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Rennes. Sous le coup d’une OQTF et sortant de prison pour viols, un Africain tente de violer une femme

Dans la famille « La République française n’assure pas la sécurité de ses citoyens », une nouvelle affaire, sordide, à Rennes.

Un immigré congolais de 43 ans (il s’est un temps prétendu Angolais) sous le coup d’une OQTF (c’est à dire qu’il aurait dû de longue date être rapatrié à coup de pied dans le derrière dans son pays) et déjà condamné pour viols et agressions sexuelles en France, a tenté de nouveau de violer une femme dans la nuit du 25 au 26 octobre, à Rennes.

Un riverain est parvenu à faire fuir l’individu, puis la police l’a interpellé un peu plus tard dans la soirée. D’après C News, le mis en cause avait été condamné à une peine de huit ans de prison en 2000 pour des faits de viol. Lors d’une permission accordée en 2005, il avait violé sa cousine. Le récidiviste avait écopé de quinze années de prison. Il avait agressé sexuellement une visiteuse de prison en 2018. Il avait été libéré en août à la fin de sa peine.

« Cet homme se présente comme originaire du Congo et était en situation irrégulière en France où il faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF). Il avait précédemment « déclaré être angolais et serait arrivé en France en 1992 alors qu’il était mineur », selon le procureur adjoint. Détenu à Argentan, il avait été placé au centre de rétention administrative d’Oissel (Seine-Maritime). Il avait été remis en liberté le 30 septembre par le juge des libertés et de la détention de Rouen. La raison ? La mesure était « inexécutable car ni les autorités congolaises ni les autorités angolaises ne le reconnaissent comme l’un de leurs ressortissants », précise le parquet de Rennes » peut-on lire dans 20 minutes.

L’immigré indésirable a été placé, aux frais du contribuable, en détention provisoire dans l’attente de son procès.

Et dire que certains s’offusquent lorsque des citoyens, comme récemment à Roanne, décident d’accélérer le travail que la Justice française ne fait plus : si cet individu se trouvait en Angola, au Congo, ou n’importe où sur le continent d’où il vient, ce sont plusieurs femmes ici, sur notre territoire, qui n’auraient pas été violées et agressées sexuellement, ce sont les faits…l’immigration, une chance pour la Bretagne ?

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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5 réponses à “Rennes. Sous le coup d’une OQTF et sortant de prison pour viols, un Africain tente de violer une femme”

  1. Mauricette dit :

    Après plusieurs viols à répétition, que faut-il faire de ce triste personnage qui ne peut pas être expulsé puisque non reconnu par le Congo ou l’Angola?
    Et bien pour ces gens-là ( violeurs récidivistes, tueurs d’enfants …) rétablissons Cayenne. des boulets aux pieds, une pioche et une pelle. Travail forcé obligatoire et surveillé par des géôliers. Les routes secondaires en France sont à rénover en urgence. Pas de salaire évidemment mais soupe claire et pain blanc pour ces voyous qui coûtent cher au contribuable. Et en dernier recours, le Ministre de la Justice devrait proposer la Castration pure et simple pour calmer ses érections.

  2. cricri dit :

    Bonjour Mauricette
    Cayenne !! il y a bien longtemps que je le souhaite, c’est la seule solution (qui peut-être) les fera
    réfléchir car nos prisons sont dorées donc ils n’en ont rien à faire d’y aller

    • patphil dit :

      à cayenne c’est pire, les guyanais sont depuis quelque temps minoritaires chez eux! déporter les racailles aux kerguélène ou dans les iles éparses avec des tentes de l’armée et des cannes à pêche…

  3. pito dit :

    on n’a pas compris que ces Africains débarquent en France avec leurs codes culturels qui les autorisent parfois chez eux à violer les femmes qui sont des objets sexuels avant tout.;
    la majorité de cette horde d’immigrés sont des hommes,donc une fois chez nous ils n’ont plus qu’à se servir sans aucun risque juridique et pénal d’où la récidive .Il est parfois difficile de mettre en garde nos petites filles, nos filles et nos femmes
    contre le risque qu’elles encourent quand leur naiveté les laisse à penser que »tout le monde il est beau,tout le monde il est gentil »

  4. Collectif REC dit :

    La France de demain, merci à tous ces lâches qui gouvernent !

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