André de Ruyter aura tenu 3 ans. Trois ans à la tête d’Eskom, l’ancienne florissante compagnie publique d’électricité créée sous l’Afrique-du-Sud blanche et qui est devenue une société en hyper-faillite. Société où le Blanc De Ruyter aura découvert à son arrivée que des genouillères pour les employés pouvaient être facturées… 4000€ alors qu’elles coûtent, au maximum, 15€ dans le commerce. Car Eskom, miné par la discrimination positive et la question raciale, est une vache à lait de première importance pour l’ANC.
Cette corruption à grande échelle, De Ruyter l’aura dénoncée publiquement à l’issue de sa démission dans une interview retentissante : l’ANC pille Eskom pour l’enrichissement de quelques uns !
Comme on pouvait s’y attendre, Fikile Mbalula, chef de l’ANC a porté plainte contre De Ruyter et lui a donné 7 jours pour répondre à une lettre lui demandant des explications. Face à ce délai très court, André de Ruyter paraît tout à fait confiant, il est vrai que la corruption, la mauvaise gestion et les trafics en tout genre au sein de l’ANC de feu Nelson Mandela sont proverbiaux en Afrique-du-Sud. Certains considèrent d’ailleurs que Eskom était l’une des « mangeoires » de l’ANC. Selon de Ruyter, en plus du « pourcentage » versé à de hauts-membres du gouvernement, ce ne sont pas moins de 52 millions d’euros qui sont détournés chaque mois au profit de quatre cartels mafieux du Mpumalanga, en cheville avec l’ANC.
Dans une Afrique-du-Sud « post-raciale » mais où tout n’est qu’affaire de races et de quota d’employés noirs, Eskom sera dirigé désormais par un métis Calib Cassim, du moins dans un premier temps. Directeur financier de l’entreprise depuis 2018 et employé de la société publique depuis plus de vingt ans, il est considéré comme « métis » (au demeurant assez blanc) par le classement officiel et les journalistes. Celui-ci ne met cependant pas sa couleur en avant.
L’ANC devrait nommer un PDG définitif d’ici peu. Sur des critères raciaux comme d’habitude ? Il est, en tout cas, peu probable que la « mangeoire » soit réformée en profondeur, l’argent en découlant étant trop précieux pour la mafia au pouvoir en Afrique-du-Sud. Avec la bénédiction énamourée de l’Occident pour les anciens « combattants de la liberté » contre l’Apartheid !
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4 réponses à “Afrique-du-Sud : le PDG démissionnaire d’Eskom accuse l’ANC et les gangs de piller la société”
Cette histoire post Afrikans de l’Afrique du Sud, montre une fois encore la nullité des noirs et leurs petits égoîsmes avides, c’est effrayant. Il semble que ces gens n’aient aucun sens de la Patrie, du Bien Commun.Ils ont tué l’un des plus beaux et des plus florissants pays du monde,c’est un crime. Et d’ailleurs le crime, l’assassinat des Blancs, fait partie du projet de cette pourriture d’ANC et se voit tous les jours. Ne me parlez jamais de mandela!
Atavisme institutionnel
Il s’agit, tout simplement, de l’éternel problème raciste. Et quand je dis raciste, je place les Noirs au même niveau que les Blancs. Mais dans le cas présent de l’Afrique du Sud, à l’image de toute l’Afrique, le raciste est avant tout le NOIR. Et cela ira de de pire en pire. Et tant que le Blanc n’aura pas compris qu’il se fera bouffer par le Noir (Par le nombre, par la progéniture, par la haine et le racisme, par la predominence de la couleur) il s’exterminera de lui-même.
Je suis de l’avis de Gaï de Ropraz, il a bien analysé le problème – qui se vérifie de plus en plus – on nous impose des gens qui ont des coutumes diamétralement opposées aux nôtres, donc impossible de vivre ensemble longtemps , tout au plus, on peut dépanner, mais c’est tout, car les laisser venir, au bout de peu de temps, c’est nous autres qui allons aller dans leur pays ! car le notre sera devenu invivable ! que ceux qui sont pour, les prennent chez eux !