Cela ne sautera pas aux yeux de nos fidèles lecteurs mais l’Allemagne a dorénavant besoin d’une « véritable culture de l’accueil » pour mettre fin au « racisme structurel » qui minerait la société. C’est le ministre de l’Intégration que le dit…
Échec de l’intégration : Le racisme mis en cause en Allemagne
Islamisation, délinquance migratoire, communautarisation… l’Allemagne connaît elle aussi les « joies » de l’enrichissement culturel résultant de l’immigration d’origine extra-européenne sur son territoire.
Mais si, tout comme en France, l’intégration de ces populations retentit comme un échec, il semble que la coalition gouvernementale au pouvoir outre-Rhin ait décidé de faire peser la faute sur le dos des autochtones. En effet, Reem Alabali-Radovan (SPD, le parti social-démocrate), ministre fédérale chargée de l’Intégration et par ailleurs déléguée du gouvernement à la lutte contre le racisme, a indiqué lors d’une conférence de presse le 11 janvier dernier que l’Allemagne avait un problème de « racisme ». Ah ?
Ce dont le pays a besoin selon elle, c’est d’une action « plus intensive » contre ce racisme et d’une « véritable culture de l’accueil », arguant lors de sa prise de parole (à l’occasion de la présentation du premier rapport de situation sur le racisme dans le pays) que « le sujet n’est pas abstrait, mais représente un réel danger pour la République fédérale ».
„Mensch ist Mensch“ und #Rassismus ist nicht abstrakt, sondern schmerzvoller Alltag für viele Menschen in Deutschland. Das packen wir an mit dem #LageberichtRassismus | morgen 12h #BPK pic.twitter.com/gvE7ci0PEA
— Integrationsbeauftragte (@IntegrationBund) January 10, 2023
Une déléguée à l’Intégration « effrayée » par la polémique des prénoms
Reem Alabali-Radovan, qui a la particularité d’être née à Moscou de parents ayant fui l’Irak auparavant, s’est dite par ailleurs « effrayée » par les débats ayant suivi les émeutes de la Saint-Sylvestre en Allemagne.
Ainsi, tandis que le passage à la nouvelle année 2023 fut marqué par d’importantes émeutes à Berlin, avec au total près de 100 blessés parmi les pompiers et les forces de l’ordre, le groupe parlementaire de la CDU (formation politique de l’ancienne chancelière Angela Merkel) de la Chambre des députés de Berlin (parlement régional de la ville-Land de Berlin) avait émis son souhait au début de ce mois de janvier de voir communiquer les prénoms des suspects de nationalité allemande parmi les 145 interpellés. Une demande qui a eu l’effet d’un véritable coup de tonnerre puisque le SPD, les Verts et la gauche ont accusé la CDU berlinoise d’opposition de populisme de droite et de racisme.
Pour sa part, la déléguée à la lutte contre le racisme estime que les voyous qui ont attaqué les forces d’intervention avec des engins pyrotechniques doivent être « jugés sur leurs actes et non sur leurs prénoms ». Quant au souhait de la CDU sur la divulgation de ces prénoms, elle considère que la démarche témoigne de « ressentiments racistes » menaçant de « diviser » la société allemande.
Reem Alabali-Radovan : « Il faut plus de diversité »
Poursuivant sur le terrain de la culpabilisation des Allemands « de souche », Reem Alabali-Radovan considère donc qu’en Allemagne, « le plus grand danger vient de la droite » et entend ainsi agir dans de nombreux domaines. Elle prévoit notamment de mettre en place et de promouvoir des centres de conseil pour les victimes du « racisme » et de faire avancer la prévention dans les clubs sportifs. « Nous avons besoin d’une véritable culture de l’accueil », a déclaré la déléguée sociale-démocrate.
Cette dernière a particulièrement mis l’accent sur la lutte contre le racisme dit « structurel ». Ce terme désigne « l’intériorisation présumée de modes de pensée et d’actions racistes dans la société et dans les processus étatiques ». Dans cette optique, elle a dénoncé le « profilage racial » qui consisterait notamment (et toujours selon elle) pour la police allemande, à « contrôler indépendamment de tout soupçon des individus sur la base de caractéristiques extérieures ».
Ou encore, pour une femme voilée, à devoir, à qualifications égales avec une candidate à un poste qui n’en porte pas, « postuler plus souvent avant d’être retenue pour un entretien d’embauche ».
Rappelons pour conclure qu’en février 2022, la même Reem Alabali-Radovan avait déploré le fait que, si près d’un quart de la population en Allemagne a des origines étrangères, cela ne se reflétait pas dans la police, l’administration ou l’école. Pour y remédier, elle avait alors demandé que davantage de policiers, d’enseignants et de personnel administratif soient issus de l’immigration. « Il faut plus de diversité. L’État fédéral devrait prendre les devants et recruter de manière plus ciblée », affirmait-elle à l’époque.
