Les acteurs du Nouvel Ordre Mondial (NOM) mènent une guerre contre les peuples

Le Nouvel Ordre Mondial (NOM) mène une guerre contre les peuples, sous 2 formes : Une forme traditionnelle, en s’opposant, diplomatiquement, économiquement et militairement quand il le peut aux puissances non soumises à leur norme.

Une forme non officielle, en asservissant les peuples régis par des gouvernements qui lui sont fidèles. C’est le premier conflit, officiel et formel, qui permet à ce second conflit d’être possible. En effet, il semble improbable qu’un ordre transnational puisse mener une guerre à un peuple avec la complicité de ses dirigeants élus « démocratiquement ». Sauf si une menace extérieure (réelle ou imaginaire) les contraint à choisir le moindre des deux maux. Cette menace instrumentalisée (en plus du réchauffement climatique et des pandémies), est celle du conflit contre les pays qui ne sont pas soumis au NOM. Actuellement, la Russie, la Chine, la Syrie, la Biélorussie, l’Iran, la Corée du Nord, Cuba, le Venezuela, et ponctuellement tous ceux qui ont des velléités à s’en affranchir (la Hongrie et la Pologne, Egypte,Turquie, Maroc, Inde, Soudan, Yemen Houthis, Tanzanie, Chili, Bolivie, Slovaquie, Tchéquie, Autriche, Brésil,…). Sont déjà tombés sous les bombes ou des coups d’Etat téléguidés l’Ukraine, la Serbie, l’Irak, la Libye.

Dans ce contexte, il est intéressant d’observer que, pour maintenir cette puissance du NOM, il y a une collusion frappante entre les gouvernements affiliés et l’ordre financier. Les niveaux d’endettement sont phénoménaux, inégalés dans l’Histoire, mais les gouvernements du NOM continuent d’emprunter pour mener leurs politiques invraisemblables. Et avec cet argent, ils investissent en masse dans le contrôle numérique et les moyens de coercition (police et armée notamment). Etrangement, pas d’effort de ré-industrialisation, de revalorisation de l’agriculture. Aucune politique d’autonomie stratégique (qui donnerait une souveraineté populaire) n’est menée, au contraire, alors qu’ils disposent d’une manne financière intarissable. On vend des secteurs stratégiques, on se rend dépendant de l’OTAN, on abandonne des projets de développement dans le nucléaire.

En regardant les objectifs militaires et les moyens pour y parvenir, on remarque que seuls les moyens pour abattre les ennemis du NOM sont recherchés. L’autonomie stratégique, la cohésion nationale, les cycles vertueux, sont totalement absents de l’équation, si ce n’est dans des mots creux non suivis d’effets. Les peuples (et les soldats et policiers en particulier) ne réalisent pas qu’ils se battent pour ceux qui les asservissent et détruisent leur pays dans sa substance physique comme culturelle et spirituelle. On ne trouve pas d’argent pour augmenter les salaires des agriculteurs, pour améliorer les hôpitaux, pour conserver des entreprises sur le territoire, mais on en trouve pour suppléer l’arrêt politique de l’économie, pour numériser toute la vie publique, pour accueillir des centaines de milliers d’étrangers, pour entretenir la guerre en Ukraine (sans perspective de victoire), pour développer des équipements militaires et répressifs. Les militaires, souvent très conservateurs et patriotes, se satisfont de ces budgets qui les aideront à aller se battre contre les puissances qui s’opposent au NOM, qui lui-même s’oppose à tout ce en quoi ils croient. Ubuesque.

Aujourd’hui, les organismes financiers (banques centrales, fonds d’investissement, banques privées) marchent à plein régime pour donner les moyens à leurs serviteurs pour abattre et éradiquer toute opposition à leur hégémonie. C’est une lutte à mort qui explique qu’aucun cas n’est fait d’une viabilité à long terme de ce système, qui est condamné à l’effondrement à court terme s’il ne met pas en œuvre le Great Reset. C’est la victoire par écrasement ou la mort. Ils sont prêts à tout. C’est l’enseignement de l’histoire, qui révèle qu’une victoire face à un ennemi mortel n’est durable que si on l’extermine « quoi qu’il en coûte ». Guerres puniques et victoires de l’Empire Romain en général, Guelfes contre Gibelins, 2^ème guerre mondiale, Guerre civile russe, Révolution française, décolonisation. Tous ces exemples du passé le confirment. Il n’y aura qu’un vainqueur. Le NOM le sait et ira au bout, il l’a montré à plusieurs reprises, notamment avec la bombe nucléaire et les assassinats et guerres menés par les Etats-Unis depuis la seconde guerre mondiale.

Ce sera eux ou nous. Préparez-vous.

MICHEL ROPARZH

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