Paul Molac dépose une proposition de loi pour la Réunification de la Bretagne

Le député autonomiste du Morbihan Paul Molac vient de déposer une proposition de loi visant à organiser un référendum en Loire-Atlantique sur la Réunification. Cette proposition sera examinée le 08 juin prochain et suscite d’ores et déjà un engouement en Bretagne.

L’intitulé de la proposition est cependant plus subtil que la simple question bretonne : Rendre possible, à l’échelle d’un département, la consultation des habitants sur leur région d’appartenance. Car, aussi invraisemblable que cela puisse être, il est impossible aux habitants d’un département de pouvoir librement choisir leur région d’appartenance. Cette loi résoudrait ce déficit démocratique.

Le groupe LIOT auquel Paul Molac appartient aura une niche parlementaire d’une seule journée le 08 juin, l’occasion était trop belle pour le député breton de présenter sa proposition de loi emblématique d’une question qui empoisonne la vie politique régionale depuis tant d’années.

La Loire-Atlantique est un territoire historiquement breton, Nantes étant même la capitale historique de la Bretagne. En 1982, lors de la re-création des régions, le département n’a curieusement pas été intégré dans la nouvelle région Bretagne par le pouvoir de l’époque mais a rejoint une région créée de toute pièce et sans réelle identité : les pays de la loire.

Le retour de la Loire-Atlantique dans la région Bretagne permettrait à celle-ci d’afficher une force économique et un poids démographique importants. Cette réintégration permettrait également au 44 une meilleure identification au niveau mondial et un partenariat plus resserré avec les autres départements bretons, départements moteurs d’un point de vue économique. Enfin, cette réintégration permettrait une cohérence identitaire en Loire-Atlantique où les jeunes ne savent même plus qu’elle est leur identité profonde, l’identité administrative « ligérienne » n’étant basée sur aucune réalité historique et concrète.

Crédit photo : DR

 DR[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

20 réponses à “Paul Molac dépose une proposition de loi pour la Réunification de la Bretagne”

  1. DG dit :

    Tout cela est fort juste mais la question du point de vue efficacité de l’opération est : que propose t on et quel avenir pour les autres départements de la région Pays de Lore? Je crains que sans solution globale pas de solution Bretonne.
    Enfin une Bretagne à 5 départements déplacerait grandement le centre économique (et donc des décisions) vers l’axe St Malo Rennes Nantes, cela n’inquiète t il pas nos amis du Finistère?
    Qu’en pensez vous ?

    • An dit :

      Si le Finistère s’inquiète d’une Bretagne à 5 alors que doit-il penser d’une fusion Bretagne/PdL ?
      Cela serait bien, bien pire.
      Au contraire même, la réunification rendra obligatoire de poser cette question, alors que dans une fusion Grand-Ouest (ou Bretagne-Loire que les Jacobins semblent avoir choisi comme nouveau nom depuis les Bonnets Rouges pour espérer amadouer les Bretons), elle serait diluée avec des oppositions qui viendraient du 85, 49, 72 qui joueront leurs jeux de « périphérie régionale » pour tirer leurs épingles du jeu, alors qu’elles sont bien mieux desservies au niveau régional.
      Le 44, surtout des côtes, sera bien plus enclin à être solidaire avec le Finistère que les 85-49-53-72 qui n’ont pas une forte tendance à apprécier les Bretons, c’est le moins que l’on puisse dire…

      Sinon, 49-53-72 sont plutôt favorables à une fusion avec le Centre Val de Loire, modulo les Mauges. Voir l’ouest mayennais qui préféreraient une fusion Bretagne/PdL.

      La seule problématique est la vendéenne. Depuis la création de la Nouvelle-Aquitaine, un retour dans son giron poitevin est rendu plus difficile.

