La vie de Paul Anselin : un vrai roman

Il y a des personnages qui sortent de l’ordinaire. Paul Anselin est du nombre. La ville de Ploërmel lui doit beaucoup. Mais il a toujours mené une double vie : Ploërmel en fin de semaine et Paris – ou plus loin –  le reste du temps. Il avait d’excellents amis – à droite et à gauche -, mais également de solides adversaires

Dans un article précédent, nous avions évoqué quelques pans de l’existence de Paul Anselin qui fut maire de Ploërmel, conseiller régional du Morbihan, conseiller régional de Bretagne et membre de différentes cabinets ministériels. Le plus important pour la Bretagne : Alain Madelin, qui devint ministre de l’Industrie en 1986 (cohabitation avec Mitterrand), l’embauche en tant que chargé de mission. D’où l’implantation d’usines à Redon et à Ploërmel, grâce à la politique de satellites menée par Citroën (Chartres-de-Bretagne). Plusieurs lecteurs nous ont fait observer que nous avions été très insuffisants  dans nos explications et que le personnage méritait mieux ! Effectivement. Mais nous ne savons pas tout…

Une fois la guerre d’Algérie terminée pour Paul Anselin et son régiment de parachutistes rapatrié en métropole, commence la vie de garnison dans tout ce qu’elle a de rébarbatif. Bien sûr, nous avons affaire à un officier qui sait occuper ses hommes avec des sauts en parachute, en particulier dans les Pyrénées. Certes sauter dans la neige ne manque pas d’intérêt car l’exercice est sportif mais, au bout d’un moment, l’ennui s’installe. Bien sûr, il « bricolera » du renseignement ensuite à Berlin et en Nouvelle-Calédonie….  Il faut songer à la reconversion, ce qui s’effectue dans le corps préfectoral lorsque Raymond Marcellin, ministre de l’Intérieur, décide d’ouvrir la préfectorale aux militaires. En 1974, on le trouve donc directeur de cabinet du préfet des Vosges, à Epinal. Là, les choses se passent mal puisqu’à l’occasion d’une manifestation de paysans, un des agriculteurs est tué lors d’une charge des gendarmes. On raconte que c’est Anselin qui donna l’ordre de charger…

Toujours est-il qu’on ne le reverra plus dans une préfecture. Pendant le septennat de Valéry Giscard d’Estaing (1974-1981), il parvient à entrer dans différents cabinets ministériels – être franc-maçon ça aide ! Par exemple aux Anciens combattants, mais c’est du ministère des Universités qu’il conservera le meilleur souvenir. La ministre, Alice Saunier-Séité, inaugure ce ministère créé par Giscard ; elle picole beaucoup, au champagne rose, ce qui donne une bonne ambiance au cabinet !

Arrive 1981 et l’arrivée de François Mitterrand à l’Elysée. Adieu les cabinets ministériels pour Paul Anselin. Mais dans l’Administration, on n’abandonne pas les copains. Il devient donc chef de bureau à la direction du personnel du Département de Paris. A cette époque, le maire de Paris s’appelle Jacques Chirac, avec qui il a baroudé en Algérie. Le deuxième a même sauvé le premier qui, coincé sur un piton se trouvait en mauvaise posture avec sa section, lorsque Chirac est arrivé en hélicoptère avec ses hommes et a « dégagé » les rebelles. A Paris, Paul Anselin a hérité d’une planque qui l’occupe peu, une petite heure le matin pour donner des coups de téléphone, le déjeuner avec des relations (note de frais pour le contribuable parisien), une petite heure en fin d’après-midi pour signer le courrier. Il a donc le temps de faire de la politique au CNI (Centre national des indépendants).

Angoulême : le surveillant et l’élève

Pendant l’Occupation, Paul Anselin était pensionnaire dans un collège catholique d’Angoulême : le collège Saint-Paul ; c’est dans cet établissement que François Mitterrand avait fait la connaissance de Pierre de Bénouville avant la guerre 39-45. Le hasard a voulu que le surveillant qui s’occupait de la classe de Paul Anselin s’appelait Henri Thébault ; c’était un Breton de Mauron qui était venu se cacher à Angoulême chez sa sœur pour échapper au STO (service du travail obligatoire). Après guerre, Thébault devient député-maire de la ville avec le drapeau gaulliste (RPF). A Saint-Paul, Thébault et Anselin avaient sympathisé car le « pion » expliquait à ses élèves, cartes à l’appui, le déroulement des opérations militaires : avancée des Alliés, recul des Allemands. Et comme Anselin aimait et l’histoire et la géographie, ils ne pouvaient que s’entendre.

