« Mule » guyanaise important plus d’un kilo de cocaïne en Bretagne, vols, menaces avec arme, rodéos de racailles et violences sur un agent municipal… Une semaine chargée à Brest !
Un Guyanais interdit de séjour en Guyane, mais pas à Brest
Les faits divers se sont succédé à Brest ces derniers jours, conférant une nouvelle publicité peu flatteuse à la ville finistérienne. Après l’arrestation d’un homme le 5 mai dernier par les douanes de Brest tandis que celui-ci était en possession de 97 ovules de cocaïne, soit plus d’un kilo, la « mule » ayant transporté la drogue depuis la Guyane a été jugée devant le tribunal de Brest dans le cadre d’une comparution immédiate vendredi 12 mai.
En état de récidive puisque déjà condamné pour des faits similaires en 2019 et 2021, le prévenu, un Guyanais de 32 ans dénommé Jonathan Afoo et domicilié à Brest, a été condamné à cinq ans de prison ferme. À noter par ailleurs qu’une importante communauté guyanaise réside dans la métropole brestoise…
L’homme, sorti de prison en janvier 2022 puis placé en détention provisoire suite à son arrestation au début de ce mois de mai, est donc reparti en détention à l’issue de l’audience. Il a également écopé d’une amende douanière de 39 542 € et d’une interdiction de séjour en Guyane pendant trois ans. Mais pourra manifestement continuer à déambuler dans le Finistère après sa remise en liberté.
De faux agents de la ville signalés
Dans le registre des vols cette fois, les policiers brestois ont interpellé un individu âgé de 36 ans samedi 13 mai en fin d’après-midi. L’homme s’était introduit dans le lycée La Croix-Rouge La Salle après avoir escaladé un mur. Une escalade motivée par de mauvaises intentions puisqu’il a été arrêté en possession de trois sacs remplis d’objets volés à l’intérieur du bâtiment scolaire, parmi lesquels des enceintes, des produits alimentaires ou encore des tablettes numériques.
C’est un gardien du lycée, ayant repéré le cambrioleur, qui a appelé les forces de l’ordre. Ces dernières, rapidement dépêchées sur place, n’ont donc eu aucune difficulté à établir un flagrant délit lors de son arrestation. L’homme a été par la suite placé en garde à vue au commissariat de Brest.
Toujours en matière de vol, le commissariat de Brest a reçu les plaintes de plusieurs personnes âgées au cours des derniers jours après que ces dernières aient reçu la visite de faux agents de la ville. Les aigrefins proposaient alors de l’aide à leurs victimes ou leur demandaient de l’argent au nom d’une prétendue « bonne cause ». Alertée par ces faits, la police brestoise a appelé les habitants à la prudence.
Port d’armes et rodéos
Par ailleurs, le tribunal correctionnel de Brest doit juger un individu mardi 16 mai pour plusieurs faits, notamment pour port d’armes et violence. Âgé de 37 ans, le prévenu est un agent d’entretien déjà défavorablement connu de la justice. Le 11 mai dernier, il aurait braqué un revolver vers une personne dépositaire de l’autorité publique. À la suite de quoi, la victime aurait reçu une ITT de trois jours tandis que l’agresseur a été placé en garde à vue.
Malgré l’interdiction de détenir ou de porter une arme soumise à autorisation pendant cinq ans qui le visait depuis le 26 juin 2018, l’agent d’entretien aurait détenu, du 1er janvier au 11 mai, une arme de catégorie B soumise à autorisation. Facteur aggravant, l’homme était en possession de cannabis lors de son interpellation le 11 mai.
D’armes, il en fut également question à Brest dans la nuit du 10 au 11 mai dernier, lorsqu’un homme de 27 ans a été interpellé, en état d’ivresse, en possession d’un pistolet à billes dans le quartier du Guelmeur. Il doit faire l’objet d’une convocation devant un officier de police judiciaire le 19 mai.
Non loin de là, dans la commune de Guilers, en périphérie de Brest, les gendarmes ont dû intervenir dans la soirée du jeudi 11 mai. Un groupe de « jeunes » aurait en effet agressé un agent municipal ayant demandé aux racailles de stopper leur rodéos en deux-roues motorisés sur le site du Fort de Penfeld. L’agent aurait ainsi reçu un coup à la tête porté par un objet métallique de la part de l’un des membres du groupe. Aucune interpellation n’a eu lieu malgré l’ouverture d’une enquête par la gendarmerie suite au dépôt de plainte de la victime. Présentant une plaie sur le crâne, l’agent municipal s’est vu poser huit points de suture après sa prise en charge par les pompiers.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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3 réponses à “Brest, « cour des Miracles » de l’ensauvagement”
Les racailles empoisonnent les Français! Deux cas sont racontés dans mon quotidien MIDI LIBRE:1)Un »jeune » d’origine marocaine a tenté de tuer un policier français en le poignardant..2)Trois ‘jeunes » d’origine algérienne ont enlevé et séquestré des Français, deux de ces ASSASSINS sont »bloqués en Algérie avec interdiction de quitter le territoire »?……Un autre »fait » s’est également produit récemment: samedi 13 mai: à Villerupt(Meurthe-et-Moselle),une fusillade a fait 5 blessés, l’auteur de cette fusillade est »issu du Maghreb » ,il a été condamné des dizaines de fois et il est toujours en liberté!…
Je vais etre dûr, mais ce que je dis, je le pense : La France et les Français n’ont que ce qu’il méritent. Nous serons combien à nous insurger au-devant d’un tel article qui de manière simple et claire explique l’effondrement de notre Police, le piétinement de nos Droits, et place bien en exergue la passivité criminelle d’une grande partie de la population française au devant du declin de la Patrie ?…
il y a guyanais et guyanais, la majorité des vrais guyanais est minoritaire dans ce territoire où l’invasion migratoire est autorisée, d’abord brésilienne, puis haitienne et sudaméricaine, aujourd’hui syrienne (eh oui) tout comme les français de souche et ceux de papiers