Et pourquoi ne pas ouvertement faire du Grand Remplacement la politique officielle du gouvernement fédéral ? Voilà qui constituerait le moyen le plus sûr de mettre définitivement un terme au « racisme » en Allemagne !
Crédit photo : capture YouTube (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
13 réponses à “Allemagne. Échec de l’intégration : le problème, c’est le « racisme » [Vidéo]”
Reem Alabali-Radovan, un nom qui fleure bon l’identité teutonne. En Allemagne comme chez nous, les mondialistes déconstructeurs se servent de personnalités issue de l’immigration comme de boucliers intouchables sous peine d’anathème raciste. On a bien vu la réaction hors sujet de la NUPES contre Grégoire de Fournas qui, évidement, ne visait pas son collègue député noir dans sa réaction. Ça fait rien, c’est toujours ça de gagné !
Ordure.
Je pense que les Allemands de « souche » devraient rentrer chez eux!
« Chez eux » zut, mais c’est l’Allemagne.
Les délinquants doivent être jugés pour leurs actes et non pas sur leurs origines…
C’est discutable.
D’autant plus que dans le cas des agressions sexuelles sur les femmes allemandes, les actes délictueux sont directement en lien avec les origines des délinquants.
Un livre à lire absolument : » Les derniers jours. La fin de l’empire romain d’occident » de Michel de jaeghere ». C’est très exactement ce que nous sommes entrain de subir, en faisant les mêmes erreurs que les Romains de l’époque.
Sachant que les Européens ont mis plus de cinq siècles pour s’en remettre, il y a de quoi s’inquiéter !
Allemagne ou France, même volonté POLITIQUE, de déconstruire l’identité nationale, toutes les racines culturelles au profit des populations » venues d’ailleurs « ….pour y parvenir, rien de mieux que de brandir le bouclier du racisme pour contrer la moindre opposition ou divergence de vue. Les opposants sont accusés de populisme droitier et obligatoirement de racisme !
Venir dans un pays épouvantable comme les nôtres pourquoi ? Et en plus vouloir y rester……on comprend pas !
Bien, bien. Tant mieux ! J’aime l’Allemagne, et je l’aime vraiment lorsqu’elle est affaiblie.
Triste sire!
connard
Le problème de base de l’Allemagne, comme de la France et des pays européens en général est un problème démographique. Si les femmes ne veulent plus faire de bébés, il en résulte un déficit de main d’oeuvre qui ne peut être comblé que par l’immigration de populations allogènes. Pour encourager la natalité une méthode radicale est que les retraites soient versées aux femmes et proportionnellement au nombre d’enfants procréés !
Remplacer les travailleurs manuels par des robots est plus difficile et dans certains métiers impossible sinon trop coûteux !.
Le prétendu racisme des autochtones n’est que la réaction de la population salariée contre la privation de travail au profit de populations étrangères acceptant des salaires moindres.
Le second problème est la financiarisation de l’économie. On est passé dans les années 1970 d’une économie basée sur l’industrie (on récompensait les travailleurs manuels et intellectuels à leurs mérites) à une économie financière (on récompense les banquiers , les rentiers et les actionnaires avant de garantir les emplois salariés dans les entreprises qui enrichissent leurs actionnaires). En France l’affaire LIP (1973) a été un signal du virage pris par les gouvernements successifs dans ce sens très dé-constructif de l’intelligence créatrice. La plupart des banquiers ne sont que les profiteurs du travail des autres !
Le problème de base de l’Allemagne, comme de la France et des pays européens en général est un problème démographique. Si les femmes ne veulent plus faire de bébés, il en résulte un déficit de main d’oeuvre qui ne peut être comblé que par l’immigration de populations allogènes. Pour encourager la natalité une méthode radicale est que les retraites soient versées aux femmes et proportionnellement au nombre d’enfants procréés !
Remplacer les travailleurs manuels par des robots est plus difficile et dans certains métiers impossible sinon trop coûteux !.
Le prétendu racisme des autochtones n’est que la réaction de la population salariée contre la privation de travail au profit de populations étrangères acceptant des salaires moindres.
Le second problème est la financiarisation de l’économie. On est passé dans les années 1970 d’une économie basée sur l’industrie (+ agriculture + métiers d’innovation où l’ on récompensait les travailleurs manuels et intellectuels à leurs mérites) à une économie financière (on récompense les banquiers, les rentiers et les actionnaires avant de garantir les emplois salariés dans les entreprises qui enrichissent leurs actionnaires). En France l’affaire LIP (1973) a été un signal du virage pris par les gouvernements successifs dans ce sens très dé-constructif de l’intelligence créatrice. La plupart des banquiers ne sont que les profiteurs du travail des autres !
le racisme …. il aurait fallu préciser « antiblanc »
Les allemands ne sont pas racistes, ils rejettent ce qui vient de l’exterieur, ils l’ont toujours fait, rien à voir avec la couleur de la peau. Il y a du travail pour tous, et tout le monde se sent etranger, les travailleurs europeens, et il y en a beaucoup, tout comme les immigres.