En Hongrie, des individus apparentés à l’extrême gauche allemande ont été interpellés par la police à la suite d’une série d’agressions violentes commises à Budapest contre des passants suspectés d’être des opposants politiques…
La violence gratuite des gauchistes fait trois blessés graves à Budapest
Quatre attaques attribuées à des militants d’extrême gauche ont fait huit victimes (dont trois grièvement blessées) dans le centre-ville de Budapest entre le 9 et le 11 février derniers. Des agressions totalement gratuites qui ont ciblé de prétendus adversaires politiques, puisque les groupes d’antifas impliqués ont manifestement choisi leurs victimes en fonction de leur tenue vestimentaire.
Quant à la raison de la présence de ces éléments radicaux en Hongrie, elle s’expliquerait par la tenue, samedi 11 février, d’une commémoration organisée en l’honneur du 11 février 1945, « le jour de la rupture du siège » de Budapest, lorsque les troupes allemandes et hongroises tentèrent de s’évader de Buda (partie occidentale de la capitale hongroise) cernée par les soviétiques.
Mais revenons en 2023 : en lieu et place de « nazis », les antifas, cherchant peut-être à marcher dans les pas de l’Armée rouge de l’époque, n’ont trouvé sur leur chemin qu’un couple d’Allemands, un couple de hongrois, trois touristes polonais et l’employé d’un kiosque à journaux, ce dernier ayant subi une attaque surprise de la part de huit individus cagoulés…
L’extrême gauche allemande et la liberté d’opinion…
Suite à ces agressions, la police hongroise a ouvert une enquête puis a rapidement procédé aux arrestations des premiers suspects. Selon le quotidien allemand Bild, quatre individus dont des ressortissants allemands âgés d’une vingtaine d’années et une femme italienne âgée de 38 ans ont été interpellés. Ils appartiendraient tous à la mouvance d’extrême gauche.
Par ailleurs, au moins un individu sur les cinq arrêtés était déjà connu des autorités et de la justice allemandes comme étant un activiste des milieux antifas. Il ferait notamment partie des proches d’une certaine Lina E., extrémiste de gauche jugée à Dresde en 2021 car étant accusée par le parquet fédéral d’avoir mis en œuvre et participé à plusieurs attaques contre des militants de la sphère nationaliste et identitaire allemande entre 2018 et 2020. L’homme arrêté à Budapest est quant à lui accusé d’avoir, avec d’autres extrémistes, assommé le tenancier d’un bar présenté comme « de droite » à coups de barres et de spray au poivre en 2019.
En Allemagne, les activistes d’extrême gauche impliqués dans ces violences auraient espionné des opposants politiques avant de passer à l’acte. On se rappellera notamment l’agression par plusieurs individus d’un député allemand de l’AfD, grièvement blessé le 7 janvier 2019.
D’autre part, comme lors des attaques commises en Hongrie le week-end dernier, les accusés allemands avaient utilisé des armes, dont des matraques, dans l’optique d’envoyer leurs victimes de l’hôpital ! Des antifas qui, lorsque la RDA tenait encore debout, auraient pu s’affranchir de leur cagoule pour effectuer leurs basses besognes…
Crédit photo : Capture YouTube (photo d’illustration)
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6 réponses à “Hongrie. Des extrémistes de gauche venus d’Allemagne attaquent des passants à coups de matraque dans les rues de Budapest [Vidéo]”
Dans une cellule avec dix policiers qui les matraques pendant 5 minutes, l’ un apres l’autre, oeil pour oeil, y’en a marre de tous ces connards !
les « antifa » milices de l’UE-OTAN-US. La complaisance complice dont ils bénéficient de la part des pouvoirs est un aveu. Ces auxiliaires de police politique font ce qu’une police officielle ne peut souvent pas faire. Cherchez la main des services derrière… ;-)
Ce n’est pas innocent tout çà , le but est de renverser le gouvernement d’Orban et qui se cache derrière , l’UE très certainement …
Visiblement, le national-socialisme qui repart billes en tête avec la publicité que lui font ses adorateurs ukrainiens, refait des émules en Allemagne ; et les autres qui nous rabâchent « l’Europe c’est la paix » !
fakeniouze, il s’agit d’un commando d’estrêêême droate !
Non il s’agit tout simplement d’un commando de nazis car les nazis n’opéraient pas autrement. On nous dit que ce sont des ultra-gauche mais les nazis n’étaient-ils pas des gauchistes? Les traveaux forcés pour ces sous-hommes ainsi qu’à leur commanditaires 20 ans à Cayenne et l’envie d’aller assomer les gens tranquilles leur passera