Cette vidéo d’un individu urinant dans une salle d’étude de l’université sud-africaine de Stellenbosch est devenue virale au sud du continent. Pressée de prendre des sanctions, la direction de l’université s’est empressée de préciser que cet individu ne faisait pas partie des étudiants de Stellenbosch. Cet incident fait écho à un incident de même nature survenu en juillet 2022 quand un étudiant blanc fin saoul avait uriné sur les affaires d’un étudiant noir. Cette affaire de beuverie, vite montée en épingle, avait donné lieu à des réactions outrancières de la part des autorités et des organisations noires. Qu’en sera-t-il pour cet individu métis urinant tranquillement près d’étudiants blancs ?
https://twitter.com/MARIUSBROODRYK/status/1647831759151669251
Située au Cap-Occidental, l’université de Stellenbosch a été le lieu où les plus grands scientifiques, juristes et hommes d’état sud-africains furent formés. Bastion du Parti National avant son tournant multiculturaliste, Stellenbosch a été la matrice de l’intelligence de l’Afrique-du-Sud blanche et afrikaaner. Au temps de ses plus belles heures, l’intégralité des cours à Stellenbosch étaient d’ailleurs dispensés en langue afrikaans.
Aujourd’hui, Stellenbosch est une université multi-raciale et de plus en plus anglophone. En 2021, un scandale avait révélé que les étudiants avaient été interdits de communiquer en afrikaans dans leurs chambres et même sur les bancs du parc car la présidence de l’université soumise aux activistes noirs anglophones entendait éradiquer l’afrikaans de Stellenbosch. Récemment, ce scandale a été réactivé par la publication d’un rapport du SAHRC (commission sud-africaine des droits de l’homme) indiquant que les étudiants afrikaners avaient été interdits d’utiliser leur langue durant la semaine d’accueil (première semaine de l’année, avant les cours) 2023.
Le niveau au sein des écoles et universités sud-africaine est en chute libre depuis la fin de l’Apartheid. Des populations n’ayant pas un niveau suffisant d’études ont été admises au sein des universités au nom de la « discrimination positive », ce qui a mécaniquement entraîné une baisse générale du niveau. Les Blancs sud-africains quittent le pays en masse pour ne pas que leurs enfants entrent en étude avec des écoliers, collégiens, lycéens ou étudiants noirs n’ayant pas le même niveau et les mêmes référents culturels. Une autre alternative est la mise en place d’écoles privées ou communautaires en afrikaans, langue peu appréciée par les familles noires qui préfèrent l’anglais.
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
2 réponses à “Afrique du Sud : Université de Stellenbosch, symbole d’une faillite idéologique”
La décadence … Ou mieux dit, la chute vertigineuse d’un pays qui avait le titre de leader au sein de son continent. Or, depuis l’émancipation que l’on connait -ou mieux dit : l’Independance- c’est le chaos total. Et inutile de chercher des coupables. Ils sont tout désignés par leur couleur sombre et leur TOTALE inaptitude à gouverner.
impossible coexistence entre « blanc » et « noir »
comparons les QI et tout est dit !
voyons ce qui se passe aux USA entre ces communautés……………..