L’annonce a de quoi révolter les vrais malades en attente de soins !
Alors que les hôpitaux sont saturés partout en Bretagne et en France, que les services d’urgence sont contraints de fermer à certains moments de l’année et que des opérations urgentes sont repoussées indéfiniment, le CHU de Rennes annonce ce lundi 23 janvier qu’il « étoffe son offre de soins à destination des « femmes » transgenres » .
« Il y a tout juste un an, nous annoncions par voie de communiqué la réalisation de la première vaginoplastie au CHU de Rennes, devenant ainsi l’un des rares établissements français à proposer ce parcours de soins aux personnes transgenres. Depuis, près d’une trentaine de femmes ont pu bénéficier de cette intervention au CHU. En les accompagnant dans leur transition, l’établissement participe à répondre à un enjeu de santé majeur qui concerne, rien qu’en Bretagne, plus de 30 000 personnes. Dans ce contexte, l’hôpital continue de faire évoluer son offre de soins à destination des « femmes » trans. C’est ainsi qu’ont respectivement eu lieu les 11 et 16 janvier derniers une féminisation faciale complète, une première pour le CHU, suivie quelques jours plus tard d’une vaginoplastie robot-assistée, une première française. »
A noter que la plupart de ces opérations de confort sont prises en charge par la Sécurité sociale. Lorsque ces messieurs-dames veulent « détransitionner », les actes de chirurgie de reconstruction seront également majoritairement pris en charge par l’argent public.
Après les « monsieur-madame », l’hôpital public de Rennes annonce qu’il prendra bientôt en charge les opérations de confort des « madame-monsieur » :
« Le service prévoit également, au cours des prochaines années et en collaboration avec le service de chirurgie plastique, de développer cette activité en débutant les chirurgies masculinisantes, à savoir des métaïdioplasties(création d’un pénis par allongement du clitoris) et des phalloplasties (création d’un pénis à partir de peau prélevée ailleurs). Du côté de la chirurgie plastique, le service a d’ores et déjà effectué en moins d’un an près d’une vingtaine de torsoplasties/mammectomies pour la masculinisation du torse. »
Notons qu’il y a trois semaines de cela, le professeur rennais Louis Soulat, vice-président du syndicat Samu-Urgences de France et chef des Urgences de Pontchailloux indiquait que les Urgences du CHU de Rennes étaient saturées. « Mardi matin, il y avait encore 40 patients à attendre sur des brancards dans le service » précisait-il pour l’occasion au Télégramme.
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14 réponses à “Alors que les hôpitaux sont saturés, le CHU de Rennes annonce « étoffer son offre de soins à destination des transgenres »”
Business first..
C’est dingue ! Pauvre Bretagne, pauvre France…
Qui paye? Si c’est une maladie, une malformation congénitale, la SECU peut prendre en charge. SI c’est un desir personnel je ne vois pas pourquoi les ressources de l’hopital sont mises à contribution. Les cliniques privées payantes devraient s’en charger.
» A noter que la plupart de ces opérations de confort sont prises en charge par la Sécurité sociale. Lorsque ces messieurs-dames veulent « détransitionner », les actes de chirurgie de reconstruction seront également majoritairement pris en charge par l’argent public. »
L’argent de la Sécurité sociale n’est pas seulement de « l’argent public », ce qui sonne comme « argent magique », c’est avant tout nos cotisations, notre argent. Qui décide de ce que l’on fait avec notre argent ? Pas nous !
N
Une trentaine de femmes ont pu bénéficier de cette intervention au CHU. En les accompagnant dans leur transition, l’établissement participe à répondre à un enjeu de santé majeur qui concerne, rien qu’en Bretagne, plus de 30 000 personnes. Un enjeu de santé majeur ? Mais de qui se fout-on ? Si là on parle de santé c’est du mental qu’il s’agit. Ces femmes/hommes ou truc machin devrait commencer par consulter (à leurs frais) un bon psychiatre avant de venir saturer un hôpital pour leurs délires. De plus 30 000 femmes bretonnes veulent se faire transformer en bretons, à qui veulent ils le faire croire ? Mème dans toute la France on ne risque pas de trouver le quart de ce chiffre ! La propagande LGBT s’infiltre partout, mème dans les hôpitaux. Il ne faut pas que ce genre de déviance devienne la norme, en France comme en Bretagne. Marre de payer pour ces dingos !
bienvenue dans l’ère macron !
Effectivement pauvre france ,quelle tristesse de voir cela !
Quand les minorités deviennent la norme…
Dans notre belle démocrassie, les minorités imposent leurs idées et leur diktats, avec la complicité des merdias qui leur donnent une visibilité disproportionnée.
s’ils veulent être opérés pour leur santé mentale, pas de problème, dès l’instant que ces opérations nous assurent qu’ils ne se reproduiront pas.
quand à ces charlatans qui pratiquent ces mutilations interdites par la Constitution et les Droits de l’Homme, il faut les mettre en prison avant que le peuple se révolte et s’occupe de leur sort.
Il faut dire qu’il y aussi des chirurgiens prêts à manier le bistouri pour faire du pognon.
Oui Louison. , vivement que tout c’est état profond disparaît ‘ en prison’ et maintenant ils veulent que l’on mange des insectes avec arm messagé comme dans les vaccins
l’hopital a pour vocation de guérir, pas de faire payer au contribuable la chirurgie esthétique ou transgenre! les contribuables ont donc vocation à payer des impots et à la fermer
C’est vrai, quoi ! Les dépressifs n’ont qu’à se bouger le cul, les alcooliques n’ont qu’à arrêter de boire, les fumeurs d’arrêter de fumer et les trans* n’ont qu’à se suicider, ça coûterait moins cher… Et les hôpitaux pourraient s’occuper des vrais malades, tous les autres étant des simulateurs.
Les alcooliques n’ont qu’à arrêter de boire dites-vous ? C’est pas des choses à dire aux vrais bretons….à moins que vous souhaitez faire une crise cardiaque aux lecteurs de Breizh. Info !!!
:)