« Les Sims », le très populaire jeu vidéo de simulation de vie, vient d’ajouter plusieurs options à la création des avatars : il sera désormais possible de parer son personnage adolescent de cicatrices de mastectomie ou encore de pouvoir lui faire porter une gaine qui compresse les seins. Un pas de plus pour la propagande transgenre auprès des enfants.
Quel est le problème vous me direz ? Qu’un jeu élargisse son panorama pour plus de représentativité et « d’inclusivité », cela ne devrait déranger personne et serait plutôt une bonne chose. Pourtant, ce petit détail équivaut à rendre une mutilation corporelle un élément fashion, cool, à l’avant-garde. On normalise de la sorte la dysphorie de genre, on banalise une détresse psychiatrique. Et c’est bien là que le bas blesse, car dans aucune partie du monde, pas même aux États-Unis, la dysphorie de genre n’est reconnue comme une maladie. Il s’agit d’un trouble mental, d’un sentiment de souffrance qu’il est absolument criminel d’alimenter dans un âge aussi versatile que la puberté. Car l’alimentation de ce mal-être débouche sur des mutilations corporelles irréversibles.
Les options de Sims4 – qu’il s’agisse de pouvoir choisir son pronom (induisant que vous ne vous retrouvez pas dans l’appellation il ou elle), d’ajouter ses cicatrices d’ablation des seins ou de comprimer sa poitrine – ne sont donc pas de petits détails anodins : ils participent de l’endoctrinement qui trouve sur internet son terreau de prédilection. Ce qu’à parfaitement décrit Abigail Shrier, journaliste au Wall Street Journal, dans une enquête magistrale sur l’influence des militants trans auprès des adolescentes : Dommages irréversibles – Comment le phénomène transgenre séduit les adolescentes.
Un livre que Debbie Hayton, une enseignante et responsable syndicale transgenre anglaise, invite à lire. Cette dernière a plusieurs fois décrit la transition de genre des enfants comme un « scandale contemporain » et continue de mettre en garde contre la propagande auprès des mineurs faite par des « fanatiques qui croient réellement que les enfants peuvent changer de sexe« , jugeant que « protéger les enfants d’eux-mêmes, est le premier devoir des parents depuis la nuit des temps. »
« Je suis une personne transgenre, mais j’ai fait la transition en tant qu’adulte, lorsque j’ai pu comprendre les implications sur mon corps et ma relation avec la société. De plus, j’avais déjà eu ma propre descendance. Pourtant, des enfants que la loi juge trop jeunes pour se faire tatouer se retrouvent enfermés dans un processus qui les amène à prendre des décisions qui bouleverseront réellement leur vie. »
Quant à Electronic Arts, avec la polémique autour de son jeu Sims4, c’est bingo ! Puisque la règle du succès sur la toile est de faire parler, d’avoir des supporters mais aussi des haters qui font débat. Plus on en parle, plus on en vend, le LGBT correct est décidément très vendeur. Tant pis pour les gosses.
Audrey D’Aguanno
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2 réponses à “Avec le jeu vidéo « Les Sims », les cicatrices de mastectomie c’est fashion”
écoeurant !
Je joue aux sims 4 et aussi aux opus précédent de la série, mais je déteste et désapprouve le tournant dit progressiste du jeu.Tu ne peux même plus appeler ta chatte Minette tu reçois un avertissement.
Ils en deviennent ridicules. Je boycotterai les sims 5 . Et puis je les e…ces lgbtq+ mes sims sont tous hétéros et biologiquement genrés.
Ils promeuvent même le port du burkini et du hidjab. Et on ne peut pas virer ces accoutrements néfastes.