« À Saint-Brieuc, Gertrudes a finalement eu un cadeau de Noël pour sa famille : un logement » titre Le Télégramme pour évoquer le cas d’une angolaise arrivée en France en 2017, puis déboutée de sa demande d’asile..et qui vient pourtant d’obtenir successivement un titre de séjour…et un logement social.
Pourtant, déboutée du droit d’asile, cette angolaise aurait logiquement du être expulsée pacifiquement hors de France avec ses enfants, direction son pays d’origine. C’était sans compter sur la mobilisation associative gauchiste à ses côtés, bien relayée par une presse locale toujours friande des histoires qui concernent les migrants. Et, au final, la capitulation des autorités en rase campagne, comme très souvent dans ces dossiers.
Présente depuis 2017 seulement sur le territoire, déboutée du droit d’asile, ce qui a fait pencher la préfecture en sa faveur est le fait qu’un de ses enfants est né en France et que les deux autres ont été scolarisés plus de trois ans ici.
« C’est donc la préfecture des Côtes-d’Armor qui a débloqué la situation, en accordant un titre de séjour à G. M. Cela a permis à la commission d’attribution des logements sociaux de Terres d’Armor Habitat, de lui proposer un T4, le 27 décembre » indique le Télégramme.
Pilotée par des militants de gauche, l’association des parents d’élève ne compte pas en rester là : elle organise, le 10 janvier, au centre social La Ruche, une autre mobilisation pour venir en aide à une autre famille, elle aussi déboutée du droit d’asile.
Les autochtones sur liste d’attente pour des logements sociaux, et cela parfois depuis des lustres apprécieront le geste des autorités, mais aussi la mobilisation, toujours pour les autres, jamais pour les nôtres. Le message lui, est en tout cas clair : venez en France, installez vous sans y avoir été invité, et vous trouverez toujours des gens pour vous imposer, et des autorités pour se mettre à genoux devant elles.
Pour mieux comprendre le fonctionnement de ces mobilisations – chantage aux enfants à l’école, relai médiatique larmoyant, mobilisation de « parents d’élèves » en réalité piloté par des syndiqués ou militants de gauche, pression sur la Préfecture, puis capitulation des autorités, lire notre article ci-dessous.
Immigration à Rennes. Cas d’école autour de l’expulsion retardée d’une famille géorgienne
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6 réponses à “Saint-Brieuc. Déboutée du droit d’asile, elle obtient rapidement un titre de séjour… et un logement social”
la promesse de macron :plus personne ne dormiras dehors ne concernait pas nos s d f
croire aux promesses de macron…qui fait toujours le contraire…
en 1936 léon blum avait fait voter une loi sur la préférence nationale, aujourd’hui c’est la préférence étrangère, un grand pas pour l’invasion migratoire
A vomir
NOUS NE TOLÉRERONS PAS INDÉFINIMENT DE TELLES PROVOCATIONS.
OU CELA CHANGERA OU NOUS LE FERONS CHANGER.
Faut tous les bouter…
Enfin, les bouter hors de Fronce, je voulais dire, Monsieur le Président…
Que fait le gouvemement