Mais Thébault conserve la nostalgie de la Bretagne. Il abandonne donc  Angoulême et rentre à Mauron. Là, il se fait élire facilement maire, puis conseiller général ; c’était la vedette politique locale. Il ne lui restait plus qu’à se faire élire député de la circonscription de Ploërmel, lors des élections législatives de 1973 ; mais il commet l’erreur de prendre comme suppléant le fameux Anselin. Lequel pour « faciliter les choses » organise un attentat bidon au lendemain du premier tour dont la « victime » était Thébault ; on voit ce dernier se déplacer avec un bandage à un bras… Evidemment ni les élus du coin, ni les électeurs ne sont dupes. Un tract est même distribué qui appelle à voter « pour le plus honnête ». Résultat des courses : au second tour, un centriste nommé Loïc Bouvard qui n’avait aucune chance au départ est élu, car le député sortant Yves du Halgouët s’est retiré et a fait voter pour lui en lui apportant mille voix – il est maire de Guégon. La soirée qu’avait prévu Thébault  à Néant-sur-Yvel avec à boire et à manger à gogo est ratée … En 1978, Anselin tente sa chance comme candidat contre Bouvard ; mais ce dernier a su creuser son trou et « parler gallo » ; son implantation est réussie.  Anselin ne sera donc pas député. D’autres déconvenues surviendront pour notre homme lorsqu’il ambitionnera de devenir le « patron » du pays de Ploërmel. A l’époque, une intercommunalité dénommée CEB (Centre-Est-Bretagne) coiffe les 51 communes. En 1983, Anselin est candidat à la présidence. Mais les deux poids lourds du secteur, le député (Loïc Bouvard) et le sénateur (Josselin de Rohan) qui ne l’apprécient  guère lui mettent des bâtons dans les roues en suscitant une autre candidature, celle de Michel Guégan, maire de La Chapelle-Caro. Le résultat est net : 77 voix pour Guégan, 43 pour Anselin. Pas un blanc, pas un nul.

En 1981, François Mitterrand devenu président de la République nomme ministre de la Défense nationale Charles Hernu, à la fois socialiste et franc-maçon. Hernu présente la particularité d’être fils de gendarme et d’être né à la caserne de gendarmerie de Quimper. C’est à lui que les gendarmes doivent aujourd’hui de bénéficier de deux jours de repos par semaine, alors que précédemment ils devaient se contenter d’une journée. Tout va bien pour Hernu jusqu’à ce qu’éclate l’affaire du Rainbow Warrior, ce navire que l’organisation écologiste Greenpeace comptait utiliser pour gêner les essais nucléaires français en Polynésie. Le 10 juillet 1985, le service Action de la DGSE le sabote – en collant deux mines sous la coque – dans le port d’Auckland, en Nouvelle-Zélande. L’opération fait un mort : le photographe portugais Fernando Pereira.

Les « faux époux Turinge »

Il se trouve que la police néo-zélandaise arrête facilement deux membres du commando à cause d’une camionnette qu’ils ont louée pour récupérer les plongeurs chargés de placer les explosifs. Le commandant Alain Mafart et la capitaine Dominique Prieur  font du « tourisme » dans le secteur ; ce sont des « touristes suisses » puisqu’ils disposent de passeports « suisses », mais ce sont des faux. L’affaire des « faux époux Turinge » démarre alors. Les deux agents sont inculpés le 23 juillet pour « meurtre, incendie volontaire et association de malfaiteurs ». Beaucoup de bruit médiatique, mais les choses sérieuses démarrent dans les coulisses avec des négociations entre les deux gouvernements (France et Nouvelle-Zélande). Pendant les mois où les « faux époux Turinge » sont en prison à Auckland, un « quidam » leur rend visite ; il vient de France et s’appelle Paul Anselin. Il a tout pour plaire à Charles Hernu : il est disponible (pas tué par le travail au Département de Paris), franc-maçon, colonel de réserve, ancien des « services », patriote et prêt à accomplir des missions. Donc chaque mois, Anselin vient voir le couple Mafart-Prieur ; c’est l’occasion de leur parler de l’avancée des négociations entre les deux gouvernements et de leur montrer que la France ne les abandonne pas. Ayant beaucoup de temps libre dans sa cellule, Dominique Prieur trouvera même le moyen de tricoter un pull-over pour Paul Anselin. Plus tard, une fois libéré, on verra même le commandant Mafart rendre visite à Anselin à Ploërmel – plus ou moins discrètement puisque, officiellement, dans les accords France-Nouvelle-Zélande, il est assigné à résidence dans une île de Polynésie.

