Un détenu étranger, jugé ces jours-ci à la cour d’assises de Quimper, a semé la pagaille à la maison d’arrêt à son retour et a cassé le bras d’un surveillant, arrêté pour plus d’un mois et demi.
FO Pénitentiaire relate dans son communiqué : «le 23 mai restera marqué dans la mémoire des agents de la MA de Brest. A son retour sur l’établissement, après une très longue journée à la cour d’assises de Quimper, le détenu A… suite à son comportement agressif (insultes, crachats, menaces) a été placé en prévention [placement en cellule disciplinaire ou confinement en cellule].
Devant son état d’excitation, décision a été prise de le placer en DPU [dotation de protection d’urgence, pour éviter les suicides – le kit est composé de deux couvertures indéchirables et de vêtements à usage unique qui peuvent être déchirés] Face à son refus de remettre ses vêtements, l’encadrement a légitimement donné l’ordre d’intervenir. Résultat : 42 jours d’ITT pour une main cassée pour l’un et des contusions pour d’autres.
Originaire du Libéria, jugé pour viol et semant la pagaille à l’audience
D’après le planning de la Cour d’Assises de Quimper mis en ligne par le Télégramme (22.05), « à partir de ce mardi 23 mai et pendant deux jours un ressortissant étranger âgé de 22 ans est jugé par la cour d’assises du Finistère dans le cadre d’une affaire de viol sur une femme, des faits qui se seraient produits au sein du foyer des jeunes travailleurs de Quimper […] l’accusé [est] détenu à la maison d’arrêt de Brest depuis août 2020 ».
Lors du compte-rendu d’audience, le Télégramme nous apprend, le 23 mai, que ledit prévenu âgé de 22 ans « Isaac Antoine, un livre serré entre les mains, refusa[i]t de décliner son identité » et a du être « expulsé en raison de son comportement très particulier […] originaire du Liberia », il est accusé d’avoir violé une femme qui vit maintenant à l’étranger, « dans la nuit du 10 au 11 août 2020 à Quimper », vers une heure du matin. Les lunettes de la victime ont été retrouvées dans la chambre de l’accusé, et son ADN sur elle. Quant à la communication avec son client, elle est « clairement impossible » selon son avocat, lassé de ses changements de version et de son comportement – du reste, ce dernier présentant des troubles psychiatriques importants, « il n’a pu s’entretenir correctement sans mettre sa vie en danger », relate encore le Télégramme.
A un moment des auditions, le prévenu hurle : « moi, je vais lâcher Lucifer. Je prêche le feu. Si mon père était là, on vous tue tous. Vous êtes l’Antéchrist, vous êtes la femme de Satan », avant d’être expulsé. C’est en son absence que le verdict est donné – huit ans ferme. Et depuis, il a été transféré… à Nantes. Amis brestois, merci du cadeau.
Un habitué des émeutes en détention
Le procès a au moins le mérite d’apprendre que le détenu brestois jugé pour viol est un habitué de l’émeute en détention : « au cours des trois dernières années », relate le Télégramme, « il a connu trois prisons et une vingtaine de cellules. La raison ? D’importants problèmes de comportement : tentatives d’incendie, agressions de surveillants pénitentiaires. Au total, il a cumulé près de 40 incidents et vingt procédures disciplinaires ».
Quand les médecins participent à l’impunité de certains détenus
Par ailleurs, fin avril dernier, un détenu en transfert disciplinaire qui « écume les QD de la DI », autrement dit les quartiers disciplinaires de la direction interrégionale pénitentiaire (Bretagne historique, Maine-Anjou, Vendée, Normandie) a successivement agressé un codétenu puis un agent qui l’accompagnait au quartier disciplinaire. Il y a donc été maintenu, mais c’était sans compter sur la visite médicale, ou une médecin a estimé « que le détenu n’était pas compatible avec le quartier disciplinaire de Brest – dans d’autres établissements, il l’était », et pourtant « pas suicidaire », relève le communiqué FO Pénitentiaire, un peu surpris – habituellement, incompatible avec la détention rime avec hospitalisation ou risque de suicide, qui conclut : « merci à vous Docteure de participer au sentiment d’impunité que peuvent ressentir certains de nos pensionnaires ».
Louis Moulin
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8 réponses à “Originaire du Libéria, il sème la pagaille à la maison d’arrêt de Brest”
Encore un »déséquilibré » africain, qui sème »la pagaille » dans notre pays!…Nous payons des impôts très importants, à »l’Etat français » , afin qu’il assure notre sécurité…or, il NE LE FAIT PAS!…Les islamos-collabos, qui nous gouvernent, font entrer, tous les ans,400.000 terroristes musulmans… qui tuent des »innocents » au nom d’Allah!…
Il faudrait peut être pratiquer l’ euthanasie avec de pareils dégénérés !!
avec ces mecs la y’a pas 50 solutions….,peloton d’execution rapide,efficace, et economique….resultat garanti!
Pourquoi faut il l’empècher de se suicider….est il si indispensable à lasociété française , ce futur prix NOBEL? si tel est son bon vouloir , n’entravons pas sa destinée !
Plus que jamais, voici un cas simple et précis de l’obligation de la France de créer des bagnes en dehors de l’hexagone afin d’eviter les problèmes recurants actuels sur notre sol national. Et d’autant plus, éviter les drames tout en plaçant à l’abris la population française y inclue la population carcérale et son encadrement. Je rappelle que la France dispose depuis les annees 50 d’une base militaire nommée Dumont-d’Urville en antartique et plus précisément en Terre Adelie (Au Sud de l’Australie) occupée en permanence par la France. Que l’on veuille ou pas, il est une evidence vitale : La perspective d’un séjour au bagne refroidirait bien des humeurs belliqueuses, et apporterait, comme par miracle, un semblant de sagesse dans les esprits les plus farfelus …
Dans le film « Le silence des agneaux » Anthony Hopkins dans le rôle du dégénéré porte une muselière et est enfermé dans une cage d’acier. Des tarés de la sorte doivent être muselés, mis sous camisole de force et placés en asile psychiatrique le temps qu’il se calment. S’ils continuent à gueuler et vouloir bouffer du surveillant, direction le bagne, pain sec, eau claire et travaux forcés à coups de pieds dans le C**
libérez nous de ces individus,renvoyez le chez lui, l’état est chargé de protéger les citoyens, non?
Pour ces gens-là, je suis pour la peine de mort. Inutile de surcharger la société de l’entretien d’un fou dangereux qui ne s’amendera jamais. Si ça se trouve, il serait peut-être même d’accord car sa vie de criminel haï de la société ne lui convient sûrement pas.