Mieux vaut tard que jamais. Deux mois après la fin des travaux place du Commerce – où près de 30 millions d’euros ont été enterrés – et un mois après l’inauguration, un homme solitaire, poussant devant lui une carriquelle munie de capteurs, effectuait des mesures de chaleur et de rayonnement à l’extrémité ouest de la place du Commerce, entre deux fontaines.
Cette partie là, dépourvue d’arbres est la plus chaude, et confine à « l’enfer minéral » aux heures les plus chaudes, malgré la présence des fontaines. Il y avait un objectif inavoué d’urbanisme incitatif et sécuritaire, afin de faire fuir plus vite les manifestants lors de leur dispersion et les délinquants, pour éviter leur station prolongée aux abords de l’hypercentre nantais, ce qui est pour l’heure un coûteux échec, les dealers venant en majorité de pays bien plus chauds que la Bretagne, mais ce ne sont ni les architectes, ni les décideurs politiques, ni les « conseilleurs » habituels (bureaux d’étude et autres) qui le paieront, mais des nantais de plus en plus écrasés par la pression fiscale, le prix du stationnement et la hausse des transports en commun.
Lesdites fontaines où gambadent sans souci les enfants, mais aussi des chiens, des pigeons… et où les SDF locaux se lavent. « Elles sont bien chlorées, il n’y a pas d’inquiétude à avoir », tempère un employé chargé de la maintenance des fontaines – depuis la rénovation de la place il y a un local sous la place, avec un grand bac d’eau traitée et des conduites qui vont de l’autre côté des rails du tramway, côté nord de la place du Commerce.
Néanmoins, avec une telle charrette bardée de capteurs, on peut mesurer autre chose. La violence, en se déplaçant rue de Gorges, entre la place du Commerce et la place Royale, à peine cinq minutes plus tard. Pour y voir une bagarre entre le conducteur d’un scooter et un africain, sur fond de mésententes ethniques – il leur faudrait certainement un stage citoyen pour apprendre le vivre-ensemble. Ou la bêtise – et pour cela, « il n’y a rien de mieux que d’aller rue de l’Hôtel de Ville, rue de la Commune ou rue de Strasbourg, près de l’intersection avec la précédente. Rue Garde-Dieu et dans la partie voisine de la rue Saint-Léonard, aussi. Tous les capteurs virent au rouge », confie un riverain de la place du Commerce rénovée.
Chiche ?
E.L
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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6 réponses à “Enfer minéral place du Commerce à Nantes. De la chaleur et de rayonnement”
Les joyeusetés du vivre ensemble imposé par les idéologues de gauche. Cette ville est foutue
C’est qui le maire de Nantes ? C’est bien les nantais qui l’on mise en place , alors qu’ils se démerdent !!!!
18,6% des nantais.
Comment peut-on être surpris du résultat de ce bétonnage ? Nous avions déjà la place Bretagne…. été : infernale au soleil et hiver impraticable avec pluie et vent…
Rassurez-vous nantais on aura en prime la petite Hollande…
Les nantais paieront la facture… mais ne peuvent arrêter ces projets pharaonniques, malgré les propositions de la mairie pour donner notre avis… dont on ne tient pas compte.
Ta connerie toi ,c’est sur qu’elle est pas de gauche…pour ta gouverne tu peut être noir et être français.. ( pis le commentaire du journaliste c’est un africain.. j’imagine bien ce pseudo journaliste allez demander à la personne s’il elle est africaine… En même temps Breizh info un site de petit facho qui on tellement de couilles qu’il sont pas foutu de mettre leur nom et prénom et ce choisisse un Pseudo ridicule… A pis pour ta gouverne le Pseudo articles parle du bétonnage de la place du commerce et certainement pas de vivre ensemble…bon j’imagine que tu ES un fan du Zemmour…
Je n’ais pas mis les pieds dans le centre ville de Nantes depuis 5ans , y compris les sorties le soir. Trop de mésaventures m’ont dissuadé d’y aller , et ce de manière radicale.
Les problèmes sont liés aux migrants, c’est clair et net, les migrants chahutent les femmes de manière indescentes, même quand vous les accompagner, ça peut être votre femme , votre fille , votre mère…
Les migrants vendent de la drogue , vont en propose.
Les migrants à scooter (clandestins) pullulent, pollution sonore olfactive visuelle, risque d’accidents, d’accrochage verbal.
Les migrants vous dépouillent, vous agressent vous violent.
Les migrants squattent l’espace en buvant , jurant, balancent des détritus à longueur de journée…ils defequent aussi dans les recoins.
Voilà ce qu’est devenu le centre ville de Nantes.