      Bref, des problèmes il y en aura toujours. La réunification de la Bretagne ne va pas éradiquer la pauvreté et amener la paix dans le monde.
      Mais au moins est-elle motivée par des considérations humanistes (au sens très large: allant d’une logique de prospérité économique et potentiel environnemental).
      Pas par une idéologie jacobine dont la seule et unique motivation est la destruction d’une entité culturelle et politique basée sur la réalité géographiquqie dont le « reste » des PdL ne sont que des variables d’ajustement.a

      • Pschitt dit :

        « La Vendée est le seul département qui soit devenu une province » : forte de son identité et de son dynamisme propres, elle n’a pas besoin d’appartenir à une région plutôt qu’à une autre.

      • An dit :

        @Pschitt
        Moui.
        Ça, c’est le discours qu’aiment tenir les Vendéens.
        Mais la réalité est que la Vendée est ultra-dependante de Nantes. Tout son dynamisme actuel s’est appuyé sur la bassin économique nantais.
        Il faut voir le nombre de Vendéens étudiant ou travaillant à Nantes.
        Ou l’attraction qu’exerce la Vendée sur les Nantais pour les résidences secondaires ou les vieux jours. Voir pour élever les enfants maintenant.
        Il y a eu une bascule générationnelle. Auparavant, le Nantais riche préférait évidemment la presqu’île guérandaise mais ensuite le Morbihan.
        Il faut dire aussi que les Vendéens ayant fait souche à Nantes et les Parisiens s’appropriant la côte bretonne mais pas encore la vendeene (mais ça aussi, ça change).

        C’est un résultat jacobin encore une fois d’avoir voulu assujettir la Vendée royaliste à la préfecture la plus proche et la plus importante (Nantes n’étant pas si républicaine que la légende veut le dire… en tout cas, le « ménage » jacobin avait été fait avant le siège de la ville).

        Je ne sais plus quel « expert » parlait d’une région B5+Vendée.
        C’est pour moi la seule proposition hors B5 qui a un certain sens.
        La Vendée est une terre océanique.
        Mais c’est encore une perspective technocratique.
        Ce modèle isolerait la Bretagne. Et saperait le retour du 44, à coup de « au sud-Loire, on se sent plus Vendéens que Bretons » alors qu’il y a 40 ans, on se sentait plus breton. Et si on ne se sentait pas breton, on ne se sentait certainement pas vendéen.
        Et encore plus, cela serait néfaste aux Vendéens.

        Sinon, impossible d’imaginer un département hors-region. Nous sommes en France !
        La meilleure solution serait un retour de la région Poitou-Charentes que rejoindrait la Vendée.
        Mais cette région Nouvelle-Aquitaine absurde… A se demander si elle n’a pas été créée pour empêcher ce retour Vendéen dans le Poitou…

        Ce sera sans aucun doute le plus gros frein à la réunification.
        Avec les Mauges. Mais pour les Mauges, on peut espérer qu’Angers y voit l’opportunité de retrouver l’influence qu’elle y a perdu.

        Mais ne sur-estimez pas le sentiment identitaire vendéen. C’est d’abord du chauvinisme. Parlez leur de couper lien administratif (et universitaire) avec Nantes et vous verrez leur désarroi.

        On ne corrige pas 200 ans d’ingénierie sociale si facilement.

  2. Gérard BARTHELEMY dit :

    Il est grand temps de revenir aux sources.
    La Duchesse Anne, qui habitait et été née à Nantes était la Duchesse de Bretagne., elle est devenue Reine de France.
    Allons-nous enfin respecter l’Histoire de France en redonnant à la Bretagne ses origines.
    A force de déconstruire, personne ne s’y retrouve.
    Merci Monsieur le Député.

    G. Barthélemy

    • An dit :

      Oui, enfin les sources sont plutôt à trouver du côté de l’océan. Les Namnètes étaient alliés aux Vénètes (et ont d’ailleurs été, déjà !, punis par les Romains qui ont fondé Ratatium mais là aussi rattrapé par la réalité géographique, n’est resté qu’un faubourg).
      Les Nantais ont choisi de s’allier aux Vannetais pour quitter le royaume franc et fonder le royaume de Bretagne.
      Les Nantais ont choisi de fonder le duché de Bretagne.

      Donc oui, vous avez raison, mais la Duchesse Anne de Bretagne n’est pas l’Alpha et l’Omega de la question bretonne.
      Elle est héritière d’une Histoire et d’une Terre.

