Samedi 29 avril sous tension à Saint Brévin, du fait d’une contre manifestation antifasciste annoncée pour « faire barrage » aux opposants à un CADA (Centre d’accueil pour demandeurs d’asile). Plusieurs centaines d’opposants à ce projet; un de plus, d’accueil de migrants, avaient fait le déplacement, tout comme plusieurs centaines de partisans du projet.
Ce qui étonnera toujours l’observateur de la vie politique, c’est que vous ne verrez jamais des manifestations antifascistes ou des rassemblements de gauche ou d’extrême gauche subir attaques, caillassages, contre manifestations…et ici, voiture de manifestant littéralement incendiée par des antifas.
Mais pour la presse mainstream – qui ne souligne jamais d’où viennent les provocations – cela relèverait presque de la normalité.
Quoi qu’il en soit, les soutiens au projet d’accueil de migrants ont déposé le matin la première pierre symbolique du futur Cada, avant que le collectif d’opposants ne vienne manifester à partir de 14 h, pendant deux heures, devant la mairie, après différentes prises de paroles. Le message est clair : « À Callac on a gagné, à Saint-Brevin, on va gagner »,
La manifestation s’est déroulée dans le calme.
Des incidents ont éclaté après, lorsque des militants antifascistes provoquants (et qui venaient d’incendier la voiture d’un manifestant pour qui une cagnotte a été ouverte ici) ont été obligés de partir en courant suite à une charge de manifestants en colère, excédés par la mansuétude des autorités et des forces de l’ordre à tolérer ces contre-manifestations et agressions permanentes, là où arrestations et dissolutions s’enchainent rapidement lorsqu’il s’agit de groupes apparentés « identitaires » ou « nationalistes ».
Sur les réseaux sociaux, les invectives et menaces vont bon train. Les opposants au CADA eux, ont promis de ne pas cesser les actions jusqu’au retrait de ce projet, tête de bon de la volonté macronienne de répandre l’immigration dans toute la ruralité jusqu’ici protégée.
La bataille de Saint-Brévin n’est pas terminée.
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5 réponses à “Saint-Brevin. L’opposition à l’accueil de migrants se poursuit – des antifas brûlent une voiture”
Avant d’affronter les milices gauchistes pour tenir la rue, prenons place sur les murs pour y afficher nos idées qui ne sont publiées nulle part et dont le public ne soupçonne même pas, bien l’existence tout en les partageant.
Avant d’affronter les milices gauchistes pour tenir la rue, prenons place sur les murs pour y afficher nos idées qui ne sont publiées nulle part et dont le public, qui les partage, ne soupçonne même pas qu’elles sont celles de mouvements politiques.
Allez, un militant anti-soisdisantfa contre un migrant. Le migrant lui prend tout en plus de ses faf, sa femme, logement, compte bancaire etc…. et le militant antifa se barre dans le pays du migrant.
Pourquoi les employeurs d’ordinaire si méfiants avec les Français, recherchant la moindre faille sur leur CV, y compris quand ils postulent pour des métiers soi-disant en tension, se montrent étrangement indulgents avec les migrants alors qu’ils n’ont ni justicatifs, ni papiers d’identité ?
Certains vont jusqu’à leur confier les clés de leur entreprise pour les héberger.
Ce que j’ai vu sur France-info le 17/08/22 m’a dégoûté : une association composée de garces qui trouvent un travail en CDI (gardien d’immeuble, ambulancier,…) à des délinquants multirécidivistes d’origine étrangère dès leur sortie de prison.
C’est très révélateur de la décadence de la France et de l’état d’esprit de nos politiciens qui rendent hommage à des crapules comme Bernard Tapie ou François Léotard.
Cette situation est immorale, on préfère le vice à la vertu. Vous imaginez ça au Japon ?
Pour se justifier, il y a une véritable cabale orchestrée par les médias aux ordres, subventionnés avec nos impôts, et par les politiques pour dénigrer les Français.
Il y avait chez l’extrême droite 300 personnes environ face à la mairie a cette manif’. Ni reconquête, ni le RN étaient présents. Soit beaucoup moins de monde qu’aux dernières manifestations du collectif anti-CADA. Une présence aussi quasiment inexistante d’habitants de cette commune à cet appel .