« Je n’a pas envie de coucher avec des gens qui ne m’aiment pas et qui ont envie de me tuer. » La passante de la vidéo ci-dessous.
« Ne pas avoir un mari, ça m’expose plutôt à ne pas être violée, ne pas être tuée, ne pas être tabassée et ça évite que mes enfants le soient aussi.« Alice coffin, journaliste et élue écologiste
“Les hommes de ma génération et les hommes plus vieux ont été éduqués de telle façon que ça comptait pas ce que pensaient les femmes. Ils baisaient tous seuls.. ils baisaient avec des corps de gens qui n’étaient pas vraiment là. Le consentement féminin leur échappait complétement (…) et on s’en foutait d’à travers quel corps l’érection allait passer et dans quelle circonstance.” Virginie Despentes, écrivain
« Il y a des comportements dits virilistes qui ont plus d’impact sur la planète et qui sont aussi mauvais sur la vie en société, les accidents de la route, les incivilités… les barbecues. » Marine Tondelier, élue EELV
Mais comment en est-on arrivé là ? Comment cette misandrie, véritable délire de persécution, a t’elle pu faire une telle brèche dans notre société et convaincre les nouvelles générations que les hommes seraient des assassins en puissance qui ne rêveraient que de tuer les femmes ? Nous qui sommes héritiers de la civilisation berceau de l’émancipation féminine, qui a placé l’amour et l’harmonie entre les sexes au centre de sa culture ? Où des hommes, tout au long de notre histoire plurimillénaire, ont soutenu, servi, révéré, loué des femmes de façon publique ?
Interpellée par la similitude des profils décris et n’ayant jamais rencontré les raclures masculines dépeintes ci-dessus, une évidence s’est fait jour : pour les avoir autant traumatisées, ce genre de machos doit être une constante de l’entourage de ces auteures, toutes provenant du milieu gaucho-progressiste.
Je suis encore en vie et je n’ai pas vraiment l’impression que les hommes avec qui je m’entretiens souvent aient envie de m’assassiner. Et si l’un d’entre eux avait jamais eu l’idée saugrenue de me violer, je dois remercier son éducation et la contrainte sociale, assez coercitives pour qu’il s’en soit abstenu… une éducation et une contrainte sociale patriarcales, comme on nous le répète sans cesse ! Déduire que les femmes encore en vie le seraient car sans mari, revient à expliquer qu’un bébé encore en vie le serait car sans mère, puisque ce sont ces dernières à commettre en majorité les infanticides. Horrible comparaison, mais c’est la logique de Mme Coffin.
Sur le plan sexuel, sans entrer dans les détails de ce qui doit rester privé, idem : pas la moindre trace des connards susmentionnés, mais l’inverse, des hommes attentifs au plaisir des femmes, qui mesurent même leur bravoure au lit dans la réalisation de l’orgasme féminin, sans pour autant le crier sur les toits (évidement, ça c’est quand on utilise pas Tinder.) Pas que je me retienne particulièrement chanceuse, c’est plutôt une constante du gentleman européen.
Et si j’ai participé à un nombre incalculable de barbecues, je dois dire que je n’ai jamais vu aucun homme soustraire de la viande aux convives féminines. Que ce soit en famille, entre amis, lors de la fête du village ou dans quelque rassemblement de motards ou autres représentants de la fameuse « masculinité toxique » , j’ai toujours assisté au contraire : messieurs grillent et viennent ensuite placer sur le plateau de barbaque au centre de la table, quand ils ne servent pas directement les dames… en premier.
Quant à l’aspect écologique, elles oublient que les grandes avancées écologiques sont le fait d’hommes ; les chercheurs de ressources alternatives, les ingénieurs en dépollution etc. sont de sexe masculin.
Après ça, loin de moi l’idée de nier l’existence de salopards, mais, alors que j’en ai rencontré si peu, ils semblent tous avoir tous croisés le chemin de nos égéries gauchos…c’est bien le signe de quelque chose !
Alors mesdames les féministes, écologistes, antispécistes, déconstruites (ça vaut peut être que pour les hommes?!), avant de vous faire ligaturer les trompes, de changer de sexe ou de vous barricader dans vos studios avec vos chats, changez de milieu ! Vous verrez, le monde est plein d’hommes virils, qui sont aussi aimants, polis, bien éduqués, romantiques et le cœur sur la main.
Audrey D’Aguanno
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6 réponses à “Les pires machos blancs cisgenres et sexistes seraient-ils de gros gauchos ? [L’agora]”
Ces féministes à la noix doivent vivre chez les extra-terrestres ou avec des indigènes qu’elles ont appelés de leur voeux pour remplacer les français de souche, mais qu’elles ne viennent pas se plaidre si leurs petits protégés ont des moeurs de prédateurs
Breizh-info, là tu devrais soutenir des quatre pattes ce que décrit Audrey ! Y aurait-il aussi des déconstruits dans tes rangs, et des féministes enragées qui ont oublié (ou jamais su) que l’homme est une moitié dont la femme est l’autre moitié ? Ce n’est pas aussi simple ? Certes mais cela vaut le coup d’essayer et vaut tout de même mieux que cette horreur de wokisme qui salit tout ce qu’elle touche.
« Je n’a pas envie de coucher avec des gens qui ne m’aiment pas et qui ont envie de me tuer. » dit cette passante interviewée. Le premier réflexe du « macho » que je suis par définition du genre dont je fais partie est de me poser la question de savoir si elle a rencontré des hommes qui auraient eu envie de coucher avec elle. Je me demande si ces femmes qui ont de tels délires anti-mâles ne s’inventent pas un roman pour dissimuler leur frustration d’incapacité à séduire ou à provoquer un minimum d’intérêt à être en leur compagnie.
Bravo !
Ces écolos fémino-ultragauchistes sont dans le délire permanent. Depuis au bas mot le Moyen Age, la féminité a fait l’objet de louanges et d’admiration sous des formes multiples.. Certes, un certain nombre d’hommes, en particulier dans la noblesse, ne se gênaient pas pour accumuler les maîtresses ou les aventures en dehors du mariage, mais sans montrer pour autant de mépris ou de manque de considération envers leurs partenaires. Les divagations actuelles en la matière sont autant de manifestations de wokisme délirant.
Peut-être que ces détraquées attirées par la diversité ont eu affaire à des hommes violents et violeurs parce qu’ils étaient issus de cultures dans lesquelles le respect de la femme n’est pas à l’ordre du jour ? Comme il serait trop douloureux pour elles de désigner les origines de ces individus, elles préfèrent cibler l’ensemble des mâles, plus spécialement l’homme blanc.
Je comprends que la nana du reportage est du mal avec la sexualité. On dirait Casimir qui sort d’une soirée piercing. Je n’aime pas bien me moquer du physique, spécialement de celui des femmes, mais là elle cumule les stigmates de la laideur. Elle ne serait peut-être pas si mal si elle se respectait un peu. Par contre pour son intellect, là c’est foutu, trop de dégâts ! Merci en tout cas Mme. D’Aguanno pour votre excellent article.