Twerker du popotin, la dernière mode afro-américaine en vogue chez nos jeunes

On appelle ça « twerker »…

Pour ceux qui ne connaissent pas, le « twerk » consiste à remuer du popotin, bien cambrée, devant un homme. Ou plusieurs ! Le mieux est d’ailleurs de se coller, toute frétillante, contre tous les chibres qui passent. La performance peut même aller jusqu’à mimer l’acte sexuel. Par terre et avec un parfait inconnu. Plus 200 lascars à s’exciter autour !

Le « twerking » a gagné les pays occidentaux. Pas une fête de village désormais sans qu’une grosse dondon se mette à remuer du cul comme une folle afin d’attirer l’attention des mâles. Les wokes enseignent la discipline aux enfants également. C’est ainsi qu’on voit, dans certaines écoles, des fillettes, les mains contre le mur remuer leur derrière devant leurs camarades ricanant. Elles ont appris ça avec môman. Ou lors des « lectures drag queens », qui peuvent également contenir un module « twerk » à l’occasion.

 

Généralement, le twerk s’accompagne de gigouilleries des pattes genre Johnny Clegg chez les Zoulous, mais bien bourré. Les p’tits mecs sojas se twerkent dessus à l’envie en direct sur Tik Tok. Aujourd’hui, pas un évènement « festif » ne se déroule sans que ça twerke au milieu de la rue et des gamins. Avec une ficelle de cuir dans le fion de préférence !

Cette mode hyper-sexualisante notamment chez les enfants, arrive tout droit d’Afrique via la Nouvelle Orléans. Par Ocean Viking express ! Elle démontre, une fois de plus, que le continent noir a gagné la guerre culturelle. Eh oui ! Les jeunes et une bonne partie de leurs parents parlent désormais comme des Africains, se fringuent comme des Africains et dansent comme des Africains. Et pas des Arabes, car aujourd’hui, c’est l’Afrique noire qui tient le haut du pavé. Ses tam-tams et ses boubous. Ses wech wech et ses « tchips ». Ses danses zoulous et sa représentation croissante dans les pubs.

Aucun de ces jeunes occidentaux ne tiendrait plus de 3 jours dans une ville africaine. Bourbier. Merdouille. Saleté. Rats. Eau polluée. Gangs. Surpopulation. Mais qu’importe. Ce qui compte ce n’est pas l’Afrique réelle mais l’image waka waka qu’on se fait de l’Afrique.

En fait, c’est surtout la virilité africaine qui semble fasciner en Occident…notamment les femmes… L’occident fragile du wokisme y voir un miroir inversé. Et rêve de s’y vautrer. De s’y soumettre. De s’y offrir.

Dans les villes, suivant en cela la mode du body positive, il existe même des « cours de twerk » où des grosses dondons sorties du Loir et Cher apprennent à remuer leur culotte de cheval. Pour exciter Kevin qui passe trop de soirées devant Call of Duty.

Les wokes hurlent au viol à tous les coins de rue. En même temps, elles incitent leurs congénères femelles et les petites filles à exciter tout ce qui peut encore remplir un caleçon. Paradoxe du wokisme ? Même pas… Envie de s’offrir à l’Autre surtout. Par haine de soi. Par fascination. Par éblouissement devant sa propre disparition.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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8 réponses à “Twerker du popotin, la dernière mode afro-américaine en vogue chez nos jeunes”

  1. TITUS dit :

    Décivilisation ? vous avez dit décivilisation ?

    • Pablo Muggeri dit :

      Exactement. Il y a eu une très bonne note journalistique sur le site ideeazione.com il y a quelques jours, je pense qu’elle provenait de katehon.com, avec ce titre

  2. alienor dit :

    beurk !!!!!

  3. andré dit :

    Elle devraient commencer par une lipoaspiration chirurgicale de cellulite avant d’espérer exciter les hommes….. ou les femmes car on ne sait plus trop avec le transgenre !

  4. Didier Viard dit :

    Les motivations profondes des personnes qui se livrent à ces démonstrations ne sont pas très claires. Se présenter ainsi à autrui par son arrière-train est un geste naturel et stéréotypé de femelle s’offrant à la fécondation, et le corps des femmes a été merveilleusement conçu pour cela. Est-ce un sursaut du subconscient, un appel au mâle, masqué, détourné, ou un acte surchargé d’une signification symbolique pas encore bien apprise par le public?… Ca me rappelle les « féministes » qui se regroupaient seins à l’air sous les fenêtres de Berlusconi, au prétexte de dénoncer un homme réputé pour sa consommation de femmes… Messieurs -enfin, ceux qui méritent ce nom-, peut-être que notre heure revient! A moins qu’elle n’ait jamais disparu en fait… Concernant les agissements en question, en principe, ils doivent aller à l’encontre des lois sur l’attentat à la pudeur, et j’attends la répression des défenseurs de « l’état de droit ». Mais, dans le cadre de notre régime, est-ce bien raisonnable? Quoiqu’il en soit, voilà une nouvelle division qui surgit au sein de notre type de société, entre ceux qui sont capables de telles conduites et ceux qui, pour eux-mêmes, n’y songent pas du tout.

  5. kaélig dit :

    Nouvelle position au starting-block pour le départ du 100 m dames.

  6. eclairindien dit :

    Il faut aussi signaler que dans les rites vaudous, le fait de montrer son derrière en « dansant » a une signification magique: jeter la malédiction sur les spectateurs!
    cf à nouveau les versions commentées du spectacle d’inauguration du tunnel du saint gothard le 01/06/2016.

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