Elu maire de Ploërmel en 1977, il le restera jusqu’en 2008. Cette année-là, il sera battu par la liste de gauche parce que son ancien premier adjoint Bernard Oger a présenté une troisième liste ; en effet Paul Anselin a le chic pour se fâcher avec ses meilleurs amis, en particulier ceux qui l’ont aidé à s’implanter à Ploërmel. Mais tout ne fut pas facile pour lui ; ce fut le cas pour les élections municipales de 1983. Alors que diverses complications se présentaient pour Anselin et ne favorisaient pas sa réélection, un patron local Henri Delaunay annonce qu’il va présenter une liste. Chez Raymond Marcellin, président du conseil général du Morbihan, on comprend que la défaite d’Anselin est assurée de ce fait. Il faut sauver le soldat  Anselin, solide pilier de la droite dans le département et qui n’appartient pas à la mouvance centriste – gens que Marcellin déteste. Or, à cette époque, l’interdiction du cumul des mandats n’existe pas. Si bien que Marcellin est également président du conseil régional de Bretagne. Bien entendu, Yves Carof, le directeur de cabinet de Marcellin à Vannes, fait  pression sur Delaunay pour qu’il renonce à son projet et on offre à ce dernier une belle sucette : président de la Mirceb, un organisme qui dépend de la Région et qui est censé trouver des marchés à l’export. Delaunay finit par accepter le troc, ce qui lui permettra de beaucoup voyager. On ne sait pas combien de marchés il a ramené…

Les affaires sont les affaires

Dix mois après les élections municipales de 2008, l’ancien maire de Ploërmel, qui a démissionné pour ne pas jouer au conseiller municipal d’opposition, explique ainsi ses occupations : « Je suis au conseil régional. Je préside aussi l’association pour la sauvegarde de Brocéliande et suis toujours président de la maison de l’emploi, mon cheval de bataille. Et j’écris un livre historique sur les croisades mongoles. » (Ouest-France, février 2009). Là, Paul Anselin oublie d’évoquer sa reconversion dans les affaires ; il est en effet « à la tête de deux boîtes de consultants, Paul Anselin et Associés Consultants (PAAC), située dans ne XIVe arrondissement  de Paris, et European business consulting  partners (EBCP), dans le VIIe. C’est à ce titre qu’il a réalisé, il y a quelques années, une étude sur les potentiels pétrolifères au Mexique pour Brenco International, société dirigée par Paul Falcone. Le consultant breton aurait perçu 485 000 euros pour ce service, payé par l’intermédiaire d’une banque située aux Iles Vierges, et quelques avantages en nature. » (Le Mensuel du Morbihan, avril 2009).

Avec l’affaire de l’ « Angolagate », on a affaire à du « lourd ». On retrouve l’inévitable Pierre Falcone qui vend des armes pour un montant  total de 790 millions de dollars au président angolais José Eduardo dos Santos  (MPLA) en guerre avec Jonas Savimbi (Unita).  Plusieurs contrats sont signés de novembre 1993 à 1999. Dans ce dossier apparaissent des gens importants : Jean-Christophe Mitterrand, Jean-Charles Marchiani, Jacques Attali, Charles Pasqua, Hubert Védrine, Paul-Loup Sulitzer… Quarante-deux personnalités sont accusées soit d’avoir  participé au trafic, soit d’avoir bénéficié de pots-de-vin. Le 1er décembre 2000, Pierre Falcone est mis en examen et écroué pour « commerce d’armes illicite, fraude fiscale, abus de biens sociaux et trafic d’influence ». Le 14 octobre 2002, Pierre Falcone est de nouveau incarcéré à la prison de la Santé ; il lui est reproché de n’avoir pas respecté les termes de son contrôle judiciaire, qui lui interdit notamment de rencontrer 41 personnes nommément désignées. Or, les dernières investigations menées par les enquêteurs ont mis en évidence qu’il avait été en contact avec l’un d’eux au cours de l’été, « l’homme d’affaires » Paul Anselin, récemment mis en examen dans le dossier de trafic d’armes vers l’Angola. Finalement, ce dernier s’en tire bien, puisque, après avoir été mis en examen en 2002, il est condamné en 2009 à quinze mois de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende. Suprême humiliation pour l’ancien officier parachutiste : il lui est interdit de porter pendant trois ans ses décorations de commandeur de la Légion d’honneur et d’officier du Mérite national.

