La victoire de Callac ne doit pas être une victoire isolée face à la politique d’immigration menée tambours battant par les élus et leurs complices associatifs – qui n’ont pourtant aucun mandat pour transformer durablement, ethniquement, et culturellement, nos villes comme nos campagnes.
Cette victoire doit au contraire être le point de départ d’une nouvelle ère politique. Et d’un sursaut populaire, en Bretagne comme dans le reste de la France ou de l’Europe, entamé par des peuples qui ont décidé de dire NON à la politique d’immigration imposée. Ce n’est pas faute d’avoir prévenu des élus qui aujourd’hui, chouinent parce qu’ils subissent la pression, pour certains des menaces, et qu’un climat de tension sans précédent est instauré dans les communes « laboratoires » pour cerveaux obsédés de l’immigration. Cela fait des années qu’une partie de nos peuples européens votent contre l’immigration et le font savoir. Cela fait des années que tous les instituts de sondage montrent qu’une majorité de nos populations ne veulent plus d’immigrés dans leurs pays.
Et pourtant, vous, messieurs et mesdames les (mal) élus, vous insistez. Vous continuez à faire rentrer des masses venues du monde entier. Vous continuez à verser des millions d’euros d’argent public à des associations ultra minoritaires parfois complices des réseaux mafieux de traites d’êtres humains en Méditerranée. Vous tentez, par des mesures judiciaires iniques, de réprimer sévèrement tous ceux qui se lèvent contre vos politiques d’immigration. Vous n’écoutez pas, jamais, et vous réfugiez derrière le réflexe quasi religieux de « l’accueil de l’autre » qui serait inconditionnel, presque obligatoire. Vous écartez systématiquement le référendum comme manière de pouvoir régler la question, une bonne fois pour toute, en consultant vos populations.
Mais puisqu’on vous dit que nous ne voulons pas de migrants, ni à Callac, ni ailleurs ? Nous n’en voulons plus. Vous en avez fait rentrés depuis des décennies dans le pays, vous leur avez donné des papiers, sans l’assentiment des peuples autochtones de ce pays. Vous avez mis notre sécurité en danger, vous poussez quotidiennement à la transformation de nos modes de vie et à notre propre adaptation, sur nos terres, à « l’autre ». Et vous voudriez en plus que nous vous fassions un sourire en disant merci ? Et bien non, cette période est révolue. Vous devez savoir que vous trouverez partout, dans tout le pays, sur tout le continent, des hommes et des femmes qui se lèveront, qui formeront des collectifs, qui manifesteront, qui agiront, pour préserver leur cité. Leur cadre de vie. Leur culture. Leur façon de vivre ensemble. Callac doit en être le déclencheur. Plus un espace de notre territoire ne doit pouvoir être repeuplé par des élus qui n’ont pas le mandat pour cela, pas des Préfets qui font du zèle, par des gouvernants qui veulent faire plaisir à de petites minorités gauchistes agissantes.
Partout, sur tout le territoire, vous vous confronterez à la résistance. Vos anathèmes, vos accusations de « racisme », « d’intolérance », « d’extrémisme » ne fonctionnent plus. Vos dissolutions n’empêcheront pas la force de collectifs. Votre répression n’empêchera pas que pour un qui tombe, dix se lèvent. Tant que vous n’aurez pas percuté que la majorité des habitants de nos contrées ne veulent plus d’immigration (pas un peu, pas de l’immigration choisie, plus du tout), alors vous vous heurterez à la résistance autochtone.
Arrêtez de nous parler d’un vivre ensemble qui n’existe que dans le cerveau de nantis réfugiés dans les beaux quartiers métropolitains. Cessez de nous parler d’immigration nécessaire pour pourvoir des emplois, et pour payer les retraites des boomers qui ont passé des décennies à tout détruire dans ce pays. Stoppez avec cette « chance » et cet « enrichissement » qu’absolument personne ne constate dans le réel, dans notre quotidien.
Servez vous plutôt de l’argent public pour inciter votre peuple à faire des enfants. Donnez aux citoyens de ce pays les salaires, et les conditions entrepreneuriales qui leur donneront envie de travailler, y compris dans les métiers sous tension aujourd’hui. Et d’investir dans leur pays, et d’y rester durablement, pour y fonder des familles nombreuses, dynamiques, sereines. Ne gaspillez pas votre salive avec des éléments de langage, des concepts creux, des appétits électoralistes : servez-vous en pour redonner aux autochtones de ce pays l’envie de vivre et de se construire un avenir, ensemble, et sans le monde entier à ses portes.
Si vous êtes élus, c’est parce qu’éventuellement, vous avez pour mission d’offrir un avenir à votre peuple, pas à la planète entière. Et si vous ne respectez plus votre peuple, alors vous finirez dans les poubelles de l’histoire. Encore une fois, n’oubliez pas le « Princes, entendez-bien » de Glenmor. N’oubliez pas ces millions de silencieux, qui, lorsque « Re Zo Re », trop c’est trop, savent se lever avec virulence. Et faire entendre une voix que vous avez niée, que vous avez méprisée depuis tant et tant d’années.
Callac est la ville symbole d’un peuple qui a décidé de dire non à l’immigration et de le faire savoir, par tous les moyens. C’est la ville départ du recommencement, de tous les possibles. A chacun dans son village, dans son quartier, dans sa ville, de s’activer, de se mobiliser, pour que nous retrouvions enfin nos libertés sacrifiées sur l’autel de leurs utopies mortifères. Nous sommes le peuple ! La Bretagne aux Bretons, la France aux Français, l’Europe aux Européens !
Julien Dir
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2 réponses à “Callac, ville symbole d’un peuple qui a décidé de dire non à l’immigration ! [L’Agora]”
Le » peuple » ne veut pas de l’immigration… du moins, une partie du peuple. Et elle aurait été suffisamment importante dans de nombreuses villes et de régions pour s’y opposer.
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Mais voilà : la république ne demande pas l’avis du peuple, sauf pour plébisciter un dictateur. Le république française est une fausse république et elle n’est pas une drmicratie.
Ainsi, quelques poignées de soit-disant représentants du peuple, choisissent l’immigration en toute impunité. Par idéologie, par stratégie révolutionnaire, ou parce qu’ils portent les intérêts des banquiers américains mondialistes.
Il faudra donc que des Bretons, des Français se battent contre les traîtres de tous bords » par tous les moyens » sinon la France deviendra comme Marseille, Mulhouse, … la Seine saint Denis : un melting pot arabo- africano- asiatico- moyen oriental.
🗣Bernard Germain, ancien candidat Reconquête dans les Côtes d’Armor
Entretien complet ici :
👉https://youtu.be/65Cwb_QUDTA
🎙Avec Corentin Perrigny sur Radio Courtoisie