  3. Horellou dit :

    Est-ce que Paris est toujours en France ? Ou l’inverse ?

    • An dit :

      Qu’est ce que la France plutôt ?
      C’est plus sûrement le bassin parisien.

      Il suffit de regarder les plus grandes réalisations des villes et provinces de France.
      Il y a un indéniable coup d’arrêt à partir du moment où elles sont conquises et annexées par Paris.
      Le centralisme commencé par les Capétiens coïncident avec une spoliation du reste du territoire pour le seul profil de Paris (et de quelques notables de provinces).

      Voilà pour le passé.

      En ce qui concerne le présent, Paris n’est évidemment plus en France.
      Paris est une ville mondialiste cosmopolite sous écrasante domination étasunienne et influence de plus en plus prégnante des monarchies musulmanes.
      Même pas grand chose d’européen. Alors qu’on passe notre temps à dire que c’est la faute de l’Europe. Si seulement ! La situation serait moins grave.

  4. Gérard DAVID dit :

    La réalité est que « casser la Bretagne » a été l’objectif jacobin derrière l’amputation de la Loire atlantique, piétinant au passage avec dédain l’histoire et la culture bretonnes. La Bretagne historique ferait peur ? Elle serait pourtant un atout pour la France, bien plus réel que d’autres « chances pour la France » dont on nous rebat les oreilles à longueur de publicité sur les chaînes de télévision subventionnées.

  5. Sam SPADE dit :

    Si au XVI° siècle, les nobles, les riches propriétaires terriens avec à leur tête Anne de Bretagne, possédaient une bonne partie des terres Bretonnes et en tiraient de substantiels profits, le peuple de base, lui n’en avait cure, de la Bretagne. Par contre lorsqu’au XIX et au XX° il a vu débouler des dizaines de milliers de Bas- Bretons, des vrais, avec leur langue, leurs habits et leurs coutumes pour y chercher du travail et nourrir leur famille, il n’était pas question d’appeler Nantes Naoned, d’abord parce que Nantes ne s’est jamais appelée Naoned, ensuite parce que les Nantais n’ont jamais parlé le Breton, vouloir faire de Nantes et sa région une terre Bretonne est une hérésie qui tourne au ridicule.
    Devant l’arrivée massive d’une main-d’œuvre bon marché et prête à tout pour survivre, les autorités locales se sont dépêchées d’organiser des ghettos et de la parquer autour de Nantes, dans des conditions épouvantables. Il suffit de consulter les archives de la ville de Nantes, et les ouvrages de l’époque pour se rendre compte de ce que pensait les notables et la population nantaise de ces immigrés, édifiant ! raciste ! xénophobe ! voire haineux ! Il n’était pas question de revendiquer une quelconque Celtitude !
    Alors, que les quelques bobos à la mémoire courte, réclamant une nationalité Bretonne ‘’pour faire bien’’ se souviennent de l’attitude de leurs ancêtres lorsque les miens essayaient de survivre en Pays Nantais.

    • Pschitt dit :

      Curieuse prétention de certains Bas-Bretons à se considérer comme les seuls Bretons qui vaillent ! Mais pourquoi le dire en français, alors ?

    • An dit :

      La Bretagne n’est pas que la Basse-Bretagne.

      Peut-être même que le breton aurait disparu plus vite qu’il ne le fait sans la Haute-Bretagne ayant assuré pendant 1000 ans d’être dans un territoire assez cohérent pour résister plus que bien d’autres coins de l’Hexagone à Paris.
      La Basse-Bretagne serait peut-être aussi particulière que la Normandie.
      Ou pas.

      Reste qu’aujourd’hui, la plupart des nouveaux locuteurs de breton viennent de Rennes et de Nantes.
      Et que sans la celtitude que vous dénigrez, le plus souvent porté par des gens n’étant pas le plus à l’ouest de la péninsule, il n’y aurait sans doute plus de débat et nous vivrions tous à l’Ouest.

