Ils ont déclaré que les patients devraient être classés par ordre de priorité en fonction de leur état de santé, de l’urgence du traitement et de la durée de l’attente, et non en fonction de leur appartenance ethnique.
L’un des chirurgiens s’est dit “dégoûté” par le nouveau système de classement.
“Il est difficile, d’un point de vue éthique, de traiter quelqu’un sur la base de sa race, car c’est son état de santé qui doit déterminer l’urgence du traitement”, a déclaré le chirurgien.
Le wokisme est bel est bien une maladie mentale et cela, quelles que soient les races qu’il pénètre pour le coup.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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4 réponses à “Nouvelle-Zélande gangrénée par le wokisme. A Auckland, la race du patient doit être prise en compte pour prioriser les opérations depuis février…”
Woke and roll …!
Chez nous, il était interdit de comptabiliser qui est qui dans nos prisons et chez les délinquants ou criminels. En NZ, ils ont renversé la vapeur sans complexes……..ce qui nous attend bientôt ?
la discrimination positive entraine automatiquement une discrimination négative ! suicide des occidentaux par leurs zélites
Bientôt le retour des tribus, ce qui permettra de se défendre à coups de hache des envahisseurs