En juin 1996, les habitants de Mur-de-Barrez dans l’Aveyron reçoivent d’étranges lettres anonymes dénonçant les crimes pédophiles du curé, par ailleurs directeur du collège catholique du village : un certain Jean-Lucien Maurel. Ce dernier se défend de toute implication dans de tels faits, alors qu’une atmosphère de délation envahit la commune. Trois témoignages viennent s’ajouter à ces dénonciations.
L’abbé sera finalement mis en examen. Cependant, de nombreuses voix s’élèvent : pour elles, Jean-Lucien Maurel est victime d’un complot de la part du maire du village. De leur côté, les médias se pavanent dans une énième accusation dirigée contre l’Eglise catholique, coupable d’omerta sur les agissements impardonnables de ses religieux.
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2 réponses à “Contre-Enquête. L’affaire de l’abbé Maurel : l’Eglise au banc des accusés”
Compte tenu des médicaments qu’il prenait l’abbé Maurel était incapable de faire ce qu’on lui reprochait. Il y avait bien sûr le maire qui voulait être directeur à la place du directeur et l’abbé Maurel avait soulevé un gros lièvre en l’occurence le détournement d’un leg très important où étaient mêlés certains gros caciques du département. Le plus sur moyen de le faire taire était de l’accuser de pédophilie. Le brigadier chef en particulier se chargea de cette basse besogne. Quant à l’évêque il fut au-dessous de tout. Et quand il eut lu le livre de l’abbé Maurel il s’exclama: « Vous étiez bien innocent », sauf que ce n’était paas lui qui avait fait de la prison et les charognards de tout poil s’étaient payé un curé
Bravo pour votre commentaire,j’étais élève de l’abbé et jamais je n’ai eu ou avoir connu le moindre problème. Je sais qu’il souhaitait que nous relançons l’affaire pour le disculper