Arrivent les élections municipales de 2014. Ne pouvant supporter davantage l’inaction politique, Paul Anselin monte une liste – « Ploërmel Nouvel élan » –  qui vient s’ajouter à celle de droite et à celle de gauche : « Je suis prêt à mettre un terme à ces vacances que les Ploërmelais m’ont accordées pendant six ans », annonce-t-il. Toujours catégorique, il proclame : « Je compte remettre en ordre la boutique ! » (Ouest-France, Ploërmel, mardi 4 mars 2014). Mais ce sera le combat de trop, l’échec est total. La liste constituée par ses anciens colistiers de 2008 – qui ne veulent plus travailler avec lui – l’emporte. La droite reprend la ville de Ploërmel, mais sans Paul Anselin. Devenu conseiller municipal d’opposition, ce dernier continue à faire des numéros lors des réunions : interpellant le maire Patrick Le Diffon (son ancien lieutenant), invectivant tel collègue qui ne lit pas un texte assez vite, se moquant  d’un autre qui maîtrise mal un dossier… Bref, les réunions ne manquent pas de piquant puisque trois maires s’affrontent : le tenant du titre (Patrick Le Diffon), la maire sortant (Béatrice Le Marre, PS) et un homme qui a été maire pendant 31 ans (Paul Anselin). Jusqu’à ce que ce dernier se résolve à jeter l’éponge : « J’ai fêté mes 88 ans le 28 août. Mais aujourd’hui, j’ai des problèmes de santé. Je me retire de la vie politique municipale. D’ailleurs, je n’allais plus au conseil municipal puisque, lorsque je proposais mon aide, personne n’en voulait. » (Ouest-France, Bretagne, vendredi 6 septembre 2019).

L’Élysée se déplace à Ploërmel

C’est peut-être Josselin de Rohan, ancien sénateur et ancien président du conseil régional de Bretagne, qui résuma le mieux le personnage : « Un homme qui avait des qualités de meneur et un relationnel très fort auprès des chefs d’entreprise. Cependant, ses qualités étaient malheureusement parfois annulées par ses défauts. Il ne pouvait pas vivre sans une croisade, preuve de sa vitalité et de son dynamisme » (Le Ploërmelais, 16 mars 2023). Evidemment, pour ses obsèques, Paul Anselin connut le même sort que les anciennes « stars » de la politique : l’église n’était pas pleine et seule une vingtaine de personnes se  trouvait à la salle des fêtes – les gens oublient vite. Mais on pouvait remarquer la présence de  Patrick Strzoda, directeur de cabinet du président de la République, et une gerbe sur laquelle on pouvait lire « Le président de la République et Mme Brigitte Macron » ; il eut même droit à un message d’Emmanuel Macron qui « salue un homme d’engagement, d’aventure et de fidélité à la fois, qui mit toute son énergie au service de son pays ». Quels services Anselin a-t-il rendu à Macron pour justifier ces marques d’intérêt ? Aurait-il, par exemple, joué un rôle dans le ralliement – tardif – de Jean-Yves Le Drian à Emmanuel Macron à l’élection présidentielle de 2017 ? S’est-il comporté en intermédiaire efficace ? N’oublions pas qu’à cette époque Le Drian incarnait la Bretagne et pesait lourd sur le plan électoral.

Paul Anselin se voulait également historien. On lui doit « Kitbouka, le croisé mongol » (Jean Picollec, 2011) ; en 1260, le chrétien Kitbouka, général mongol au service des petits-enfants de Gengis Khan, à la tête d’une armée de Mongols, d’Arméniens et de Francs du nord de la Syrie, vient de s’emparer de Damas, de Bagdad et fonce sur ses objectifs : Jérusalem et Le Caire…  Vient ensuite  « La France des Touaregs, de la colonisation à la IIIe guerre mondiale » (Temporis, 2015) ; cet essai analyse l’onde géopolitique que provoque l’offensive djihadiste au coeur de l’Afrique, du pays des Touaregs aux confins du Sahel et du Sahara en passant par le Maghreb. Il y eut enfin « Francisco Miranda, le héros sacrifié » (Jean Picollec, 2017) ; cet ouvrage retrace l’histoire du « libertador » qui travailla à l’indépendance des colonies espagnoles d’Amérique du sud – une grande figure avec Bolivar. En 2022, Paul Anselin travaillait à la rédaction de ses Mémoires. Pour ce faire, une « plume » avait été embauchée avec édition prévue chez Ouest-France. Il s’agissait peut-être de Claude Ollivier à qui l’on doit « Yves Rocher, une vie à fleur de peau » (Editions Ouest-France, 2012), une commande passée par la famille du fondateur des « Laboratoires de biologie végétale Yves Rocher ». C’est-à-dire que le lecteur a droit à la légende officielle ; il doit se contenter d’une version édulcorée qui  passe à la trappe tout ce qui pourrait  gêner. Nous aurions peut-être eu droit au même traitement avec les Mémoires de Paul Anselin ! Un « nègre » ne peut pas tout dire lorsqu’il écrit une biographie « autorisée ». Et comme la famille paie…

Bernard Morvan

Crédit photos : DR
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Une réponse à “La vie de Paul Anselin : un vrai roman”

  1. ergal dit :

    La première des 12 règles de la maçonnerie dit qu’elle est une fraternité initiatique qui a pour fondement traditionnel la FOI en DIEU, grand Architecte de l’Univers.
    Mais lorsqu’on met son EGO avant la Foi, on ne peut même pas supporter sa calvitie et on en arrive a porter une grotesque perruque. Sûr qu’il ne manquait pas de toupet.

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