« Vous n’avez pas de nom à consonance étrangère, vous n’avez pas 4 enfants, donc vous n’êtes pas prioritaire pour un HLM » : La députée RN Julie Lechanteux raconte son passé de française discriminée dans son propre pays. Un entretien réalisé par le collectif Nemesis.
🛑 Trop française pour avoir accès à un logement social pour elle et son fils ?
C’est ce qu’a vécu @JLechanteux en 2006 alors qu’elle était mère isolée. Ce genre d’injustice l’a fait s’engager au @RNational_off , parti dans lequel elle est désormais député.
➡️Pour rappel en… pic.twitter.com/2141RgWIhU
— Collectif Némésis (@Coll_Nemesis) May 7, 2023
Crédit photo : Facebook Julie Lechanteux
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14 réponses à “« Vous n’avez pas de nom à consonance étrangère, vous n’avez pas 4 enfants, donc vous n’êtes pas prioritaire pour un HLM » : La députée RN Julie Lechanteux raconte son passé de française discriminée dans son pays”
C’est ce que mon père a vécu dans les années 80 quand il a cherché un logement pour faire venir de Bretagne ma mère et moi même sur Paris. Il n était pas sénégalais avec 4 femmes et 15 enfants donc pas prioritaire.
Dans l’accès au logement et à l’emploi, les Français ne sont plus prioritaires. Mais il faudrait aussi se demander pourquoi plus de 50 % des enfants naissent hors mariage en France ( 2 % au Japon). Les médias féministes déversent du fiel exclusivement sur les pères de famille alors qu’en réalité ce sont les femmes qui portent la culotte dans le couple et qui se débarrassent du mari quand elles n’en ont plus besoin. Les hommes seuls sont toujours les laissés-pour-compte car ils sont au bas de la liste des priorités.
J’ai été étudiante, à Paris, d’octobre 1957 à juillet 1959:j’ai tenté à plusieurs reprises d’obtenir une chambre à la Cité Universitaire…sans résultat…pourtant j’étais orpheline, fille de famille nombreuse et »Française »…par contre, je voyais les étudiants »étrangers » marocains, africains, etc… qui en avaient…..c’étaient des »étrangers » qui étaient, souvent, d’un milieu aisé et ils avaient 2 bourses: une de la France et une de leur pays…bien souvent ils étaient très âgés et ils ne fréquentaient très peu la faculté où ils étaient inscrits!…
c’est ce que nous avons vécu en 2004 quand notre fils a été admis en classe préparatoire à Paris (Jeanson de Sailly). Nous avons demandé s’il était possible d’avoir une chambre au lycée; on nous a répondu qu’elles étaient réservées aux étrangers. Il y avait des chinois parmi les élèves…
Idem en ce qui me concerne à Grenoble dans les années 1990 : des pieds et des mains pour tenter d’obtenir un logement sur le campus ; 400 kms de train pour un RDV avec l’assistante sociale universitaire …. absente ! La majorité des appartements disséminés sur le campus universitaire occupés par des familles nombreuses africaines répondant toutes aux critères que vous décrivez … Il faut rester calmes !
Pétet Yvette, qu’est-ce que tu racontes ni l’Algérie ni la plupart des colonies françaises d’afrique noire n’étaient indépendantes à l’époque
le maroc était certes indépendant mais avait très peu de moyens à l’époque (d’ailleurs ajd ça reste un pays assez pauvre) donc deux bourses je n’y crois pas
sinon les propos de la députée c’est du n’importe quoi inventé de a à z
Ben voyons, avec un pareil pseudo, on voit de suite un cas intéressant pour les psychiatres !!!!
Staline: J’étais étudiante à l’INOP (Institut International d’Orientation Professionnel) et parmi les élèves de cet Institut se trouvaient 2 étudiants marocains qui avaient 2 bourses: une de leur pays et une de la France tandis que beaucoup d’étudiants »français » n’avaient pas de bourse de la »France »…à. cette époque le Maroc était »indépendant »…l’Algérie ne l’était pas, mais je n’ai pas parlé des étudiants »algériens » (dont je faisais partie)!Tous les étudiants »étrangers » avaient droit à une chambre à la »Cité U », j’aurais bien aimé en avoir une, car cela m’aurait coûté moins cher que la pension que je payais, pour une chambre dans un foyer de Jeunes Filles.!…J’avais fait la connaissance d’étudiants »étrangers », qui avaient également une chambre à la Cité U, ils s’étaient inscrits en Faculté et ils n’assistaient pas au cours!…
Entre 80 et 85, fille de paysan, j’ai fait des études à Paris. Je n’avais droit à rien, ni logement universitaire, ni bourse. En revanche, je rendais visite à une copine tunisienne logée en cité universitaire bienque qu’issue d’une famille fort riche.
Vous mélangez tout Monsieur Staline. Ce n’est pas parce qu’un pays est réputé pauvre qu’il n’y pas de riches. C’est précisément dans ces pays pauvres en moyenne statistique calculée sur l’ensemble de la population, qu’il y a une classe particulièrement riche. Ceux qui viennent de ces pays étudier en France sont nécessairement issus de ces classes.
Staline…Les étudiants marocains que je connaissais n’étaient pas »pauvres »!…La plupart des étudiants musulmans, qui continuaient leurs études, étaient d’un »milieu aisé »! Les gauchistes pensent que TOUS les musulmans sont pauvres et TOUS les non-musulmans sont riches! Les musulmans, qui habitaient dans mon quartier, à Alger, étaient plus riches que nous!… mais ils étaient sales et mal habillés, ce qui incitait les gens à croire qu’ils étaient pauvres! En Algérie, il y avait, aussi, des musulmans très riches mais les gauchistes de »Métropole » disaient que TOUS les Pieds-Noirs étaient »de riches gros colons », or, il n’y avait que 10 »gros colons », en Algérie, et parmi ces »gros colons »: on trouvait, aussi, des musulmans!…
Mme Lechanteux a entièrement raison, je l’ai vécu aussi, fin des années 80. Il faudrait se renseigner au lieu de dire n’importe quoi . Des personnes comme vous sont en dehors de la réalité….
Les français sont devenus une sous-catégorie dans leur propre pays. Priorité aux étrangers africains, futur électorat de l’extrême gauche.
discriminée dans son propre pays !