Deux épisodes d’actualité, en Espagne et au Danemark, mais la même conclusion : sous le poids du réel, de la vraie vie, et lorsque l’on donne au peuple l’occasion de dire ce qu’il en pense, le gauchisme s’effondre. Entendons-nous bien : quand je parle du gauchisme, je ne parle pas de ce qui constituait jusqu’à il y a encore vingt ans ou vingt cinq ans, l’ADN des gens de gauche : la défense des classes populaires et des autochtones, la lutte des classes, le combat social et syndical.
Premier exemple en date avec le Danemark où la gauche sociale (qu’il faut distinguer très clairement du gauchisme sociétal, ultra minoritaire) est devenue le fer de lance de la lutte contre l’immigration. Pourquoi ? Parce que les Danois n’en peuvent plus de voir que leur population change, ethniquement, et que ce changement est accompagné de bouleversements (sécuritaires, culturels, religieux) dans leurs vies de tous les jours. L’assimilation de masses venues d’autres continents ne fonctionne pas, ne fonctionne plus, et le peuple danois le fait fréquemment savoir depuis quelques élections.
La gauche, qui s’intéresse encore à son peuple, aux autochtones, l’a bien compris. Voir cette vidéo de Quotidien, ci-dessous, ou quand le gauchisme sociétal rencontre la gauche social et populaire.
Jean Jaurès aurait été d'extrême droite en 2023 ! @KaareDybvad #Quotidien #Immigration #Decivilisation #SaintBrevin #MarineLePen #SamuelPaty #DANEMARK pic.twitter.com/M5D9A8W7sO
— Le Soldat Inconnu (@Makiavel07) May 25, 2023
Deuxième exemple avec l’Espagne. Le gouvernement de gauche, gangréné par la gauchisme sociétal, vient de subir une gifle lors des élections régionales et municipales, et se retrouve dans l’obligation de convoquer des élections législatives anticipées. Une gifle qui n’est pas le fruit d’une situation économique désastreuse (le chômage est faible, comme l’inflation, et le pouvoir d’achat des espagnols a augmenté). Mais à l’ouverture des socialistes espagnols aux gauchistes de type Podemos (qui ne pèsent que 3% et qui faisaient pourtant la pluie et le beau temps ces derniers mois). Immigration massive comme l’Espagne n’avait jamais connu. Réformes sociétales délirantes, sur les violences sexuelles notamment, qui a entrainé la mise en liberté de nombreux violeurs. Introduction d’une possibilité de changer librement de « genre » dès 16 ans….et menaces à peine voilées sur l’avenir de la propriété privées, la liste est longue de ces expériences délirantes que les gauchistes ont souhaité mettre en place dans ce pays.
A ces deux exemples, on peut ajouter que les entreprises, les multinationales, qui se lancent dans la course effrenée au wokisme (synonyme de gauchisme) en subissent les conséquences économiques. Walt Disney en tête. Au cinéma, La Petite Sirène fait un flop (une petite sirène noire…pour un conte danois, tout va bien Madame la marquise…). Les films qui massacrent notre histoire ou font de l’appropriation culturelle font un flop. En France, tous les films faisant la promotion de l’immigration, de l’accueil de migrants ou de lubies sociétales diverses et variées font des flops. Ils ne peuvent être tournés que parce qu’ils sont gavés de subventions publiques, de votre argent (un peu comme une certaine presse qui ne pourrait pas vivre sans subvention et qui continue à donner des leçons de morale à la terre entière).
Partout où le gauchisme se diffuse, il se trouve confronté, dans le réel, à une fin de non recevoir, et cela même si il parvient dangereusement (c’est là notre défi) à toucher une jeunesse à qui l’Education nationale ne donne plus les armes pour se défendre intellectuellement, pire encore, à qui elle met dans la tête une partie du poison.
En réalité, sa persistance dans nos sociétés occidentales réside dans le fait que les principaux diffuseurs de l’information et de la culture (médias, radio, cinéma, édition..) mais aussi de l’économie sont totalement pénétrés par ce poison venu notamment des universités américaines (mais pas que, voir la vidéo de Julien Rochedy sur le sujet). Mais les citoyens deviennent de plus en plus imperméables à ces injonctions et à ces agitations permanentes. Car ce n’est pas une question de « vivre avec son temps ». Le projet du gauchisme et des gauchistes et bel et bien de transformer l’Homme (avec un grand H). De métamorphoser la planète, et, au passage, d’anéantir la Civilisation européenne.
Le Danemark, l’Espagne, doivent nous apporter l’optimisme nécessaire pour affronter les situations ubuesques qui se présenteront sans aucun doute demain sous la pression d’un gauchisme ultra minoritaire mais bien trop influent. Pour le faire enfin retourner à sa destination finale : dans les poubelles de l’Histoire. A vous de jouer.
YV
Crédit photo : wikipedia (cc)
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3 réponses à “Espagne, Danemark…Le gauchisme s’effondre face au réel [L’Agora]”
Quand des étrangers viennent en France, ils réagissent , car ils ne veulent pas que leur pays devient une poubelle comme est devenue la France.
L’ ancienne gauche défendait le prolétariat mais la désindustrialisation et la fuite des usines à l’ étranger a remplacé le monde des ouvriers par celui des employés du secteur tertiaire, par les petits boulots et les auto entrepreneurs. Les S.Rousseau, les LFI et les extrèmistes n’ont plus que ces minorités du Wokisme, du transgenre, et de toutes ces modes sociétales ubuesques à défendre….cette gauche lamentable n’a plus rien de commun avec les Jaurès, P. Mendès France et autres figures emblématiques d’une gauche qu’on respecte même si on a des idées divergentes. La réalité du terrain et le déni permanent des vrais problèmes les empêcheront toujours de gouverner et heureusement pour nous, en somme, une chance pour la France !!
la gauche ayant préféré les étrangers aux travailleurs , je m’étonne que les partis pc, ps, écolo, aieent autant de députés que ça