      Enfin, parce que vous avez raison sur la xénophobie ayant touché les bas-Bretons à Nantes, je vous dirais qu’aujourd’hui le quartier honni de Sainte-Anne (la ville ayant tout de même honoré sa tradition bretonne) est devenu LE quartier le plus prisé de la ville. Et sous les coups des promoteurs immobiliers charognards à l’affût des dernières petites vieilles aux noms bretons partant pour l’EPHAD, les bobos souvent parisiens et la communication municipale officiel à coûts de hérons, les habitants ont gardé ce souvenir et savent pour la plupart que ce sont des bas-Bretons qui ont façonné le quartier.

      Mais crachez donc sur l’héritage de ces gens courageux en jouant la carte victimaire. Celle-là même qui a fait beaucoup de mal à la Bretagne et encore aujourd’hui explique le désert du Centre-Bretagne et l’expropriation sur la côte.

  6. Celtik dit :

    Paris a toujours misé sur la rivalité Nantes Rennes pour maintenir le découpage actuel
    C’est très révélateur de la conception jacobine et centraliste de la notion de territoire
    Il faut une capitale absolument
    Ce qui est stupide évidemment
    Regardez la Hollande ou l’Australie: 2 capitales complémentaires l’une économique l’autre administrative….et ça fonctionne très bien

  7. Pschitt dit :

    La création des Pays de la Loire obéissait à une seule logique, au ras des pâquerettes : tailler un fief politique pour Olivier Guichard. Cette construction artificielle lui permettait de s’appuyer sur deux puissants politiciens gaullistes, Joël Le Theule dans la Sarthe et Vincent Ansquer en Vendée. M. Guichard est mort depuis longtemps et les Pays de la Loire n’ont plus d’utilité. Ils sont même source d’un gaspillage permanent : depuis cinquante ans, la région tente de se fabriquer à grands frais une identité artificielle, avec une efficacité très limitée. Il faut être vraiment sensible à la publicité, voire franchement crédule pour se sentir « ligérien » !

    • An dit :

      100% d’accord.
      Juste une petite correction. Les Pays de la Loire ne suivent pas d’abord la logique de servir les intérêts de politiciens qui finiront dans les poub de l’Histoire. Leurs raisons d’être est d’affaiblir la Bretagne en lui soustrayant Nantes. Puis de la faire disparaitre en la fusionnant avec la région technocratique.
      Les minables politicards qui n’avaient que pour seule imagination de suivre le modèle d’aménagement du territoire américain à l’échelle de la France (et les magnifiques paysages dont nous héritons) ont été surtout opportunistes.

  8. Philippe dit :

    Je suis bien d’accord avec vous, les nantais ne parlaient pas le breton, tout comme Anne de Bretagne d’ailleurs. Plus au sud, dans le Pays de Retz, notre région a été rattaché à cette Bretagne « historique » par des conquêtes de guerre comme Poutine le fait actuellement en Ukraine. Demander aux gens du Pays de Retz s’ils sont breton, c’est comme si on demandait aux gens du Donbass si ils sont russe. On a beaucoup plus de liens avec les Pays de Loire qu’avec la Bretagne. La Loire en est la cause, au fil du temps, des siècles, notre commerce et nos échanges ont toujours été là, pour écrire notre histoire.

    • An dit :

      Passons sur la grossière comparaison avec la situation présente en Ukraine…

      Parlons des faits.
      Le Pays de Retz ayant des liens historiques avec les Pays de la Loire grâce à la Loire ?
      Quelle blague !
      Que le Pays de Retz ait toujours eu plus de liens avec l’actuelle Vendée que le reste de la Bretagne, c’est une évidence.
      Mais qu’il ait eu plus de liens avec le 49-53-72 ? Où ça ? Quand ça ?
      Le Pays de Retz avait plus de liens avec Bordeaux, la Rochelle, les Antilles, Saint-Pierre-et-Miquelon, le Brésil, le Guangdong et la Côte d’Ivoire qu’avec le Mans !

