Dans le cadre de la loi anti-viol promulguée par la gauche en Espagne, les réductions de peine accordées aux violeurs sont justifiées. Tel est le verdict final de la Cour suprême d’Espagne, rendu le 7 juin, concernant la récente série de réductions de peine accordées à des agresseurs sexuels condamnés à la suite de l’éphémère mais controversée réforme du code pénal espagnol en matière de crimes sexuels.
Mieux connue sous le surnom de « Solo Sí es Sí » (seul le oui est oui), la réforme du code pénal concernant l’inconduite sexuelle a été adoptée l’année dernière, avant de subir rapidement une réforme de la réforme qui a été promulguée en mai de cette année.
La réforme initiale a supprimé le délit d’abus sexuel du code pénal afin de faciliter la définition juridique des actes sexuels non consensuels en tant qu’agression, qui est considérée comme un délit plus grave. Mais elle a également abaissé la peine minimale pour ces crimes, ce qui a entraîné des réductions de peine pour les agresseurs sexuels violents déjà condamnés et, dans certains cas, leur libération immédiate de prison, la constitution espagnole prévoyant que la version la plus favorable des lois doit être appliquée aux prisonniers.
Des milliers de condamnés emprisonnés ont demandé la révision de leur peine et, à ce jour, près de 1 000 peines ont été réduites et, dans une centaine de cas, les détenus ont été libérés. Le lendemain de la décision de la Cour suprême, un autre violeur a vu sa peine de 12 ans réduite de cinq ans.
La loi a été élaborée par le ministère de l’égalité, dirigé par Irene Montero du parti néo-communiste Unidos Podemos, le groupe minoritaire de la coalition gouvernementale dirigée par les socialistes. De nombreux experts avaient prévenu que la loi entraînerait des réductions de peine, mais Mme Montero a insisté pour qu’elle soit adoptée telle qu’elle a été rédigée par son ministère, et le président socialiste Pedro Sánchez a acquiescé.
Pour tenter de justifier le travail du ministère de l’égalité, le bureau du procureur a fait valoir qu’en vertu d’une loi de 1995, même si les peines pour un certain crime étaient réduites, les peines qui restaient dans le nouveau cadre des minimums et maximums de la prison ne devaient pas être réexaminées. La Cour suprême a toutefois décidé que cette règle ne s’appliquait pas dans le contexte de la loi « Solo Sí es Sí ».
Depuis mai dernier, les peines de 1 079 délinquants sexuels ont ainsi été réduites. Bien que la réforme ait déjà été abrogée et que les peines soient revenues à leur niveau antérieur, les condamnés incarcérés pendant les mois où la loi « Solo Sí es Sí » était en vigueur peuvent encore bénéficier de réductions de peine.
Heureusement pour les espagnols, les gauchistes ont pris une rouste aux dernières élections…et pourraient en prendre une deuxième lors des législatives à venir, ce qui devrait entrainer du changement.
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6 réponses à “La Cour suprême d’Espagne confirme les réductions de peine pour les violeurs (une loi votée par la gauche)”
Je doute que cette madame Irene Montero du parti néo-communiste ait un jour subit un viol, elle n’aurait surement pas pondu cette loi. L’idéologie marxiste fait encore des ravages en Espagne comme ailleurs, mais comme vous le soulignez, peut-être pas pour très longtemps.
Perso je propose une loi de « droit au viol » Peut-on imaginer une femme qui se refuse à un orgasme possible car tous ces mecs violeurs, non seulement s’accordent le droit, mais sont persuadés de rendre les femmes « heureuses ». Si cela n’était pas le cas, ils ne violeraient pas ! C’est donc par amour de la prochaine qu’ils se dévouent ! Comment peut-on alors les mettre en prison ? C’est une infamie.
Pour ouvrir les yeux de cette Irène, il lui faudrait subir un viol collectif suivi d’une bastonnade !!!! Mdr …….
Les violeurs espagnols pourront sortir de taule la queue en l’air.
Il suffirait que la fille ou le garçon d’un de ces » décideurs » de gauche se fasse violer pour qu’on en reparle en d’autres termes.
honteux, déjà les violeurs ne sont pas tous condamnés et ensuite souvent pour peu longtemps , en tout cas en france