La ville de Nantes a cru que l’on pouvait faire confiance à l’extrême gauche et leur a confié l’été dernier des locaux municipaux à Doulon. Cette dernière a spolié, dans le même quartier, le pavillon d’un couple âgé de 87 et 89 ans, en EHPAD – en train de vendre la maison pour s’assurer une fin de vie digne – pour y installer des migrants syriens et congolais.
Le 7 janvier dernier cette maison d’un quartier résidentiel calme, près du Grand Blottereau, était occupée par des militants d’extrême gauche qui clamaient qu’elle était « inoccupée depuis un an », malgré la mobilisation des voisins, qui affirmaient que la maison n’était pas libre. La suite devait leur donner raison.
Cependant les enfants des propriétaires se sont très vite manifestés – la médiatisation de cette occupation voulue par l’extrême gauche pour imposer une fois de plus l’invasion migratoire s’est retournée contre la maison du peuple.
» Ils ont travaillé toute leur vie et cette maison a été construite de leurs propres mains, fruit de leur travail, soulignent les enfants et petits-enfants, en colère. Après de nombreuses démarches administratives et judiciaires, la vente prochaine de cette maison doit leur permettre de connaître une fin de vie décente et méritée », confiaient les enfants des propriétaires dans Ouest France.
L’occupation illégale a été constatée le 10 janvier, la demande d’expulsion faite le 11 – le jour même la préfecture a donné 24 heures aux militants pour quitter les lieux. Ils sont partis la queue basse, le 12. Deux familles syriennes installés par leurs soins dans cette maison ont été accueillies dans un hôtel, frais payés par le 115, pour quinze jours.
Accueillir les migrants qu’ils veulent « mettre à l’abri » chez eux, plutôt que spolier des retraités, très peu pour la maison du peuple – de quel peuple, au juste ? Quant à la mairesse de Nantes, très occupée par son futur poste dans un PS groupusculaire, elle n’a pas daigné répondre à la famille – comment se fait il qu’une association hébergée par la mairie, aux frais des nantais dans leur ensemble, se permette d’enfreindre les lois comme elle le souhaite et de s’approprier le bien d’autrui.
Tout juste a-t-elle affirmé à TeleNantes « qu’elle « condamnait fermement » l’occupation illégale de la propriété privée. Et rappelait que son adjointe à la vie associative s’était fendue d’un courrier comminatoire pour rappeler la loi à la Maison du peuple ».
Tremblez, vils squatteurs d’extrême gauche, devant la colère de Johanna Rolland…
LM
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
2 réponses à “Hébergée dans des locaux de la ville de Nantes, la maison du peuple installe des migrants chez des retraités”
ouf, pour une fois, la loi a prévalu contre le squat !
Il est triste de constater qu’une minorité veut faire la loi ! c’est inadmissible ! les immigrés sont la lie de leur pays, sinon, ils resteraient chez eux, d’autant qu’ils ne sont pas heureux chez nous, certains aavc papiers, touchent 870 € mensuels, mais les autres ? alors ils traficotent, si certains savent travailler un métier, ce sera au noir, sinon, ce sera des incivilités qui leur permettront d’avoir un peu d’argent, les responsables – ceux qui leur permettent de venir chez nous – étaient traîner devant la justice, on aurait moins de problèmes ! car les problèmes, il y en a, même si on essaie de les cacher ! En attendant, c’est bien nous qui payons pour eux – qui sont loin d’être une richesse pour nous autres – Mais on ne pourra pas payer indéfiniment, alors que se passera-t-il alors ???