      La Loire n’a jamais été un lien d’importance. C’est un fleuve très difficilement navigable au cours fluctuant.
      Ça cabotait bien de ci de là mais absolument rien de comparable avec la Garonne, la Seine, le Rhône. Ne parlons pas du Rhin ou du Danube !
      Mais avec votre logique, de la Suisse au nord de l’Allemagne en passant par l’Alsace et la Hollande, c’est une même région ?
      Souvenez-vous de vos cours d’Histoire. La Loire n’est pas un lien mais une frontière. D’où la petite sphère d’influence de Nantes sur le sud-Loire comparée à celle qu’elle a en nord-Loire.
      Et si Nantes s’est installé là où elle est, ce n’est pas pour l’amont de la Loire. Mais pour l’océan. Et si son influence s’arrête à Ancenis, c’est que c’est là que s’arrête celle des marées.
      Il y a des réalités physiques que l’idéologie ne peuve camoufler bien longtemps, surtout avec la médiocrité dont elle fait preuve. Appeler une région « Pays de la Loire » alors que le fleuve en question ne passe que dans 2 départements sur 5, si ce n’est pas se moquer du monde…

    • Pschitt dit :

      Philippe, avez-vous fait écrire votre réponse par ChatGPT ? Vous vous êtes fait avoir, alors, car elle est complètement fausse. Le Pays de Retz est breton depuis le IXe siècle, excusez du peu. Conquête de guerre ? Si l’on veut, puisque c’est le résultat de l’expulsion des migrants vikings par Nominoë. Car non, l’histoire n’est pas écrite par le commerce. Et, au passage, la Loire n’a jamais arrosé ni la Vendée, ni la Mayenne, ni la Sarthe (en revanche, l’océan baigne la Loire-Atlantique comme le Morbihan, le Finistère, les Côtes d’Armor et l’Ille-et-Vilaine).

  9. patphil dit :

    un référendum ???? jamais, le peuple voterait mal

  10. Mongeais Noël dit :

    Il ne faut plus y croire à cette réunification. Elle ne se fera jamais et c’est bien dommage… Et que deviendraient les autres départements des Pays de le Loire ? La Mayenne est tournée vers Rennes, la Vendée vers Nantes. Un grand Val de Loire ? La plupart des habitants n’y tiennent pas. La Vendée rattachée à la Nouvelle Aquitaine ? Un sondage a été fait il y a quelques années à ce sujet, les résultats parlent d’eux-mêmes…
    Non, malheureusement il faut être réaliste, jamais on n’arrivera à mettre tout le monde d’accord, alors c’est terrible à dire, mais les choses vont longtemps restées ce qu’elles sont en attendant le Grand Ouest, qui déjà montre « le bout de son nez »…. Pffuuu… ☹️☹️☹️

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

NANTES

Cambriolages en série : la détresse des commerçants de Nantes et sa périphérie

Découvrir l'article

Sociétal

Dynamique démographique en Bretagne administrative : une croissance contrastée selon les départements

Découvrir l'article

Economie

Transports en Bretagne : du ferroviaire au réseau routier, les grands chantiers se précisent

Découvrir l'article

Environnement

Annulation des arrêtés d’abattage des choucas des tours en Bretagne : L’incompréhension !

Découvrir l'article

A La Une, Culture & Patrimoine, Histoire

Yves Mervin sort un livre sur le Dr Alice Le Guillou (Locarn) : « Tous les résistants n’étaient pas des bandits, mais tous les bandits étaient dans la résistance » [Interview]

Découvrir l'article

NANTES

Nantes : un homme blessé par balle dans un quartier déjà sous haute tension

Découvrir l'article

Environnement, NANTES

ZFE à Nantes : Crit’Air, la nouvelle « écotaxe sur roues » qui pénalise les plus modestes

Découvrir l'article

A La Une, NANTES

Cité administrative de Nantes : Nantes inaugure sa « maison des fous »

Découvrir l'article

NANTES, Sociétal

Série de cambriolages violents en Bretagne (Loire-Atlantique et Morbihan) : une bande démantelée par les forces de l’ordre

Découvrir l'article

NANTES, ST-BRIEUC

Projet d’attentat islamiste : deux suspects arrêtés en Bretagne, à Nantes et Saint-Brieuc

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky