Le militantisme LGBT semble ne pas plaire à tout le monde. Jeudi 11 mai dernier, dans la ville belge de Genk, une campagne de sensibilisation à l’homophobie à été violemment interrompue par l’irruption d’un groupe d’étudiants au son d' »Allah Akbar ».
Depuis le 17 mai 1990, l’OMS ne considère plus l’homosexualité comme une maladie mentale. Pour cette raison, le 17 mai a été retenu la date idéale pour commémorer la Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie. C’est dans ce cadre que des militants de l’association LGBT «Ook Genks Wel Anders» ont voulu mener une action contre l’homophobie, organisant un atelier et distribuant des tracts dans la cour de l’établissement scolaire, avec le concours de la ville.
Mais tous, à l’Atlas collège n’étaient pas de cet avis. Une centaine de jeunes a alors créé un attroupement et empêché les militants de tenir leurs propos s’invitant autour de la table, crachant sur les drapeaux arc-en-ciel, avant de lancer des bouteilles. Comme on peut le voir sur les images qui ont été très relayées sur la toile, la situation était en train de dégénérer, et les professeurs ont dû intervenir, mettant fin au présidium.
https://twitter.com/Mehdi_Aifa_AJR/status/1657365566993072136?cxt=HHwWkICwuffMkoAuAAAA
Les autorités communales, à travers la voix d’Anniek Nagels (CD&V), échevine de la Culture du Vivre ensemble ont condamné le comportement des élèves musulmans se disant « profondément déconcertées”. La ville de Genk a communiqué sa décision de porter plainte et consultera l’établissement.
Sa directrice générale Christel Schepers se dit quant à elle « choquée par ce qui s’est passé hier”, ajoutant “nous prendrons des mesures. Nous entamerons un dialogue avec les élèves dans les semaines à venir et nous aborderons la question en collaboration avec la ville”.
Il n’est pas certain que le dialogue, chéri par les apôtres du melting pot généralisé, soit suffisant à éradiquer des cultures et des credo religieux. Cette culture du vivre-ensemble ressemble de plus en plus à un leurre, une lubie de bourgeois-bohèmes habitants les beaux quartiers et épargnés par sa crue réalité.
Audrey D’Aguanno
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11 réponses à “Belgique : une action pro LGBT interrompue au son d’Allah Akbar [vidéo]”
Tiens tiens, la réalité semble se révéler aux apôtres du vivre ensemble et du tout le monde il est beau et gentil. Ça fait plaisir à voir.
Citattion : « Depuis le 17 mai 1990, l’OMS ne considère plus l’homosexualité comme une maladie mentale. »
La belle affaire ! Puisque l’ O M S semble décréter ce qu’est une maladie mentale et quand elle ne l’est plus, lui plairait-il de classer le coviiiiiiiiid, parmi les maladies imaginaires ? Qu’on en finisse avec cette escroquerie.
C’est-ce qui s’appelle le bug dans la matrice droitarde. Les droitards vont avoir à choisir entre anti-islam et anti-LGBT. Ou refuser les anti-LGBT parce qu’ils sont musulmans ou se tourner vers les juifs intégristes anti-LGBT. La quadrature du cercle va avoir besoin de subtilité. Je ne sens pas Damien Rieu à la hauteur de cette tache.
Pourquoi choisir entre la peste et le choléra? Ni l’un, ni l’autre, tout simplement.
Permettez-moi de penser que c’est surtout la « convergence des luttes » chère à la NUPES qui a pris du plomb dans l’aile.
Permettez-moi de penser que c’est surtout la “convergence des luttes” chère à la NUPES qui a pris du plomb dans l’aile.
??? Rien compris !
Ce n’est pas de ta faute. Vote Zemmour.
OMO est là, la saleté s’en va!
« les apôtres du melting pot »
C’est ce que nous vendaient les droitards giscardiens des années 70 pour faire face au nazisme et à une certaine expression de la Russie.
Le melting pot était la solution face à tous les maux: racisme, nationalisme, anti-sémitisme.
En même temps une extrême-gauche allait dans le même sens en supplétifs du capital, pro migrants, pro mélange des races, anti-blancs européens.
Seule l’ultra-droite dénonçait tous ces mensonges.
Iels diront encore c’est la faut du patriarcat blanc oppresseur, tant iels sont con.nes.