Pour ceux qui avaient encore des doutes sur le fait que certains bénéficiaient de privilèges dont le citoyen ne bénéficie pas….A Quimper, le maire Isabelle Assih veut ainsi exploiter les caméras de surveillance….pour retrouver les auteurs d’un jet de peinture sur un passage piéton LGBT.
Ainsi, dans une ville où le trafic de drogue se développe, ou l’insécurité n’est pas qu’un « sentiment » dans certains quartiers, voici les priorités municipales, tout du moins celles qui provoquent un tollé médiatique.
Mais quel « crime » a donc été commis ? Aucun. Simplement, alors que la municipalité a fait du combat LGBT une action manifestement prioritaire, en faisant repeindre un trottoir par des associations minoritaires et militantes d’ultra gauche (collectif trans en Finistère Sud (CTEFS) et de Queers uni.e.s de Bretagne (Qub), un ou des citoyens n’a visiblement pas apprécié. Et a déversé un peu de peinture sur « l’oeuvre ».
Il n’en fallait pas plus à l’édile de Quimper pour dénoncer un quasi crime.
« 48 heures, il n’aura fallu que 48 heures pour que la haine et l’homophobie montrent leurs visages, du plus sournois au plus violent. De commentaires emplis de sous entendus homophobes crasses auxquels je ne répondrai pas, jusqu’à la dégradation lâche. Vous faites la preuve que la lutte contre les discriminations est un combat essentiel. Vous faites la démonstration de l’absolue nécessité de donner toute la visibilité aux couleurs arc-en-ciel ! Dès demain, je saisirai la haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité » a-t-elle indiqué.
A Ouest-France, Isabelle Assih confie même envisager d’exploiter les caméras de surveillance ! Que les Quimpérois seraient heureux si c’était réalisé avec force par la municipalité ou les autorités au moins cambriolage, à la moindre agression…
A Rennes samedi, une banderole « Fuck Gay Pride » a été déployée avant une « marche des fiertés » organisée par des associations LGBT minoritaires. A Quimper, ce passage piéton symboliquement redécoré, comme à Nantes par le passé. Pour les autorités, « des actes homophobes » . Mais pour des millions de français, pas « homophobes » pour un sou, un ras le bol de voir l’obsession d’une certaine communauté manifestement exclusivement centrée sur sa propre sexualité, occuper en permanence l’espace public, y compris jusque dans les écoles, y compris devant des enfants comme les récents spectacles de Drag queens le démontrent.
Cocasse, mais possible perspective pour certaines villes françaises demain : aux Etats-Unis, après avoir choyé des années la minorité musulmane d’une ville, minorité devenue majoritaire, la gauche « progressiste » voit le boomerang lui revenir en pleine tête : A Hamtramck, dans le Michigan, un conseil municipal désormais entièrement musulman et socialement conservateur vient d’adopté une loi interdisant aux drapeaux LGBT de flotter sur les propriétés de la ville. Dans un discours prononcé avant le vote, le membre du Conseil Mohammed Hassan s’est justifié de cette mesure : « Je travaille pour le peuple, pour ce que souhaite la majorité des gens ».
Il est vrai que l’avis des citoyens, certains élus sous pression d’associations ultra minoritaires semblent s’en moquer totalement.
Crédit photo : facebook isabelle Assih (public)
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3 réponses à “A Quimper, le maire Isabelle Assih veut exploiter les caméras de surveillance….pour retrouver les auteurs d’un jet de peinture sur un passage piéton LGBT”
Merci pour le courage de vos propos reflétant l’analyse d’une majorité silencieuse et non-activiste.
Je vous suivrai dorénavant.
Votre article est inutile, supprimez
Ok merci Danielle de nous indiquer ce que nous devons faire ou pas. Mais les Khmers rouges nous laissent de marbre.