Une livreuse du journal Le Télégramme a été sauvagement agressée à Morlaix, dans la nuit du 6 au 7 mai. Tabassée, elle s’est aussi fait voler son véhicule, son outil de travail donc, dans la nuit du 6 au 7 mai.
Une enquête est en cours pour déterminer qui sont les trois sauvages qui s’en sont pris à cette femme précaire, qui travaille le week end, de nuit, et qui venait récupérer les lots de journaux à distribuer, au niveau du siège du Télégramme, avec sa voiture.
« Avant de commencer sa tournée de distribution, elle s’est rendue à la station-service de l’hypermarché Leclerc, aux alentours de 4 h 30 du matin. Elle est sortie de son véhicule et c’est à ce moment, selon ce que montrent les images de vidéo-surveillance du magasin, que trois individus s’en sont très violemment pris à elle. Elle a notamment été frappée avec un poing américain et a été tirée par les cheveux alors qu’elle essayait de se réfugier dans son véhicule. Une voiture que les trois personnes lui ont volée. Blessée physiquement et traumatisée, la victime a déposé plainte au commissariat de Morlaix. » indique le Télégramme.
Au lieu d’assurer la sécurité des citoyens, le Ministre de l’Intérieur – dont c’est pourtant la mission principale – multiplie les mesures liberticides et les ordres d’interdire les manifestations.
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4 réponses à “Morlaix. Une livreuse du journal Le Télégramme sauvagement agressée”
bravo darmanin ! là, tu réponds quoi ??????
Ah nous avons un ministre de l’Intérieur???Vous parlez du petit déchet qui interdit les manifs d’extrême droite qui se passent sans rien casser et sans problèmes mais qui laisse la gauche mettre des villes à feu et à sang sans jamais rien faire ?????
L’Ami de CRISENOY a oublié de préciser que le “petit déchet” est 1/3 arabe de par son grand-père. Ça explique en partie la non-volonté du Gouvernement -ou bien simplement du Ministère de l’Interieur- de “faire le mort” …
les flics ne peuvent pas poursuivre les malfaiteurs et protéger les citoyens en même temps, et les juges de distribuer du sursis … les honnêtes gens n’ont qu’à s’habituer à vivre ensemble