Heureusement que les supérettes du deal sont réputées fermées à Nantes et que les forces de l’ordre ont réussi à mater la délinquance, sinon qu’est-ce que ça serait.
Le 12 mai dernier vers 19h30 un homme a agressé les propriétaires d’un pavillon près du parc de la Chézine – il venait de s’introduire, ivre, dans une cour privée, et avait été surpris par les propriétaires sur lesquels il a craché et jeté sa cannette de bière. Il a été placé en garde à vue. De l’autre côté de l’agglomération, à Sainte-Luce, le 13 mai vers 5 heures du matin, les propriétaires d’un pavillon ont maîtrisé un cambrioleur qui a été remis aux policiers.
Toujours le 12 mai, mais à 6h30, une quinzaine de jeunes gens ont été agressés par quatre hommes dans deux voitures, en fin de nuit, l’un des agresseurs a blessé une des victimes en reculant avec sa voiture, l’autre a tabassé un jeune homme avec une batte de base-ball. Les agresseurs, qui ont pris la fuite, sont activement recherchés.
Deux jours plus tôt, le 10 mai, un joueur de pétanque, rue Henri Sellier près de Pirmil, a demandé à des dealers d’aller vendre leur drogue ailleurs. Ces derniers lui ont tailladé le visage à coups de tessons de bouteille et sont restés vendre leur drogue sur place – l’un d’eux a tout de même été interpellé et sa garde à vue prolongée.
Toujours à propos de dealer, l’un d’eux a été interpellé à 2 h du matin le 8 mai dernier, après qu’il ait vendu de l’ecstasy à des clients, dont certains ont eu des malaises. Pas moins de 98 cachets d’ecstasy (à 10 euros pièce) et 510 euros en liquide ont été récupérés sur lui. Cet homme de 34 ans a reconnu vendre de la drogue et sera jugé sur reconnaissance préalable de culpabilité en 2024. Son véhicule a été saisi.
LM
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine